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10 septembre 2016 6 10 /09 /septembre /2016 23:21

Une émission tout à fait incontournable pour voir clair et comprendre...

Merci de partager très largement pour protéger les générations présentes ET... futures!!

 

Voir aussi (dans le prolongement...): Lobbies pharmaceutiques et Commission Européenne, l'amour fou

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8 juin 2016 3 08 /06 /juin /2016 07:34

7 juin 2016

Le 26 mai 2016, Cochrane, un réseau mondial de chercheurs, professionnels, patients et soignants (37 000 contributeurs bénévoles dans plus de 130 pays), réputé pour son information fiable et de haute qualité, a déposé une plainte auprès de l’Agence Européenne du Médicament (EMA). Il dénonce de façon virulente les pratiques de l’EMA ayant abouti à nier tout lien entre la vaccination contre le papillomavirus (Gardasil, Cervarix) et des maladies de type « syndrome de fatigue chronique ». Retour sur un réquisitoire impitoyable, une première en Europe.

Gardasil et adjuvant aluminique: l'Agence Européenne accusée de cacher la réalité

Gardasil et adjuvant aluminique: l'Agence Européenne accusée de cacher la réalité

Mise en cause de l’Agence européenne du médicament

 

Cochrane dénonce des comportements non-professionnels et non-scientifiques de l’EMA, un choix délibéré de déconsidérer et mépriser les scientifiques à l’origine des alertes, une volonté manifeste de cacher la réalité, une mainmise de l’industrie pharmaceutique sur les décisions de l’EMA. Un exemple : l’EMA a demandé aux entreprises de rechercher des effets secondaires du vaccin dans leurs propres bases de données et n’a pas vérifié l’exactitude du travail réalisé.

 

Cochrane pointe aussi la faute scientifique concernant la plupart des essais de vaccins, dans la mesure où le «placebo» utilisé contient un adjuvant aluminique, qui est soupçonné d’être neurotoxique. Il est donc difficile de trouver une différence entre les potentiels méfaits du vaccin et ceux du « placebo ».

 

Cochrane ayant eu accès au « pré-rapport confidentiel » de l’EMA, il décrit dans le détail les choix ayant prévalu à la rédaction du rapport final. Des choix qui vont à l’encontre de l’intérêt public.

 

Le vaccin contre le papillomavirus provoquerait des maladies graves

Par cette démarche, Cochrane vient soutenir le Dr Louise Brinth, de l’hôpital Frederiksberg à Copenhague. Celle-ci a écrit des articles publiés dans des revues à comité de lecture faisant état de possibles dommages neurologiques graves comme le « syndrome de fatigue chronique » (qui incluent le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (STOP) et le syndrome douloureux régional complexe (SDRC)) induits par les vaccins contre le papillomavirus.

 

En juillet 2015, les Autorités danoises de la santé et du médicament ont demandé à l’EMA d’analyser les recherches du Dr Brinth.

 

Le 5 novembre 2015, l’EMA a publié son rapport. Sa conclusion : « L’étude menée conclut à l’absence de preuve d’un lien de causalité entre les vaccins (Cervarix, Gardasil) et le développement de SDRC ou STOP. Par conséquent, il n’y a aucune raison de changer la façon dont les vaccins sont utilisés ou de modifier les documents d’information. »

 

En France aussi, peu de considération pour les alertes scientifiques

 

Cette plainte de Cochrane résonne particulièrement dans notre pays pour deux raisons :

 

– Elle fait écho à ce que l’association E3M dénonce depuis des années en France,

 

– La myofasciite à macrophages est, selon les termes utilisés par les spécialistes de cette maladie, un syndrome de fatigue chronique dont on connaît l’origine : l’aluminium vaccinal.

 

Des chercheurs de l’INSERM (les Pr Gherardi et Authier) travaillent sur le sujet depuis 20 ans. Ils ont alerté toutes les autorités de santé et ont connu les mêmes vicissitudes que le Dr. Louise Brinth : rejet et mépris du Haut Conseil de Santé Publique (voir notre rapport) ou de l’Académie de Médecine (voir notre courrier et notre rapport).

 

L’association E3M a quant à elle élaboré un dossier sur le Gardasil, « un vaccin à suspendre d’urgence », démontré la présence massive de conflits d’intérêts et apporté la preuve de la falsification de données ayant abouti à la disparition du DTPolio sans aluminium…


Tout ceci sans que le gouvernement français ne réagisse.

 

Comme le rappelle si bien Cochrane, selon l’article 6 du traité de l’Union Européenne et la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne :

 

« La transparence permet aux citoyens de participer plus étroitement au processus de prise de décision et garantit que l’administration bénéficie dans un système démocratique d’une plus grande légitimité et est plus efficace et plus responsable devant le citoyen. La transparence contribue à renforcer les principes de la démocratie et le respect des droits fondamentaux. »

 

Il serait temps que le Ministère français de la santé s’imprègne de ces valeurs et les mette en pratique.

 

Pour aller plus loin :

 

– Voir ci-dessous quelques morceaux choisis par l’association E3M.
– Lire le texte intégral de la Plainte de Cochrane auprès de l’Agence Européenne du Médicament (en anglais)


Pour aller plus loin : morceaux choisis par l’association E3M
Pour bien comprendre la situation

 

Le Dr. Louise Brinth, de l’hôpital Frederiksberg à Copenhague, a décrit dans des publications « peer reviewed » (évaluées par des pairs) de possibles dommages neurologiques graves liés au vaccin contre le papillomavirus (HPV). Les symptômes principaux sont ceux que l’on peut retrouver dans le syndrome de fatigue chronique, qui inclut le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (STOP) et le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) [ndlr : comme le rappellent les autorités sanitaires danoises, les patients avec cette même symptomatologie reçoivent des diagnostics similaires mais avec un nom différent selon les Etats membres de l’Union Européenne. Par exemple STOP au Danemark correspond au Syndrome de fatigue chronique/ encéphalomyélite myalgique dans de nombreux autres pays. Nous (E3M) rajoutons que la myofasciite à macrophages peut aussi être considérée comme une appellation synonyme]. Il s’agit d’une réaction auto-immune déclenchée soit par le composant actif du vaccin, soit par son adjuvant. Ces syndromes sont difficiles à diagnostiquer, leurs causes étant mal comprises et le nombre de cas sous-évalué, ce qui complique les études sur le lien de causalité.

 

Le Danemark a saisi la Commission Européenne et celle-ci a demandé l’avis de l’Agence Européenne du Médicament (EMA). En juillet 2015, les Autorités danoises de la santé et du médicament ont demandé à l’EMA d’analyser les recherches du Dr Brinth. Dans sa soumission à l’EMA, l’autorité sanitaire danoise intégrait un examen des données du Dr Brinth faites par le Uppsala Monitoring Centre (UMC, un centre collaborateur de l’OMS).

 

L’EMA a publié son rapport le 5 novembre 2015. Sa conclusion : « L’étude menée conclut à l’absence de preuve d’un lien de causalité entre les vaccins (Cervarix, Gardasil) et le développement de SDRC ou SPOT. Par conséquent, il n’y a aucune raison de changer la façon dont les vaccins sont utilisés ou de modifier les documents d’information. »

 

Le Dr. Louise Brinth a analysé ce rapport et émis de nombreuses remarques dans un document adressé à l’EMA le 17 décembre 2015.

 

Le rapport de l’EMA ainsi que la réponse du Dr Brinth et de ses publications ont été étudiés de manière approfondie par le Réseau Cochrane danois, qui a eu aussi entre les mains le rapport interne (confidentiel – 256 pages) de l’EMA.

 

Cochrane est un réseau mondial indépendant de chercheurs, de professionnels, de patients, de soignants et de personnes intéressées par les questions de santé (37 000 contributeurs bénévoles dans plus de 130 pays). Sa mission : faciliter les choix publics de santé en mettant à disposition de tous une information médicale de haute qualité selon les principes de la  « médecine fondée sur des preuves ». Le travail de Cochrane fait référence en matière d’information fiable de haute qualité.

 

Les critiques de Cochrane envers l’Agence européenne du médicament

 

Les conclusions de Cochrane sont extrêmement sévères vis-à-vis de l’EMA, d’autant que le contenu du rapport interne (et confidentiel) de l’EMA de 256 pages est très différent de celui du rapport officiel de 40 pages. Petit florilège des critiques de Cochrane :

 

  • Les allégations de l’EMA vis-à-vis du Dr Brinth sont proches d’une accusation d’inconduite scientifique : l’EMA a ainsi écrit que les cas reportes par Brinth ont été sélectionnés pour mettre en évidence les effets secondaires du Gardasil, ce qui est faux. Ceci est totalement inapproprié de la part d’une autorité européenne répondant à des chercheurs honnêtes.
  • Les commentaires de l’EMA sont non professionnels, trompeurs, inappropriés et péjoratifs, et l’approche de l’EMA est non scientifique. Par exemple, l’EMA ne justifie pas ses dires par des preuves scientifiques, omet de donner des informations ou reste volontairement vague sur certains sujets.
    L’EMA, plutôt que de louer la diligence danoise, cherche à jeter le doute sur cette recherche validée par les pairs. Ceci est une attitude inappropriée en terme de sécurité de la part d’une agence du médicament.
  • L’EMA dénature le rapport de l’Uppsala Monitoring Centre en ce qui concerne d’éventuels préjudices graves du vaccin.
  • Le rapport confidentiel de l’EMA montre que plusieurs experts ont estimé que le vaccin pourrait ne pas être sûr et ont appelé à de nouvelles recherches, mais ceci n’apparaît pas dans le rapport officiel. Le niveau extrême de secret imposé par l’EMA sur les membres du groupe de travail et d’autres experts est inapproprié et va à l’encontre de l’intérêt public.
  • Il est inacceptable que l’EMA n’ait pas clairement indiqué dans son rapport officiel qu’elle avait permis aux compagnies pharmaceutiques d’être leurs propres juges dans l’évaluation de la sécurité de leur vaccin, d’autant plus que d’énormes quantités d’argent sont en jeu (les dépenses mondiales à ce jour sur les vaccins HPV sont estimées à environ 25 milliards d’€). L’EMA a demandé aux entreprises de rechercher des effets secondaires du vaccin dans leurs propres bases de données et n’a pas vérifié l’exactitude du travail réalisé. Ce n’est pas une procédure acceptable. Il existe d’innombrables exemples où les compagnies pharmaceutiques cachent de graves – voire mortels – effets indésirables aux autorités.
  • Il est tout à fait inacceptable que personne – pas même la personne dont la recherche est si fortement et injustement critiquée dans le rapport officiel de l’EMA – puisse juger pour quels motifs et par qui 50 cas sur 83 de syndromes de tachycardie orthostatique posturale (STOP) ont été rejetés par l’EMA. En outre, le rapport confidentiel de l’EMA révèle que les cas ont été rejetés sans avoir connaissance des dossiers médicaux complets. De toute évidence, la «recherche» menée par les entreprises n’a pas été à la hauteur des normes acceptées pour ces recherches, ce que l’EMA n’a pas surveillé. Ceci est très grave, car l’EMA a utilisé les évaluations des entreprises pour passer outre la recherche effectuée par le Dr Brinth, qui est pourtant d’un niveau beaucoup plus élevé.
  • Dans quasiment tous les essais de vaccins, le «placebo» contient un adjuvant aluminique, qui est soupçonné d’être neurotoxique. Il est donc difficile de trouver une différence entre les méfaits du vaccin et le «placebo», mais l’EMA n’a pas réussi à résoudre ce problème fondamental dans son rapport officiel. Nous pensons que cela constitue une faute scientifique.
  • Il est tout à fait inacceptable d’effectuer une revue de la littérature sans donner aux lecteurs les détails de ses méthodes, notamment les stratégies de recherche utilisées. Cela ressort clairement de tous les manuels au sujet des examens systématiques de la littérature, par exemple le Manuel Cochrane. Cochrane constate également que l’EMA a ridiculisé et rejeté la recherche effectuée par le service du Dr Brinth d’une manière qui est injuste, trompeuse, en partie erronée et péjorative. Si les agences du médicament se comportent ainsi lorsque les médecins signalent leurs observations au sujet de possibles préjudices graves de produits autorisés, les médecins seront peu susceptibles d’alerter le public sur leurs observations à l’avenir. Ce serait une tragédie pour la santé publique.
  • Beaucoup d’informations ont été retirées de la version finale de manière illégitime. Il existait de réelles incertitudes indiquant que d’autres recherches étaient nécessaires, et il y avait aussi beaucoup de désaccord au sein du groupe de travail de l’EMA, ce qui n’apparait pas dans le rapport officiel.

 

Cochrane cite ensuite 2 experts :

 

Les vaccins sont-ils sûrs ?


Selon les entreprises, ils sont sûrs. Dans un premier temps, le vaccin a été comparé à un groupe placebo vacciné avec du sérum physiologique, et le nombre de réactions indésirables était beaucoup plus élevé et les réactions beaucoup plus graves que dans le groupe témoin. Après avoir comparé 320 patients dans le groupe placebo salin, un changement rapide a été fait vers un placebo contenant de l’aluminium, afin d’être en mesure de n’évaluer que les effets de la substance active. Quoiqu’il en soit, ceci a faussé la comparaison (…). Les différences entre le groupe Gardasil et le groupe placebo salin étaient cependant déjà évidentes.”

 

Et Cochrane commente :

 

« Ces deux experts remettent sérieusement en question l’hypothèse qui prévaut, apparemment aussi à l’EMA, que le vaccin est si important pour la santé publique qu’il est justifié de ne pas communiquer au public 1) qu’il existe des incertitudes liées à la sécurité des vaccins, 2) que les compagnies pharmaceutiques ne peuvent pas être dignes de confiance; et 3) qu’il est erroné de regrouper ensemble les résultats obtenus avec un véritable placebo à ceux obtenus avec un placebo potentiellement neurotoxique. (…) Ceci est totalement inacceptable et contraire aux bonnes pratiques scientifiques à un degré tel que nous considérons qu’il s’agit d’une totale malhonnêteté scientifique de la part de l’EMA. »

 

Et les conflits d’intérêts ?

 

Cochrane s’intéresse ensuite aux situations de conflits d’intérêts. Cette question est essentielle, car comme l’indique la loi danoise : « Toute personne qui travaille dans l’administration publique n’est pas qualifiée à traiter des affaires dans lesquelles elle a un intérêt personnel ou financier… La personne qui n’est pas qualifiée à traiter une affaire ne prend pas de décisions, ne peut participer à la prise de décision ou à l’examen de l’affaire. »

 

Ces situations de conflits d’intérêts sont fortes et généralement masquées :

 

  • Julie Williams, rapporteur, dont le rôle semble avoir été central. Dans sa «déclaration publique d’intérêts» sur la page d’accueil de l’EMA du 21 Novembre 2015, aucun conflit d’intérêts n’est déclaré. Dans la réalité, de nombreux liens existent (Merck, Pfizer, Novartis, Eli Lily, …).
  • Guido Raisi, le directeur de l’EMA, déclare le 20 juillet 2015 qu’il n’a aucun conflit d’intérêts. Pourtant, un « Guido Rasi » dont nous estimons qu’il s’agit de la même personne, est titulaire d’un certain nombre de brevets où le requérant est une société pharmaceutique.

 

Cochrane insiste sur le fait qu’il est inapproprié d’utiliser des experts ayant des liens financiers avec les fabricants, car il est toujours possible de trouver des experts sans ces conflits.

 

Les questions posées par Cochrane à l’Agence européenne du médicament

 

Selon l’article 6 du traité de l’Union Européenne et la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne :

 

« La transparence permet aux citoyens de participer plus étroitement au processus de prise de décision et garantit que l’administration bénéficie dans un système démocratique d’une plus grande légitimité et est plus efficace et plus responsable devant le citoyen. La transparence contribue à renforcer les principes de la démocratie et le respect des droits fondamentaux »

 

Le 26 novembre 2015, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a publié un rapport d’évaluation de 40 pages en date du 11 Novembre sur la sécurité des vaccins contre le papillomavirus humain (HPV), qui est censé diminuer les décès par cancer du col de l’utérus.

 

Nous sommes préoccupés par le traitement de cette question par l’EMA tel qu’il relève de son rapport officiel et nous demandons à l’EMA d’apprécier :

 

  1. Si l’EMA a été transparente et responsable devant les citoyens et a respecté leurs droits à connaître les incertitudes liées à la sécurité des vaccins contre le HPV.
  2. Si l’EMA a répondu aux normes professionnelles et scientifiques qui sont attendues de l’agence pour garantir que l’administration dispose d’une légitimité lors de l’évaluation des preuves scientifiques et des données relatives à la sécurité de la vaccination du HPV.
  3. Si l’EMA a traité de façon équitable (…) un lanceur d’alerte danois, le Dr Louise Brinth, quand elle a soulevé des préoccupations au sujet de possibles dommages graves induits par les vaccins contre le HPV.
  4. Si l’EMA a traité de façon équitable (…) les observations et les préoccupations soulevées par les autorités médicales et de santé danoises et par le Centre de surveillance d’Uppsala au sujet de possibles dommages graves induits par les vaccins contre le VPH.
  5. Si les procédures de l’EMA pour évaluer la sécurité des interventions médicales garantit que l’administration dispose d’une légitimité. L’EMA a demandé aux fabricants de vaccins d’évaluer les préjudices potentiels de leurs propres produits dans lesquels ils ont d’énormes intérêts financiers.
  6. Si le secret extrême imposé par l’EMA à ses membres des groupes de travail et aux experts scientifiques, avec des accords de confidentialité pendant toute leur vie, est nécessaire; est légitime; est dans l’intérêt public; et garantit que l’administration dispose d’une légitimité.
  7. Si les informations expurgées par l’EMA des documents délivrés aux citoyens en référence aux demandes faites en vertu des lois sur l’accès à l’information étaient nécessaires; étaient légitimes; sont dans l’intérêt public; et garantissent que l’administration dispose d’une légitimité.
  8. Si l’EMA a agi d’une manière qui garantit que l’administration dispose d’une légitimité par rapport à la déclaration des conflits d’intérêts. Nous avons remarqué que le nom d’un Guido Rasi est associé à des brevets d’inventions et nous demandons s’il s’agit de la même personne que le directeur de l’EMA. Si oui, nous estimons que Rasi a omis de déclarer ses conflits d’intérêts. Nous pensons également que le rapporteur pour le rapport de l’EMA, Julie Williams, a omis de déclarer ses conflits d’intérêts.
  9. Si l’EMA se comporte d’une manière qui garantit que l’administration dispose d’une légitimité lorsque l’Agence utilise des experts ayant des liens financiers avec les industriels, dans la mesure où il est toujours possible de trouver des experts sans ces conflits.
  10. Dans un souci de transparence, nous exhortons l’EMA pour qu’elle s’assure que les noms de tous les experts consultés soient divulgués en même temps que leur déclaration de conflit d’intérêts. Nous exhortons également l’EMA pour qu’elle s’assure que les déclarations de conflits d’intérêt du rapporteur, des co-rapporteurs (Jean-Michel Dogne (BE) et Qun-Ying Vue (SE)), de leurs personnes de contact à l’EMA et de toute autre personne ayant fourni des déclarations à l’EMA soient rendues publiques. Enfin, nous exhortons l’EMA de s’assurer que les déclarations d’intérêts des fonctionnaires de l’EMA soient honnêtes.

 

Signataire: Peter C Gøtzsche, DrMedSci, MSc – Director of the Nordic Cochrane Centre, Rigshospitalet Professor, University of Copenhagen

 

Co-signatairesKarsten Juhl Jørgensen, Deputy Director of the Nordic Cochrane Centre, Rigshospitalet

Tom Jefferson, Honorary Research Fellow, Centre for Evidence Based Medicine, Oxford OX2 6GG, United Kingdom

Margrete Auken, MEP (The Greens/European Free Alliance)

Louise Brinth, PhD, MD, Danish Syncope Unit, Frederiksbe

 

Source: E3M

 

Voir aussi:

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

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20 mars 2016 7 20 /03 /mars /2016 17:07

Voici deux informations qui doivent absolument être recoupées et décryptées ensemble car l'une fait croire à la force et à l'inéluctabilité d'une théorie dont l'application totalitaire ne tient qu'à la puissance financière d'une infime minorité de personnes tandis que l'autre révèle la fragilité indéniable d'un dogme en train de voler en éclats non pas pour le pire mais surtout pour le meilleur de l'humanité en termes de santé publique. L'évolution des consciences ne doit jamais s'évaluer sur le court terme mais toujours sur le moyen à long terme car comme dit le proverbe, le mensonge peut faire le tour de la terre... le temps que la vérité mette ses chaussures!

 

Le marché des vaccins doublera d'ici à 2025 

 

Armelle Bohineust, le Figaro, 

L'usine de fabrication du vaccin contre la dengue à Neuville sur Saône. Crédit-photo: Sanofi

L'usine de fabrication du vaccin contre la dengue à Neuville sur Saône. Crédit-photo: Sanofi

Les ventes mondiales devraient atteindre 80 milliards de dollars en 2025, portées par la demande des pays émergents et l'arrivée de nouveaux vaccins. Quatre grands laboratoires dominent le marché.

 

Le marché des vaccins, qui est passé de 26 milliards en 2011 à 32,3 milliards en 2014, bondira encore pour atteindre 80 milliards de dollars en 2025, prévoit le cabinet d'études Alcimed.
 

Cette croissance exponentielle est largement due à la hausse de la demande de vaccins dans les pays en développement. Les gouvernements, aidés par des ONG telles que la Fondation Gates, multiplient les programmes d'immunisation sur les pathologies de base (polio, variole, rougeole etc.). L'évolution des vaccins contribue également à la hausse du chiffre d'affaires. Les laboratoires multiplient les vaccins combinés, qui immunisent contre plusieurs maladies en une seule injection. Or, ceux-ci, plus complexes à produire, sont vendus plus cher.

 

Barrières à l'entrée

 

Par ailleurs, de nouveaux vaccins contre des maladies infectieuses jusqu'alors sans remède arrivent sur le marché. Sanofi, numéro deux mondial avec 18 % de part de marché, vient ainsi de mettre sur le marché le premier vaccin contre la dengue. Un vaccin contre Ebola, pour lequel Merck a lancé des essais cliniques de phase 3, est attendu dans les prochaines années.

 

De grands laboratoires verrouillent ce marché. Sanofi est numéro deux derrière l'américain Merck (19 % de part de marché) et devant GSK (16 %) et Pfizer (13 %) sur lequel il est difficile de pénétrer. «Le processus de production est complexe. Un délai de cinq ans en moyenne, et de gros investissements, sont nécessaires entre la décision de construire une usine de vaccins et la production des premiers lots», souligne Anne-Charlotte Pupin, directeur de missions chez Alcimed. Sanofi a mis vingt ans et a dépensé 1,5 milliard d'euros pour mettre au point son vaccin contre la dengue. Des contraintes qui devraient toutefois être allégées pour le vaccin contre Zika, pour lequel les gouvernements, les ONG, les scientifiques et les labos multiplient les actions.

 

Source: le Figaro 

 

Après Jean Stéphenne parti il y a quelques années de GSK (après le gros scandale du H1N1 et du contrat secret signé entre GSK et l'Etat belge suite auquel nous avions intenté plusieurs actions en justice, notamment pour exiger la publication du contrat secret), voici maintenant le big boss général de GSK Andrew Witty qui part lui aussi à la retraite! Entretemps, la contestation vaccinale est plus forte que jamais et le document confidentiel (sur le sinistre Infanrix hexa) a été publié et est utilisé dans plusieurs pays dans le cadre d'actions en justice de victimes gravement touchées ou décédées suite à ce vaccin....

 

Mr. Vaccins plie face au vent des critiques

 

Luc Van Driessche, l'Echo, 18 mars 2016

Le fragile business des vaccins et la grande peur des dirigeants

Le CEO de GSK a annoncé hier son départ à la retraite au printemps 2017. Salué en Belgique pour avoir boosté les vaccins, il déçoit certains actionnaires qui pointent un rendement mitigé.

 

L’annonce était dans l’air depuis quelques semaines. Le président de GlaxoSmithKline, Philip Hampton, ayant lancé la recherche d’un successeur à Andrew Witty à la direction générale du laboratoire britannique, l’annonce faite hier de son départ à la retraite d’ici un an n’était qu’une demi-surprise.

Même si aucune allusion n’est faite aux péripéties des dernières années et à la grogne de certains actionnaires face à des ventes et un rendement financier jugés faiblards, il ne fait guère de doute que ces éléments ont fait pencher la balance dans le sens d’un départ en douceur.

 

  • Naissance le 22 août 196

     

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  • Tout bénéfice pour GSK Vaccines

     

     

  • Dès son arrivée à la tête de GSK en 2008, Andrew Witty, qui n’avait alors que 43 ans, s’est attaché à réformer les pratiques marketing de l’entreprise et à pousser le développement des vaccins. Une aubaine pour la filiale belge GSK Vaccines, qui produit 80 % des vaccins du groupe et qui emploie aujourd’hui plus de 8.000 personnes.

     

     

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  • Cet homme charismatique, excellent orateur, ne laisse d’ailleurs personne indifférent du côté de Wavre et Rixensart.

     

     

  • "On ne peut dissocier l’évolution spectaculaire de la division vaccins sans le leadership d’Andrew Witty. Sous sa direction, GSK Vaccines n’a fait que grandir", souligne un cadre belge. Qui salue l’opiniâtreté dont il a fait montre en poussant le développement d’un vaccin contre la malaria, le Mosquirix.

     

     

  • L’annonce était dans l’air depuis quelques semaines. Le président de GlaxoSmithKline, Philip Hampton, ayant lancé la recherche d’un successeur à Andrew Witty à la direction générale du laboratoire britannique, l’annonce faite hier de son départ à la retraite d’ici un an n’était qu’une demi-surprise.

     

     

  • Même si aucune allusion n’est faite aux péripéties des dernières années et à la grogne de certains actionnaires face à des ventes et un rendement financier jugés faiblards, il ne fait guère de doute que ces éléments ont fait pencher la balance dans le sens d’un départ en douceur.

  •  

  •  

 

Celui-ci touche au but. Il a reçu à l’été dernier l’assentiment de l’Agence européenne du médicament et a été recommandé par les experts de l’OMS pour une série de tests en Afrique subsaharienne.

 

"Cela aura pris 30 ans. Mener des recherches sur une telle durée ne peut se faire sans une impulsion du management", souligne-t-on à Wavre.

 

Le rachat, en 2014 des activités vaccins du suisse Novartis, qui a repris pour sa part la division Oncologie de GSK, s’inscrit dans la même logique.

 

Mécontentement

 

Au début de son mandat, Andrew Witty était perçu comme un des patrons les plus visionnaires dans le monde de la pharmacie.

 

Mais sa volonté d’étendre les activités du groupe au-delà des ventes de médicaments sur prescription dans les pays riches et les ennuis avec la justice chinoise (lire ci-contre) ont fini par mécontenter certains actionnaires.

 

Andrew Witty a ainsi fait l’objet des critiques de certains investisseurs, mécontents des résultats et des performances commerciales du groupe durant les trois dernières années.

 

L’annonce du départ d’Andrew Witty a du reste été saluée par un analyste londonien, qui y voit l’ouverture d’une "perspective rafraîchissante pour le groupe".

 

Le conseil d’administration de GSK a déjà fait savoir qu’il étudierait aussi bien des candidatures en interne qu’en externe pour la succession d’Andrew Witty. A 51 ans, il aurait pu prolonger durant une dizaine d’années encore. Au printemps 2017, il partira en (pré) retraite.

 

Source: l'Echo

 

Voir aussi:

 

H1N1. Le contrat entre l'Etat belge et GSK est révélé

 

 

Infanrix hexa: le document confidentiel accablant

 

 

GSK a-t-elle peur que ses stratégies soient révélées? 

 

La fracassante démission d'un haut cadre du Ministère de la Santé

 

L'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger

 

L'UNICEF pétoche et surveille le "sentiment anti-vaccins" sur les sites internet et dans les médias sociaux

 

Le vaccin selon Bill Gates

 

Ebola, prétexte en or pour une vaccination forcée?

 

Afrique: les mères fuient la vaccination des enfants suite aux craintes engendrées par les essais du vaccin Ebola

 

Vaccination contre la malaria: vers une grande expérimentation en Afrique, contraire au Code de Nuremberg

 

Zika: la nouvelle star des pandémies?

 
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1 mars 2016 2 01 /03 /mars /2016 23:03

Un journal médical retire brusquement une étude qui remet en cause la sécurité du vaccin HPV

Un journal médical retire brusquement une étude qui remet en cause la sécurité du vaccin HPV

Tom Blackwell, 17 février 2016

 

Une prestigieuse revue médicale a soudainement retiré une étude Canadienne co-rédigée qui jette le doute sur l’innocuité du vaccin contre le papilloma virus humain (HPV), en raison des craintes qu’une science douteuse ne puisse saper un outil important de santé publique.

 

L’étude conclut que les souris auxquelles on a injecté le vaccin Gardasil contre le HPV ont présenté des anomalies de comportement. L’étude suggère de mettre un frein aux programmes de masse prévus pour immuniser les jeunes-filles contre un virus pouvant provoquer le cancer.

 

Le journal médical «Vaccine» n’a pas indiqué pourquoi l’étude avait été « temporairement » retirée de son site cette semaine – après qu’elle ait cependant déjà été examinée par des pairs. Le journal signale que l’article pourrait bientôt être remplacé, ou que « l’article pourrait être rétabli ».

 

 

Mais certains critiques disent que la méthode a été entachée de graves irrégularités et que les conclusions vont à l’encontre de nombreuses grandes études qui montrent que le vaccin est sûr.

 

« C’est vraiment un mauvais article », a déclaré Tania Watts qui détient la chaire d’immunologie humaine Sanofi Pasteur à l’Université de Toronto. « Je suis surprise que cette étude ait pu passer (à l’examen d’origine par les pairs) Je ne l’aurais pas laissé passer. »

 

Les deux chercheurs de l’Université de Colombie Britannique qui ont contribué à réaliser cette étude – Christopher Shaw du département d’ophtalmologie et la post-doctorante Lucija Tomljenovic – sont bien connus pour le travail qu’ils ont réalisé et qui établissait un lien entre les vaccins et des problèmes neurologiques.

 

La science focalisée sur « l’adjuvant » aluminium qui augmente le potentiel immunisant des vaccins, a aussi été critiquée comme étant trompeuse et partiale.

 

Les scientifiques Canadiens – largement financés par des fondations anti-vaccins- affirment que leur dernière étude pourrait avoir été retirée en raison de la pression des compagnies pharmaceutiques ou des gouvernements qui n’appréciaient pas les résultats de leur étude.

 

« Il est plus que certain que ce fut le cas », a rétorqué fermement Tomljenovic.

 

«Les recherches solides sont étouffées et interdites. Le lobby pharmaceutique a répandu partout sa propagande comme des métastases », a répondu Lucija Tomljenovic dans un e-mail qui répondait à des questions.

 

Le Dr Gregory Poland, expert de la vaccination à la Clinique Mayo, et éditeur de la revue médicale Vaccine n’a pas pu être contacté pour présenter un commentaire.

 

Les deux types de vaccin contre le HPV actuellement sur le marché se sont montrés efficaces pour prévenir les souches du virus qui causent 70% des cancers du col de l’utérus, du pénis, de l’anus, de la gorge, ainsi que les cancers du vagin. Environ 1.500 femmes canadiennes reçoivent un diagnostic de cancer du col chaque année, et 380 en décèdent.

 

« On corrige la mauvaise science par une science meilleure, et pas  en la retirant de la littérature comme si elle n’avait jamais existé. »

 

La vaccination de routine des jeunes-filles a débuté à la fin de l’année 2000 dans la plupart des provinces. Des études qui ont porté sur des centaines de milliers de vaccinées dans le monde entier n’ont trouvé aucun signe de problèmes graves concernant la sécurité du vaccin.

 

Pourtant ce vaccin a attiré pas mal d’opposants. Parmi eux, une petite clique de scientifiques, l’Eglise catholique et le mouvement anti-vaccin.

 

Les articles scientifiques ont eu un effet puissant dans le passé, notamment avec une petite étude britannique reliant le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole à l’autisme. Cette étude a entrainé une méfiance généralisée par rapport à la vaccination – avant qu’elle ne soit finalement jugée frauduleuse.

 

La plupart des recherches réalisées par Shaw et Tomljenovic ont été publiées dans des revues « d’impact relativement faible », mais Vaccine est considéré comme la principale publication internationale dans le domaine.

 

La nouvelle étude – menée par un groupe israélien dirigé par le Dr Yehuda Shoenfeld de l’Université de Tel Aviv et financé par la fondation anti-vaccinale Dwoskin – a réparti des souris en quatre groupes de 19 qui ont reçu le vaccin, un placebo ou juste de l’aluminium.

 

Les chercheurs ont conclu que les souris auxquelles on avait administré le Gardasil et l’aluminium étaient plus susceptibles de simplement flotter sur l’eau que de nager au cours d’un « test de nage forcée » - Les chercheurs ont considéré qu’il s’agissait là d’un signe de dépression. – Au cours d’un test de labyrinthe, les souris se sont comportées d’une manière qui suggérait une perte de mémoire à court terme.

 

Watts a déclaré qu’il y aurait pu y avoir des biais dans l’étude par rapport aux groupes de souris. Les chercheurs auraient également fait une « énorme extrapolation » à partir d’une étude douteuse sur des animaux qu’ils auraient ensuite rapportée à une expérience humaine avec un vaccin très bien testé, a-t-elle dit.

 

Et l’analyse statistique que les scientifiques ont utilisée suggère des différences entre les groupes de souris qui auraient très bien pu être le résultat « d’un pur hasard » précise une critique détaillée par David Gorski, chirurgien du cancer de l’Université Wayne State du Michigan…

 

« Cette étude est sans valeur » a écrit Gorski. «  Je peux voir pourquoi le Dr Poland a été probablement horrifié de découvrir que cet article a été publié dans son journal ».

 

Shaw s’en est tenu à sa recherche, en précisant qu’elle n’est pas « hostile » vis-à-vis du vaccin, mais il veut souligner que ces effets comportementaux ont déjà été enregistrés chez l’homme. Il a voulu préciser que ce qu’il voulait dire semblait correspondre à une tendance dirigée contre des journaux qui ont retiré des articles faisant l’objet de controverses, tout spécialement quand il s’agit d’articles critiques à l’encontre des vaccins, comme la phrase suivante peut l’illustrer :

 

« C’est vraiment un pauvre article. Je suis surpris qu’il ait pu passer. »

 

« Je ne pense pas que la littérature  qui présente des éléments qui ne vous plaisent pas doive être supprimée, a-t-il précisé. », « On corrige la mauvaise science par une science meilleure, et pas en la retirant de la littérature comme si elle n’avait jamais existé. »

 

Alors que la plupart des essais de vaccins contre le HPV ont été financés par les fabricants de ces produits, le laboratoire de Shaw à l’UBC a reçu 860.000 $ de la Fondation Dwoskin, 23.000$ de la Fondation anti-vaccinale Kaitlyn Fox, et 862.280 de la succession Luther Allyn Shourds Dean, une autre source de fonds privés qui soutient la recherche critique sur les vaccins depuis 2011.

 

Shaw et Tomljenovic cherchent « sans relâche » à « incriminer les vaccins », a déclaré le Dr Eduardo Franco, directeur de la Faculté d’épidémiologie à l’Université McGill.- Une sommité mondiale sur le lien entre le cancer et le HPV, Franco a reçu un financement de fabricants de vaccins.

 

Source : News.nationalpost.com

 

P.S. En dernière minute, nous apprenons que le Dr Poland est  président d'un comité d'évaluation pour la sécurité des essais de vaccins menés par Merck Research Laboratories (= le fabricant du vaccin HPV Gardasil). Le Dr. Poland offre, en consultation, des conseils sur le développement de nouveaux vaccins pour Merck & Co., Inc., Avianax, Sciences Theraclone (anciennement Spalted Corporation), MedImmune LLC, Liquidia Technologies, Inc., Emergent BioSolutions, Novavax, Dynavax, EMD Serono, Inc., Novartis Vaccines and Therapeutics et PAXVAX.

 

Source : newsnetwork.mayoclinic.org

 

Mais pendant ce temps, les autorités françaises continuent de désinformer en diffusant ce genre de publicité mensongère sans aucune base scientifique sérieuse:

Faites attention à la propagande mensongère! Ces vaccins HPV ne sont PAS sans danger... le savoir à temps vous évitera de regretter après coup d'y avoir laissé votre santé...

Faites attention à la propagande mensongère! Ces vaccins HPV ne sont PAS sans danger... le savoir à temps vous évitera de regretter après coup d'y avoir laissé votre santé...

On comprend mieux maintenant comment on en arrive, vu cette censure dans les journaux médicaux sponsorisés, à nier si facilement tout lien entre ces vaccins et diverses maladies...

On comprend mieux maintenant comment on en arrive, vu cette censure dans les journaux médicaux sponsorisés, à nier si facilement tout lien entre ces vaccins et diverses maladies...

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7 août 2015 5 07 /08 /août /2015 12:57

Une ancienne visiteuse médicale de MERCK explique que l’obligation vaccinale est pour le profit, pas pour la santé publique

Une ancienne employée de Merck l'avoue: "l'obligation vaccinale, c'est pour le profit et pas pour la santé publique"

Brandy Vaughan est une ancienne représentante de ventes pour le fabricant de vaccins Merck & Co. Elle explique en détails comment les fabricants de vaccins se servent précisément des vaccins pour réaliser d’énormes profits et non pour la Santé publique. Brandy a effectué des recherches sur la sécurité des vaccins. Elle a trouvé que, non seulement les vaccins contenaient des produits toxiques connus qui pouvaient provoquer des dégâts neurologiques, mais aussi que les fabricants de vaccins ne réalisaient pas les mêmes études de sécurité pour les vaccins comme ils le font pour les autres médicaments. Ce manque de recherches sur la sécurité des vaccins ajouté aux effets secondaires de la vaccination a contribué à faire prendre à Brandy la décision de ne jamais faire vacciner son enfant. Brandy déclare qu’administrer des vaccins à nos enfants, c’est comme jouer à la roulette russe avec eux. Elle ajoute que la vaccination obligatoire est simplement un moyen pour les fabricants de vaccins de faire de plus amples bénéfices encore sur le dos de nos enfants. S’il vous plaît, ne soyez pas dupes : nous n’avons aucun besoin de vaccination obligatoire.

 

Larry Cook, www.StopMandatoryVaccination.com

 

Mon premier engagement dans l’industrie pharmaceutique comme représentante pour la firme Merck date de l’époque où le Vioxx était sur le marché. J’étais, en fait, représentante pour le Vioxx de Merck. Quand il est apparu que Merck avait falsifié ses données de sécurité, et que le Vioxx provoquait deux fois plus de crises cardiaques et accidents vasculaires cérébraux chez les personnes qui prenaient le médicament, j’ai commencé à réaliser qu’il y avait beaucoup de corruption dans les coulisses et que ce n’était pas parce qu’un médicament était sur le marché qu’il pouvait être considéré comme sûr.

 

Après avoir travaillé pour Merck, je fus assez désabusée par l’ensemble du scandale. J’ai vécu à New-York pendant huit ans, et c’est là que j’ai eu mon fils. A six mois, je l’ai ramené avec moi à San Francisco sans qu’il soit vacciné. Quand je me suis rendue à la visite médicale, ils ont essayé de nous fourguer les vaccins. A cette époque, je n’avais pas encore fait énormément de recherches, mais j’en savais déjà assez pour ne pas faire aveuglément confiance aux médicaments. Au cours de la visite médicale, j’ai demandé à voir la notice du vaccin. Le médecin a éclaté en colère, prétendant que je ne lui faisais pas confiance. Il sortit en claquant la porte et une infirmière me fit savoir que je ne serais désormais plus jamais la bienvenue dans cette clinique. Sachant tout ce que j’avais déjà appris en tant que représentante, ce fut pour moi un fameux et énorme signal. Je poursuivis donc mes recherches sur les vaccins, les ingrédients et les données inexactes de sécurité.

 

Je découvris beaucoup de choses. L’une d’elles était que l’aluminium était le principal adjuvant des vaccins pour enfants. J’avais déjà fait certaines recherches sur l’aluminium et avais donc déjà une certaine expérience. Ma grand-mère avait eu un cancer du sein. La biopsie avait montré des taux élevés d’aluminium dans ses tissus.  Le médecin nous expliqua que ma grand-mère devait abandonner les déodorants traditionnels parce que l’aluminium qui s’y trouvait était susceptible de provoquer le cancer. C’était un produit cancérogène. Ce fut encore un fameux signal d’avertissement pour moi quand je réalisai que ces produits se trouvaient dans les vaccins pour les enfants. Je parvenais à peine à y croire !

 

J’ai continué à faire de plus en plus de recherches et je finis par réaliser qu’aux Etats-Unis on administrait deux fois plus de vaccins que dans la plupart des autres pays développés, et que la véritable crise de santé était le fait que nos enfants étaient plus malades que dans n’importe quel autre pays développé, en dépit du fait que plus d’argent était, par habitant, dépensé pour les soins de santé. Aux Etats-Unis, nous avons les taux les plus élevés de mort subite du nourrisson, d’asthme, d’allergies alimentaires, de TDAH, de leucémie infantile, et du type 1 de diabète. Pour moi, c’était cela la véritable crise de santé.

 

Au plus j’approfondissais le sujet, au plus je réalisais que les vaccins ne concernaient guère la santé publique. Il s’agit surtout des profits de l’industrie pharmaceutique. Ce qui est intéressant avec les vaccins, c’est que les mêmes études rigoureuses de sécurité qui sont réalisées pour la plupart des médicaments ne se font généralement pas pour les vaccins parce que tout simplement les vaccins sont considérés être une mesure de santé publique contrairement aux différents médicaments. Les études des vaccins durent en général peu de temps. Ce se sont pas des études en double aveugle avec véritable placebo comme c’est pourtant la norme d’or pour les médicaments. Pour les vaccins,  on n’exige pas les mêmes études rigoureuses que pour les médicaments. Il est aussi très facile de manipuler les données et de les présenter comme étant sans danger. Si on analyse les études en étant particulièrement attentifs à la toxicité des adjuvants et des additifs, on s’aperçoit que les études dites de sécurité ne prouvent pas du tout la sécurité des vaccins. En fait,  il existe pas mal d’études qui montrent que quantités d’additifs des vaccins sont très toxiques, tout spécialement pour les enfants dont le système immunitaire est encore particulièrement immature.

 

Au plus j’approfondissais les études de sécurité et me rendais compte à quel point elles étaient défectueuses, au plus j’étais en quelque sorte mise en garde. Mon fils a maintenant 4 ans ½, et n’est toujours pas vacciné. Je me suis sentie d’autant plus motivée dans cette lutte que j’ai appris que des projets de loi rendant les vaccinations obligatoires commençaient à émerger un peu partout dans le pays, dans plus de 138 états. Il est clair pour moi maintenant qu’il s’agit d’une question de profit avant d’être une question de santé publique. Je sais que de nombreuses compagnies pharmaceutiques ont perdu leurs médicaments vedettes. Au cours de ces dernières années, elles ont perdu leurs brevets. C’est la raison pour laquelle ces compagnies cherchent à augmenter leurs profits.

 

Pour les vaccins, les études de sécurité sont moins rigoureuses et donc moins coûteuses, il y a moins d’obstacles pour en obtenir la mise sur le marché. En outre les sociétés pharmaceutiques sont dégagées de toute responsabilité, de toute poursuite possible. En fait, les vaccins sont le seul produit aux Etats-Unis pour lequel vous ne pouvez engager de poursuites judiciaires normales s’il y a dommage ou décès. Si vous réunissez tous ces éléments vous avez alors un produit avec la marge bénéficiaire la plus élevée possible. En rendant les vaccins obligatoires et en n’arrêtant pas d’élargir le calendrier vaccinal, ce sont nos enfants qui sont utilisés dans des buts de profit. C’est là exactement ce qui se cache derrière les projets de loi visant à rendre la vaccination obligatoire.

 

Une des choses que l’on me demande souvent c’est pourquoi on n’entend pas plus souvent parler de la chose si elle était vraie. Au cours de ma recherche, j’ai découvert que les Etats-Unis étaient l’un des deux seuls pays au monde qui autorisaient les entreprises pharmaceutiques à faire directement de la publicité aux consommateurs. Nous avons tous vu des publicités pour médicaments dans les médias. Cela permet aux compagnies pharmaceutiques de dicter essentiellement ce qui est présenté dans les médias. Si vous leur accordez 30 à 40% de leur publicité, vous contrôlez pratiquement tout ce qu’ils annoncent. Combien de journalistes et d’articles n’ont-ils pas été censurés, y compris le lanceur d’alertes du CDC, fin de 2014 qui a révélé que le CDC avait camouflé des données qui montraient que le vaccin ROR provoquait des dommages neurologiques (autisme). Récemment, il y a eu beaucoup d’histoires de différents pays qui poursuivaient les fabricants de vaccins pour des dommages et des décès. Certains vaccins n’ont plus été conseillés comme le Gardasil au Japon, le Prevenar en Chine, le Rotavirus en France. L’Espagne aurait fait un procès à Merck pour le Gardasil.

 

Au travers des médias traditionnels, les compagnies pharmaceutiques dépensent chaque année 18 milliards de dollars en frais de marketing. Pour les médecins, les compagnies dépensent six fois ces sommes en plans d’assurance santé, conférences éducatives, études publiées dans des revues médicales, etc., etc. Tout cela revient à dire que nous avons des vaccins exemptés de toute responsabilité pour le fabricant, très peu de données montrant que ces vaccins sont sûrs et efficaces, avec d’énormes dépenses de marketing. Aux Etats-Unis notre système vaccinal est délabré. Il n’est pas possible de rendre un produit obligatoire quand tant de questions restent sans réponse et quand tant de choses se passent dans les coulisses dont le public n’est pas conscient, comme par exemple les ingrédients des vaccins. Rappelez-vous qu’un pédiatre n’a pas voulu me montrer la notice du vaccin ! Il y avait évidemment de bonnes raisons pour cela : la présence d’aluminium, de formaldéhyde, de cellules de fœtus avortés, de cellules animales. Ces vaccins comprennent quantités d’autres éléments que d’autres pays refusent pour la consommation et pour l’incorporation dans les vaccins. Il y a aussi des éléments dont on ne connait pas les conséquences, et pour lesquels on ne possède pas suffisamment de données. N’est-ce pas jouer à la roulette russe avec la santé de nos enfants ?

 

Les compagnies pharmaceutiques disent que tout cela concerne l’aide apportée au public, concerne la sécurité publique. Je me demande alors pourquoi nous ne disposons pas de plus de données sur les effets que vont avoir tous ces éléments, pourquoi nous n’avons pas d’études long-terme, des études sur les effets qu’ont ces produits dans le corps même de nos enfants. Aujourd’hui, nous avons les enfants les plus malades du monde. Il y a quelque chose qui ne tourne plus rond. Il ne s’agit peut-être pas uniquement des vaccins. C’est aussi le cocktail de pesticides et de polluants dans l’eau, dans l’air. Mais les vaccins représentent souvent un déclencheur parce que génétiquement le corps a besoin d’un  déclencheur pour exprimer ce genre de maladies et de problèmes que nous connaissons aujourd’hui. Les vaccins sont souvent en cause parce que ces produits chimiques sont injectés dans le flux sanguin, de sorte qu’ils peuvent ne pas nécessairement passer par une grande partie des processus de détoxification. Il arrive que ces produits pénètrent directement dans le cerveau au travers de la barrière hémato-encéphalique. Ce sont ces questions difficiles qu’il nous faut poser. Avant cela, avant que nous ne disposions de plus d’information, il n’est absolument pas possible de rendre les vaccins obligatoires. Il doit y avoir le choix. Là où il y a risque le choix s’impose.

En 1983, un jeune Américain recevait entre 0 et 18 ans 24 doses de vaccins en 7 injections. En 2016, un jeune Américain de 18 ans aura déjà reçu 70 doses de vaccins répartis en 50 injections... Est-ce tellement mieux en Europe?

En 1983, un jeune Américain recevait entre 0 et 18 ans 24 doses de vaccins en 7 injections. En 2016, un jeune Américain de 18 ans aura déjà reçu 70 doses de vaccins répartis en 50 injections... Est-ce tellement mieux en Europe?

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 09:26

Dans un pays "normal", dans un Etat normal, la preuve qui suit et signée de la main de Marisol Touraine elle-même devrait lui valoir une démission immédiate.

 

Car l'hypocrisie sans nom de Mme Touraine est responsable de handicaps et d'effets post-vaccinaux graves irréversibles au quotidien. Elle qui critiquait Roselyne Bachelot lors du H1N1 pour se profiler en futur ministrable ne vaut finalement pas mieux du tout qu'elle et elle apparaît ainsi comme une électoraliste vraiment peu soucieuse du bien commun et qui n'a aucune parole ni aucune fidélité à ses engagements. C'est donc une Ministre en qui personne ne peut avoir confiance. 

 

Marisol Touraine a tenté de descendre en flamme la pétition du Pr Joyeux sur le vaccin DTP en disant que "la vaccination, ça ne se discute pas!". Sans argument, elle a fait une attaque personnelle sur la personne contre le Pr Joyeux. Mais voici maintenant venu le temps où la honte publique lui revient de droit car voyez plutôt les propos exacts qu'elle a tenus sur l'aluminium et sur les vaccins dans un courrier du 20 avril 2012 dans le cadre de la campagne présidentielle de François Hollande et qu'elle avait alors envoyé à l'association E3M...

 

"De nombreuses études ont ainsi alerté sur le possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien des sels d'aluminium.

 

[…] "La nature des adjuvants utilisés dans leur fabrication doit faire l'objet d'une attention particulière et doit être communiquée aux familles afin qu'elles soient pleinement informées. Elles doivent également avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires par des vaccins sans sel d'aluminium, d'autant plus que cela était le cas jusqu'en 2008."

 

Lire le courrier/la preuve irréfutable que Marisol DOIT démissionner...

Vaccins: LA preuve que l'hypocrisie de Touraine doit valoir sa démission (et signée de sa main en plus!!)

Que toutes les victimes (vaccinées depuis le 16 mai 2012, date d'entrée en fonction de M. Touraine) n'hésitent plus à poursuivre pénalement Marisol Touraine qui a une responsabilité écrasante depuis qu'elle est Ministre et que cette dame explique donc à la justice pourquoi elle a fait volte-face sur ses anciennes déclarations de sorte que l'on puisse examiner la propreté de son entourage expertal...

 

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28 mai 2015 4 28 /05 /mai /2015 13:16

Dr Richard Horton (Lancet): "La moitié de ce qui est écrit dans la littérature médicale est peut-être faux."

 

22 mai 2015. Laurent Freeman, lu sur StopMensonges.com

La moitié de ce qui est écrit dans la littérature médicale est peut-être faux – Dr. Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet

Le Dr. Horton est rédacteur en chef du journal médical le plus connu mondialement. Depuis quelques années, de plus en plus de professionnels ont partagé une vérité qui, pour plusieurs, est difficile à avaler. Une de ces autorités est le Dr. Richard Horton, rédacteur en chef actuel du « Lancet », considéré comme l’un des journaux médicaux des plus respectés et dont les articles sont révisés par des pairs.

 

Le Dr. Horton a publié récemment dans le Lancet une affirmation déclarant qu’une grande partie des résultats des recherches publiées sont, au mieux, sujets à caution, si non complètement faux.

 

« Le cas contre la science est simple et direct : il y a beaucoup de choses, dans la littérature scientifique, peut-être la moitié, qui est tout simplement erronée. Affligée par des études ne comportant qu’un petit échantillonnage, des effets minimes, des analyses de laboratoire non valables et de flagrants conflits d’intérêts, avec, en plus, la poursuite obsessive de tendances « à la mode », la science a pris le chemin de l’obscurité ».

 

C’est très inquiétant, puisque toutes les études (commanditées par l’industrie) utilisent des médicaments ou des vaccins qui prétendent aider les gens, enseigner au personnel médical et aux étudiants en médecine etc.

 

Il est très commun de ne pas prendre en considération une grande somme de travail accompli par des experts et des chercheurs, dans différentes institutions, partout dans le monde, qui n’est pas examiné par les pairs et qui n’est pas publié dans un journal « crédible », mais comme nous pouvons le voir, la critique des pairs ne signifie plus grand-chose. Les journaux médicaux « crédibles » continuent à perdre du terrain, aux yeux des experts et même des employés de ces journaux, comme le Dr. Horton.

 

Le Dr. Horton, d’une certaine façon, s’est critiqué lui-même, en affirmant que les éditeurs des journaux aident et encouragent les pires des comportements, que la quantité de mauvaises recherches est alarmante, que les données sont « sculptées» pour cadrer avec la théorie préférée. Il continue en disant que d’importantes confirmations sont souvent rejetées et que peu de choses sont faites pour corriger les mauvaises pratiques. Ce qui est pire, c’est qu’il y a beaucoup de choses qui se passent pouvant être considérées comme frôlant la faute professionnelle.

 

Le Dr. Maria Angell, médecin et, pendant longtemps, éditrice en chef du New England Medical Journal (NEMJ), qui est aussi considéré comme un autre des plus prestigieux journaux médicaux, revu par les pairs, dans le monde entier, a fait savoir, de façon très claire, son opinion sur le sujet :


«Il n’est, tout simplement, plus possible de croire une grande partie des résultats des recherches cliniques qui sont publiés, ni de nous fier au jugement de médecins fiables ni aux recommandations médicales faisant autorité. Cette conclusion ne me fait pas plaisir et c’est une conclusion que j’ai atteint lentement, après deux décennies en tant qu’éditrice en chef du New England Journal of Medicine ».

 

Cependant, il y a beaucoup plus d’éléments, qui ne sont pas que des preuves anecdotiques, pour supporter ces déclarations, incluant les documents obtenus par Lucija Tomljenovic, PhD, du Neural Dynamics Research Group, dans le service d’Ophtalmologie et des Sciences Visuelles de l’Université de la Colombie Britannique, qui révèlent que les fabricants de vaccins, les compagnies pharmaceutiques et les autorités de la santé connaissent les multiples dangers associés aux vaccins, mais ont choisi de ne pas les divulguer au public. C’est une fraude scientifique et leur complicité suggère que cette pratique continue, à ce jour. 

 

Ce n’est qu’un des nombreux exemples et cela fait allusion à un point auquel se réfère le Dr. Horton et qui est l’omission de données.

 

C’est vraiment un temps extraordinaire pour être vivant. Dans toute son histoire, l’humanité a expérimenté de multiples changements de paradigmes, de réalisations qui ont rencontré une résistance farouche au moment de leur révélation. Un de ces exemples est le moment où nous avons réalisé que la Terre n’est pas plate. Aujourd’hui, nous voyons ce genre de changements de pensée révélateurs dans de multiples sphères, les unes après les autres. Cela peut sembler étourdissant pour ceux qui y prêtent attention, spécialement parce que beaucoup de ces idées vont à contre-courant des systèmes de croyance actuels. Il y aura toujours de la résistance envers de la nouvelle information qui ne cadre pas avec notre structure actuelle, même si cette information est raisonnable (ou factuelle).

 

Sources : PluxactuStop Mensonges & Collective-evolution

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21 mars 2015 6 21 /03 /mars /2015 20:43

Laurette Onkelinx ne nous avait hélas pas habitués à mieux. Le journal De Morgen vient de révéler ce qui n'est sans doute qu'un des multiples épisodes de la gestion calamiteuse des nombreux ministères où cette femme est passée: un contrat secret conclu avec une firme pharmaceutique américaine controversée, Alexion, pour acheter des médicaments à prix d'or (de 4000 à 18 000 euros de traitement par mois!) contre une maladie rare. L'ex Ministre belge de la Santé qui s'imaginait sans doute rester Ministre toute sa vie (et qui l'était déjà depuis plus de 20 ans sans discontinuer) a bien entendu, sans surprise, joué la carte de l'arrogance en s'empressant d'affirmer qu'elle "le referait" et en jouant sur la corde communicationnelle de l'émotion, affirmant avoir voulu "sauver la vie d'un enfant". Hélas, pour une personne qui a signé un contrat confidentiel d'achat de vaccins H1N1 aussi hasardeux pour la santé et la sécurité de millions de Belges, son souci de vouloir soi-disant "sauver des vies" apparaît particulièrement hypocrite et non crédible.

Laurette Onkelinx: sa conception de la santé, de la transparence et de la démocratie

Si Mme Onkelinx avait voulu sauver des vies, tout en faisant qui plus est des économies, elle aurait profité du pouvoir qu'elle avait en tant que Ministre pour oser courageusement remettre en question le calendrier vaccinal belge démentiel qui coûte non seulement la vie à bien plus d'enfants que le seul cas qui semble avoir suffi à emporter sa décision d'achat pour ce médicament Soliris mais qui en plus, est source de bien d'autres maladies graves et handicaps, du diabète, en passant par l'épilepsie, l'autisme et même... l'anémie hémolytique. Or il s'avère que c'était justement ce dont souffrait cet enfant prétendument sauvé par ce traitement hors de prix (qui, cela n'est pas improbable, pourrait bien être tombé malade à la faveur d'un des nombreux vaccins qu'il a sûrement reçus). Pour être plus précis, cet enfant souffrait du "Syndrome hémolytique et urémique" (SHU) qui associe comme symptômes des effets bien connus des vaccins: anémie hémolytique (le corps attaque et détruit ses propres globules rouges), atteinte de la fonction rénale (les vaccins sont de grands pourvoyeurs d'atteintes rénales comme l'a déjà expliqué la néphrologue américaine Dr Suzanne Humphries) et thrombopénie (= diminution du nombre de plaquettes sanguines qui figure telle quelle sur la notice de la plupart des vaccins)

 

Les enjeux de documents confidentiels sont conséquents: alors que Laurette Onkelinx était encore Ministre fédérale de la Santé en décembre 2012 et en janvier 2013, nous avions publié une série de documents confidentiels accablants émanant de l'Agence belge des Médicaments (AFMPS) dont elle avait la tutelle et concernant les effets secondaires de plusieurs vaccins administrés à plus de 90% des bébés belges innocents et sans défense dès l'âge de deux mois. GSK, le fabricant du vaccin-jackpot Infanrix hexa, y listait pas moins de 800 effets secondaires possibles, susceptibles d'affecter tous les systèmes du corps...en somme, un vrai catalogue d'horreurs connu des autorités mais non des parents (malgré l'existence d'une loi belge du 22 août 2002 sur les droits du patient et le droit au consentement libre et éclairé, hélas quotidiennement bafoué) ! De même, dans les autres documents confidentiels dûment connus des autorités de santé dont Onkelinx avait la charge, on pouvait lire un taux d'effets secondaires graves du vaccin Prevenar (= contre les pneumocoques) de 3% dans les essais cliniques, un chiffre énorme et incomparablement plus élevé que le risque qu'un enfant fasse jamais une complication grave d'une infection naturelle aux pneumocoques! Les autres documents confidentiels alertaient aussi sur un risque neurologique multiplié par 3 pour les bébés en cas de vaccination simultanée (donc lors d'une même consultation) avec Infanrix hexa et Prevenar comme c'est pourtant officiellement recommandé mais malgré cela, Mme Onkelinx n'a émis aucune directive pour que le calendrier vaccinal soit modifié. Comme ce changement n'aurait pas fait les affaires de Big Pharma, tant pis pour ces milliers de bébés inutilement exposés à ces risques neurologiques...ils pourront remercier, entre autres, Laurette Onkelinx, du moins s'ils ont un jour les capacités cognitives suffisantes pour le faire!

 

Mme Onkelinx ne sait absolument pas ce qu'est le débat et la preuve tristement éclatante en a été donnée avec l'épisode du H1N1 puisque son projet de loi d'exception, finalement approuvé, consistait à se donner les pleins pouvoirs en mettant les parlementaires hors jeu. De même, le contrat d'achat de vaccins confidentiel dont le contenu était hallucinant et qu'elle a osé signer avec la firme GSK apporte aussi un éclairage sur le peu de cas que ce personnage fait de la notion de débat. En effet, pas besoin de débat quand tout est confidentiel. Alors qu'elle affirmait publiquement que ce vaccin était sûr et bien testé, il s'avérait au contraire qu'il y avait eu 7 décès sur 2000 patients dans les essais cliniques du vaccin Pandemrix acheté à la hâte... un chiffre énorme qui n'augurait donc rien de bon sur la mauvaise tolérance de ce vaccin. La suite montrera que nous avions raison avec les cas de narcolepsies notamment mais qui ne sont bien sûr que la seule pointe émergée de l'iceberg!

 

Laurette Onkelinx a donc agi dangereusement et de façon indigne du mandat qui était le sien, même si elle n'a rien trouvé de mieux pour nier sa responsabilité d'évoquer le fait que "tout le monde faisait pareil", qu'elle avait suivi l'OMS etc... l'exemple polonais a d'ailleurs très bien montré la pertinence et l'efficacité du refus de sombrer tête baissée dans le tout pharmaceutique. Qu'à cela ne tienne, Laurette Onkelinx a choisi son camp, celui de l'industrie pharmaceutique et de ses innovations en trompe l'oeil. La vraie santé pouvant rarement s'obtenir par le biais d'approches politiques hypocrites ou électoralistes, il faut que les citoyens prennent conscience du rapport pour le moins surréaliste que Laurette Onkelinx a entretenu avec le concept de "démocratie". Et lorsqu'ils lisent à présent dans la presse les larmes de crocodile de Laurette qui ose dire que "la démocratie est actuellement asphyxiée au parlement", il faut surtout y voir une Xème crise de nerfs d'une femme qui s'est toujours comportée en politique à la manière d'un enfant roi, habituée à se faire obéir au doigt et à l'oeil, habituée à avoir les médias à ses pieds, elle qui les a toujours inondés de ses grands sourires vides de sens. Laurette Onkelinx a bien contribué à sa façon à asphyxier la démocratie et le domaine de la santé malgré ses grands sourires et ses aptitudes communicationnelles et médiatiques indéniables. Gesticuler dans les médias n'a toutefois jamais suffi à rendre la moindre personne compétente et digne de confiance. Laurette Onkelinx, qui n'a décidément pas la même notion du gaspillage que la plupart des contribuables leur aura donc déjà coûté (trop) cher....

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21 mars 2015 6 21 /03 /mars /2015 14:01

Les laboratoires pharmaceutiques qui arrosent le plus les médecins... et les médecins les plus arrosés

 

17 mars. Par Sandrine Chauvin. Le Capital.fr 

         

Alors que le projet de loi Santé est examiné à l'Assemblée nationale, l'association Regards Citoyens jette un pavé dans la mare. Ce collectif vient de publier la liste des millions de cadeaux et de contrats offerts aux professionnels de santé par les laboratoires pharmaceutiques. Deux ans et demi de travail et des milliers de données qui mettent en lumière un système très troublant et encore très opaque... Un site Internet permet d'entrer le nom de son médecin pour connaître le montant des cadeaux qu'il a perçu des laboratoires.

 

Les laboratoires pharmaceutiques seraient très très généreux avec nos chers médecins ! Entre janvier 2012 et juin 2014, ils auraient ainsi versé par moins de 236 millions d'euros en cadeaux et autres petits avantages (repas, frais hôteliers, voyages, etc.) aux professionnels de santé, du chirurgien au généraliste, en passant par le pharmacien et la sage-femme. Largement de quoi se payer le dernier modèle de l'Airbus A350 !

 

Répartition par la nature des cadeaux reçus par les professionnels de santé

 

Source: RegardsCitoyens.org

 

Pour mettre au jour un tel micmac, l'association Regards Citoyens a compilé depuis 2 ans et demi les données publiées par l'ordre des médecins, des pharmaciens, des dentistes, des infirmiers et des sages-femmes, mais aussi par le ministère de la Santé. Au total, ce sont ainsi plus de 400.000 professionnels qui se feraient arroser par le lobby pharmaceutique. "Il faut ajouter les internes, le personnel administratif dans les hôpitaux et les cliniques, les associations de praticiens et parfois même les associations de malades, qui ne sont pas insensibles aux présents des labos, mais n'apparaissent pas dans les statistiques officielles", précise Tangui Morlier, l'un des auteurs de ce travail de fourmi, aussi consultant en informatique.

 

C'est le scandale du Mediator, qui a obligé les pouvoirs publics à favoriser davantage de transparence dans les relations entre les labos et les professions médicales. Cet antidiabétique prescrit comme coupe-faim à des milliers de femmes en quête de lignes parfaites aurait coûté la vie de 500 à 2.000 personnes. En cause notamment : les relations troubles entre les laboratoires et les professionnels de santé. A l'issue de cette affaire, le ministre de la santé de l'époque, Xavier Bertrand, propose une loi adoptée par le Parlement pour favoriser la transparence sur les liens d'intérêts entre les médecins et l'industrie pharmaceutique. Résultat: le site transparence.sante.gouv.fr voit le jour.

 

On y retrouve le montant des cadeaux reçus ou encore le nombre de conventions organisées par les labos auxquelles chaque médecin a participé. "Mais les fonctionnalités sont médiocres et certaines ont carrément disparu, s'étonnent les militants associatifs. Il n'est par exemple plus possible de rechercher les praticiens par code postal uniquement et d'avoir la liste des laboratoires concernés". Autre bémol : le montant des cachets touchés par les médecins lors de congrès et autres études de marché n'est pas détaillé. "Dommage, car c'est l'activité la plus lucrative", déplore François Massot, membre de l'association Regards Ciroyens et développeur de profession. "Cette restriction fait suite à une circulaire signée par Marisol Touraine , l'actuelle ministre de la Santé", note-t-il.

 

Répartition par type et nombre de contrats

 

Source: RegardsCitoyens.org

Parmi les fichiers épluchés, Regards Citoyens a toutefois mis la main sur un document diffusé par erreur par le laboratoire Bayer, qui détaillerait des montants de contrats signés dans le cadre de congrès et autres missions de consulting allant de 10.000 à 70.000 euros. Rien que ça ! Or, les médecins auraient signé plus de 232.000 de ces contrats. Certains afficheraient par exemple pas moins de 20 contrats, comme ce psychiatre dont le nom n'a pas été rendu public, et 70.695 euros de cadeaux. Rien d'illégal toutefois. Pour qu'un médecin soit sanctionné, il faudrait démontrer qu'il y a un vrai conflit d'intérêt et le dénoncer à l'ordre des médecins, souligne François Massot.

 

Parmi les labos les plus généreux : Novartis Pharma, le fabricant de l'anti-inflammatoire Voltarène ou de la Ritaline prescrit pour soigner l'hyperactivité des enfants. Le labo suisse aurait dépensé près de 17,9 millions d'euros pour chouchouter les professionnels de santé. Plus étonnant encore, le laboratoire Servier, pourtant éclaboussé dans l'affaire Mediator, continuerait à choyer les blouses blanches (13,05 millions en 2 ans).  Avec 9,79 millions d'euros, le britannique Glaxosmithkline figurerait dans le trio de tête avec ses antibiotiques connus de tous les parents : l'Augmentin ou le Clamoxyl.

 

Les 15 labos pharmaceutiques les plus généreux avec les professionnels de santé (entre janvier 2012 et juin 2014)                                     

Source: RegardsCitoyens.org

Source: RegardsCitoyens.org

Selon les données récoltées par Regards Citoyens, le plus gâté serait un chirurgien qui aurait empoché pas moins de 82.781 euros de cadeaux en nature entre janvier 2012 et juin 2014. Il est pour l'heure impossible de publier son nom. "Une délibération de la CNIL permet de consulter les données nominatives sur le site du ministère de la Santé, mais malheureusement pas de les diffuser", commente Tanguy Marlier. Ses deux confrères les plus gourmandes, des cardiologues auraient touché respectivement 79.198 euros et 77.480 euros. Aucune spécialité ne serait oubliée. Un cancérologue aurait ainsi touché 59.012 euros. Largement de quoi pouvoir se délecter de plusieurs invitations dans des restaurants 3 étoiles.

 

Les 25 médecins les plus gâtés par les laboratoires (la divulgation de leur nom est interdite)

 

Source: RegardsCitoyens.org

Source: Le Capital.fr

 

Pour consulter toutes les données détaillées, rendez-vous sur le site de l'association Regards Citoyens 

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 18:02

GSK condamné à 380 millions d'euros d'amende pour corruption en Chine


Mis à jour le vendredi 19 septembre 2014

 

CORRUPTION.jpgLe géant pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline (GSK), reconnu coupable de faits de corruption, a été condamné par un tribunal chinois à une amende de 3 milliards de yuans, soit 380 millions d'euros, a indiqué vendredi un média d'Etat.


La Cour intermédiaire de Changsha (centre) a jugé GSK coupable d'avoir versé des pots-de-vin pour doper ses ventes en Chine, a indiqué le groupe dans un communiqué à la Bourse de Londres. Le laboratoire a été condamné à une amende de 3 milliards de yuans, soit l'équivalent de 378 millions d'euros -la pénalité "la plus élevée" jamais infligée par la justice chinoise à une entreprise, selon l'agence officielle Chine nouvelle.


Cette dernière a ajouté que l'ex-patron de GSK en Chine, le Britannique Mark Reilly et d'"autres responsables" présentés à la justice avaient écopé de peines d'emprisonnement "de deux à quatre ans". Mark Reilly a été condamné à trois ans de détention. Il bénéficiera d'une suspension et sera expulsé, a-t-elle ajouté sans autre précision.


Ces "activités illégales" commises en Chine sont "contraires aux valeurs et standards attendus des employés de GSK", a réagi le groupe, qui a fait part de ses "excuses sincères" au gouvernement et aux consommateurs chinois. Les autorités chinoises avaient annoncé en juillet 2013 avoir ouvert une enquête contre GSK, accusant le laboratoire britannique d'avoir mis en place un vaste système de corruption destiné à muscler son chiffre d'affaires.


Près de 500 millions de dollars (388 millions d'euros) auraient ainsi été versés depuis 2007, par l'intermédiaire d'agences de voyages et de projets de sponsoring, à des personnels médicaux ou des officiels, avait alors indiqué la police. Au terme de 10 mois d'enquête, la police avait conclu en mai dernier que Mark Reilly avait ordonné à ses équipes de commerciaux de verser des pots-de-vin à des hôpitaux, médecins et cadres politiques.


Le système de santé chinois est considéré comme miné par l'opacité et la corruption, provoquées notamment par les bas salaires des personnels médicaux.


 Sources : RTBF & lesechos.fr

 

Et si on additionnait toutes les corruptions de toutes les pharmas dans tous les pays du monde, ça ferait quel montant d’amende ?

 

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