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24 mai 2011 2 24 /05 /mai /2011 23:59

Dans un dossier de la revue Pharmaceutiques (revue du secteur) datant de juin-juillet 2007 et intitulé "Vaccins, l'Europe mène le bal", on peut lire les propos, plus que troublants de Didier Hoch, président de l'European Vaccine Manufacturers à Bruxelles.(voir page 4/14)

 

En effet, à la question "Que manque-t-il à l'industrie du vaccin pour être durablement confortée dans sa croissance?"

 

Didier Hoch répond: "Il faudrait déjà que sur les investissements à long terme, en R&D ou en production, nous ayons une vision claire de l'avenir. C'est à dire que quand l'Europe décide d'une priorité comme la préparation de la pandémie grippale, qu'elle inscrive bien cette préparation au rang de ses priorités et affiche sa volonté de soutenir des projets de R&D. il faut en un mot une politique clairement définie en la matière."

 

 

Là c'est sur que, pour le coup, la "pandémie" de 2009, elle avait été très très bien préparée, très  à l'avance... Tellement bien préparée d'ailleurs qu'elle n'a jamais vraiment eu lieu et, on n'en doute pas, beaucoup en sont déjà à guetter les suivantes. Appât du gain oblige!

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7 avril 2011 4 07 /04 /avril /2011 18:43

Le Monde, 05/04/2011

 

L'affaire du Mediator a montré les liens parfois trop proches que peuvent entretenir un grand laboratoire pharmaceutique comme Servier et les autorités de santé. Mais l'influence des labos peut s'exercer aussi dans un autre domaine : celui de la presse médicale.

Mails et pièces à l'appui, la journaliste dénonce en effet des censures, explicites ou implicites, de son travail, notamment par rapport à Servier.  Le journal, lui, estime avoir "respecté l'éthique".

ARTICLES EN RELECTURE CHEZ SERVIER ?

Craignant les foudres du laboratoire, l'un des principaux annonceurs de l'hebdomadaire, la rédaction en chef aurait ainsi, selon l'ex-salariée, refusé de parler du livre du docteur Irène Frachon, Mediator 150 mg, combien de morts ? (Dialogues.fr, 2010).

Même après l'étude de la Caisse nationale d'assurance-maladie sur ce médicament, qui confirmait, en octobre 2010, les craintes du Dr Frachon, Impact médecine n'a pas fait état de ces critiques. "Notre rédactrice en chef a accepté qu'une des journalistes fasse un article. Mais son papier, très factuel, n'a finalement pas été publié. Raison invoquée par la rédaction en chef : 'C'est trop sensible''', raconte encore Virginie Bagouet.

Interrogée par Le Monde.fr, la directrice de la rédaction d'Impact Médecine, Anne Prigent, relativise : "C'est vrai, nous n'en avons pas parlé, mais comme l'ensemble de la presse. Nous n'avons pas de rubrique 'Livres' et nous ne voyions pas la nécessité, à sa sortie en juin 2010, de revenir sur cette affaire, puisque le Mediator a été interdit en 2009".  Elle dément toute "censure", "à moins que vous appeliez censure la réécriture d'articles mal construits", et dénonce un "mauvais procès".

"NOUS NE SOUHAITONS PAS VOIR FIGURER LE GRAPHIQUE"

Autre exemple cité par la journaliste, qui concerne toujours le laboratoire Servier : "J'ai été envoyée, fin août 2010, suivre un congrès de cardiologie à Stockholm, où était présentée une étude importante de Servier sur un de ses médicaments, le Procoralan. L'article que j'ai écrit a été envoyé en relecture à Servier pour 'validation scientifique'", se souvient la journaliste.

"J'étais en copie des mails, j'ai vu la relecture par le laboratoire. Des modifications ont été apportées, dont une erreur." Et lorsque la journaliste demande à sa rédactrice en chef des explications, Virginie Bagouet indique qu'elle s'est vu répondre : "Servier est content".

Anne Prigent réfute en bloc : "Nous ne faisons pas valider nos articles par Servier, ni par aucun autre laboratoire. Il peut arriver qu'il y ait relecture, au niveau scientifique, par des experts, pour des précisions techniques. Les conférences sont souvent en anglais et on décrit rapidement des choses complexes, qui peuvent nécessiter des éclaircissements." Contacté, le laboratoire Servier n'a pas souhaité répondre aux questions du Monde.fr

Pourtant, des échanges de mails que Le Monde.fr a pu consulter posent question. On y constate qu'une directrice de clientèle d'Impact Médecine est en relation régulière avec un cadre de Servier à propos d'articles à paraître. "Pour la relecture, êtes-vous là vendredi ?", lui demande-t-elle. Ce dernier répond : "N'hésitez pas à m'envoyer les articles à relire." Quelques mails plus tard, il écrit à la directrice de clientèle : "Je vous confirme que nous ne souhaitons pas voir figurer le graphique."

"LES RÉDACTIONS SE METTENT AU SERVICE DES LABOS"

Pour expliquer les censures qu'elle dénonce, Virginie Bagouet avance une raison avant tout économique. "Je n'ai pas le chiffre précis mais la publicité des laboratoires représente l'essentiel des revenus de la revue", précise la journaliste qui poursuit : "A chaque fois qu'on a voulu parler du Mediator, on nous a répondu que, la dernière fois que le journal avait critiqué Servier, celui-ci n'avait plus commandé de publicité durant six mois, mettant en péril les finances."

Le député PS Gérard Bapt, président de la mission d'information parlementaire sur le Mediator, a reçu Virginie Bagouet. Il se dit "scandalisé". Et tout particulièrement par un épisode cité par la journaliste : à l'occasion d'un dossier sur la rhumatologie, la moitié de son article a été, selon elle, réécrit. Dans un autre cas, un autre article, vantant les mérites d'un médicament de Servier, a été inséré à son insu.

L'article était signé d'un prête-nom : une certaine Claire Bonnot. Une signature utilisée, d'après la journaliste, pour les articles vantant les produits du laboratoire. "C'est faux, répond la directrice de la rédaction, Anne Prigent. Claire Bonnot est un pseudonyme utilisé depuis des années pour les articles écrits ou modifiés par la direction de la rédaction, en aucun cas uniquement pour Servier."

"En commission, les responsables d'Impact Médecine nous ont assuré que cette  personne existait, qu'il s'agissait d'un article écrit de manière indépendante. En fait c'était faux, tout avait été relu et corrigé chez Servier", fustige Gérard Bapt, furieux de ce "chantage à la pub". "Les rédactions se mettent au service des labos parce qu'il faut vivre", constate l'élu, qui estime que la pratique touche la plupart des journaux spécialisés à destination des médecins.

"LES MÊMES PRESSIONS DANS TOUTE LA PRESSE"

Si Virigine Bagouet a quitté la revue, elle ne se fait pas d'illusion : "Je pense que j'aurai du mal à retrouver un travail dans la presse médicale, sourit-elle. Je n'ai pas eu à pâtir de ce genre de pratique avec d'autres laboratoires, mais je sais que cela existe." Et d'ajouter : "Servier a un mode de communication un peu archaïque, les autres sont plus subtils dans leurs techniques de communication."

Et le problème de fond demeure : "La crise rend cette presse encore plus dépendante des annonceurs." Même un scandale comme celui du Mediator ne suffit pas à ébranler ce rapport de force. "Ce qui m'a décidé à témoigner, c'est de voir la presse médicale nier en bloc et jouer la vertu. C'est grave", estime la jeune femme.

Pour Anne Prigent, "les pressions dans la presse médicale sont les mêmes que dans toute la presse. Nous y répondons de la même manière. Les labos sont nos annonceurs principaux, c'est clair. Mais on fait notre travail avec éthique."

Gérard Bapt, lui, se montre pessimiste : "Il est difficile d'encadrer les pratiques de la presse médicale. On évoque la possibilité d'imposer des espaces de publication pour les agences officielles mais cela n'aura pas un impact énorme. Ce sont les instances de régulation de la publicité qui devraient agir." L'élu souhaite toutefois que ces expériences incitent les médecins à prendre du recul lors de la lecture de ces revues,"qui ne sont bien souvent que du matraquage pour certains produits".

Samuel Laurent

 

Source: Le Monde 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 23:40

PHARMA/ Le géant britannique de la pharma GlaxoSmithKline plie face à la justice américaine. Washington l’accusait de fabriquer et distribuer des médicaments frelatés.

 

AFP, 26/10/2010

 

 

Le groupe pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline (GSK) va payer 750 millions de dollars pour mettre fin à des poursuites du gouvernement américain. Washington l’accusait de fabriquer et distribuer des médicaments frelatés.

 

Dans un communiqué publié mardi, le département américain de la Justice (DoJ) indique que SB Pharmco Puerto Rico, une filiale de GlaxoSmithKline, a accepté de «plaider coupable à propos d’accusations liées à la fabrication et la distribution de certains médicaments produits à l’usine de Cidra, à Porto Rico», aujourd’hui fermée.

 

GSK va payer 750 millions de dollars pour mettre fin aux poursuites du gouvernement liées à ces problèmes, dont 150 millions de dollars d’amende pénale et un versement de 600 millions de dollars dans le cadre d’un règlement à l’amiable avec le gouvernement, ajoute le communiqué.

 

Les médicaments concernés, fabriqués à l’usine de Porto Rico entre 2001 et 2005, sont le Kytril (anti-nausée), le Bactroban (pommade contre les infections), le Paxil CR (anti-dépresseur) et l’Avandamet (traitement du diabète).



Source: 24H.ch

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9 octobre 2010 6 09 /10 /octobre /2010 21:07

ZURICH (Suisse) - Le groupe pharmaceutique suisse Novartis a annoncé jeudi avoir conclu un accord avec la société américaine Synthetic Genomics Vaccines (SGVI) pour accélérer le développement de vaccins contre la grippe.

 

Dans le cadre de ce partenariat d'une durée de trois ans, le laboratoire suisse va employer la technique du "génome synthétique" pour accélérer la production de virus souches de la grippe, a-t-il précisé dans un communiqué.

 

Les virus souche sont utilisés comme base dans la production de vaccin à grande échelle.

 

Novartis et SGVI vont développer une base de données de virus souches synthétiques disponibles pour démarrer la production de vaccins contre la grippe dès que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) aura identifié le type de grippe.

 

"Cette technologie pourra réduire le temps de production des vaccins jusqu'à deux mois, ce qui est particulièrement important dans le cas d'une pandémie", a précisé le groupe helvétique.

 

Novartis développe et commercialise des vaccins contre la grippe saisonnière et a fait partie des laboratoires qui ont produit un vaccin contre la grippe H1N1.

 

A la Bourse suisse, cette annonce n'a guère influencé le titre Novartis, qui progressait légèrement de 0,18% à 55,80 francs suisses dans un marché en baisse de 0,05% à 07H18 GMT.

 

(©AFP / 07 octobre 2010 09h24)

 

Source: Romandie

 

 

L'avis d'Initiative Citoyenne: Alors que ces vaccins H1N1 expérimentaux au développement bâclé ont déjà fait des milliers de victimes sans parler des décès et autres évènements graves survenus au cours des essais cliniques, voilà que se confirme bel et bien le souhait inquiétant, tant des officiels de santé que de la part des industriels, d'accélérer encore le processus de fabrication de ces produits. Sans doute pour mieux parvenir à l'avenir à faire croire à la "grande efficacité" de cette méthode? Quoi qu'il en soit, on parle de nouveau ici de future pandémie (à noter que l'article fait état d'un partenariat d'une durée de 3 ans), de production de vaccins A GRANDE ECHELLE.

On parle du reste de la technique du "génome synthétique", une technique qui consiste à vouloir imiter la Nature (et soi disant faire Mieux ou tout aussi bien!) avec tous les risques inhérents à ce type d'arrogance.

 

Au sujet de cette technique, il faut savoir qu'à l'occasion de la création de la première cellule au génome artificiel (synthéthique) en mai 2010, Jennifer Miller, directrice de Bioethics International a expliqué: “Avec une nouvelle technologie, il vous faut toujours considérer les bénéfices ET LES RISQUES, souligne Jennifer Miller, directrice de Bioethics International. Il y a le risque de voir cette technologie tomber entre de mauvaises mains, telles celles d’un bioterroriste. Il y a aussi des risques importants mais plus subtiles liés au fait que vous ne savez pas ce qu’il se passera quand ces nouveaux organismes ou ces nouvelles espèces auront été libérées dans la nature.”

 

L'usage des vaccins hépatite B ne s'est pas révélé sûr, à tel point que les industriels sont déjà en train de fabriquer de nouveaux vaccins anti-hépatite B. On peut donc se demander pourquoi si ceux-ci étaient tellement "au point". Il est à noter que ces vaccins sont des vaccins recombinants (transgéniques), obtenus via des OGM pour la culture des virus...

 

En conclusion, quand on lit ces "projets" alarmants et inquiétant, on en revient toujours au même constat: les instances "publiques" (en tout cas celles qui sont crues comme telles et se présentent ainsi officiellement) et même les états n'ont plus AUCUN pouvoir sur ces gigantesques firmes pharmaceutiques qui peuvent se permettre de faire la loi, tout simplement parce qu'elles en ont les moyen et qu'elles constituent, avec tout l'argent accumulé, un véritable "rouleau compresseur" en terme de démocratie et de santé.

 

Tout cela, ce ne sont bien sûr pas des affirmations gratuites: on a bien vu l'arrogance et l'autoritarisme "du maître" quand Novartis s'effarouchait de voir l'Etat français vouloir résilier une partie des doses préalablement commandées et menaçait de ne plus "livrer" de futurs vaccins en cas de futures pandémies...

 

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 21:58
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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 21:26

Enorme mais vrai. Alors que les officiels de santé ne cessent de clamer que la vaccination antigrippale est salutaire, sûre et efficace, voilà que ceux-là même qui la produisent doivent avouer le contraire....

 

Comme les propres propos de GSK dans la notice du vaccin Flulaval le démontrent, les Drs Snacken et Vergison sont complètement à côté de la plaque: il n'y a pas que des avantages au vaccin et il n'a jamais été démontré qu'il était "important", "efficace" ou faisant partie d'une "bonne pratique médicale"!

 

C'est dans la notice d'un de ses vaccins antigrippaux destinés au marché américain, le Flulaval, que la multinationale pharmaceutique GSK l'admet: OUI, il y a des effets secondaires graves qui sont liés à la vaccination et OUI, vous lisez bien, "il n'existe aucun essai contrôlé qui ait démontré une diminution de la maladie après vaccination avec Flulaval."

 

Pour bien comprendre l'importance d'une telle affirmation, il importe de savoir que des officiels de santé comme le Pr Marc Van Ranst et le Dr René Snacken, membre de l'ECDC (European Center for Disease Control) et aussi de l'ESWI (groupe scientifique se présentant comme indépendant alors qu'officiellement sponsorisé par tous les industriels du secteur comme on peut voir sur le site de ce groupe) et ancien conseiller du Ministre, osaient écrire dans un livre blanc sur la grippe, en 2005 que "la vaccination antigrippale ne présente que des avantages pour notre pays, tant au niveau individuel, économique ou social que du point de vue de la santé publique."

 

Dans la même veine, la pédiatre infectiologue-hygiéniste de l'Hôpital universitaire des Enfants Reine Fabiola (HUDERF), Dr Anne Vergison n'a elle non plus pas peur du ridicule quand elle ose déclarer "Pour être cohérent, à partir du moment où nous pensons- et démontrons- que le vaccin contre la grippe est important et qu'il fait partie d'une bonne pratique médicale, je me demande parfois s'il ne faudrait pas songer à le rendre obligatoire."

 

 

FLULAVAL GSK

 

Voir notice vaccin Flu Laval de GSK (p.1): ICI

 

Dans le document sur le vaccin antigrippe FLULAVAL de GSK (révisé en mai 2010) et qui serait destiné à la vente aux E.U. cette saison avec le Fluarix, on peut, entre autres, relever les éléments suivants :

 

[…]  Le Flulaval est un vaccin (inactivé) contre l’influenza provoquée par les sous-types A et B  indiqué pour l’immunisation des adultes de 18 ans ou plus. L’indication est basée sur la réponse immunitaire obtenue (par le Flulaval).

Il n’existe pas d’essais contrôlés démontrant une diminution de la maladie (grippe) après la vaccination au moyen du vaccin Flulaval (1, 14)  (Voir études cliniques (14)

 

 

6.2     EXPERIENCES POSTMARKETING

 

Les effets secondaires suivants ont été identifiés après que l’autorisation de mise sur le marché ait été accordée. Du fait que ces événements ont été rapportés volontairement par une population dont l’importance est incertaine, il n’est pas toujours possible d’estimer sérieusement l’incidence de la vaccination ou d’établir une relation causale avec la vaccination.

 

Les effets secondaires décrits ci-dessous sont repris dans le texte parce que :

 

a) Ils représentent des réactions dont on sait qu’elles surviennent après les vaccinations en général ou après des vaccinations contre la grippe d’une manière plus spécifique.

 

b) Ces effets sont potentiellement graves.

 

c) La fréquence avec laquelle ils sont rapportés.

 

Troubles Sanguins et Lymphatiques : Lymphadénopathie.

 

Troubles oculaires : Conjonctivite, douleurs oculaires, photophobie.

 

Troubles gastro-intestinaux/ Vomissements, dysphagie.

 

Troubles généraux, problèmes au site de l’injection : Douleurs thoraciques, inflammation au site d’injection, asthénie, rash au site d’injection, symptômes pseudo-grippaux, marche anormale, abcès stérile au site d’injection.

 

Troubles du système immunitaire : Œdème allergique de la face, œdème allergique de la bouche, anaphylaxie, œdème allergique de la gorge.

 

Infections : pharyngite, rhinite, laryngite, cellulite.

 

Troubles des muscles et du squelette: faiblesse musculaire, maux de dos, arthrite.

 

Troubles du système nerveux : Vertiges, paresthésie, hypokinésie, somnolence, syncope, Syndrome de Guillain-Barré, convulsions/attaques, paralysie des nerfs crâniens ou faciaux, encéphalopathie, paralysie des membres.

 

Troubles psychiatriques : Insomnie

 

Troubles respiratoires, thoraciques, troubles du médiastin : Dyspnée, dysphonie, bronchospasme, tensions dans la gorge.

 

Troubles de la peau et des tissus sous cutanés : urticaire, rash localisé ou généralisé, prurit, œdème périorbital, transpiration.

 

Troubles vasculaires : rougeur, .pâleur

 

8.1. GROSSESSE

 

Grossesse catégorie B

 

Une étude toxicologique a  été réalisée sur la reproduction et le développement des rats femelles à une dose environ 56 fois la dose utilisée pour l’homme (sur base de mg/kg)

 

Il n’existe cependant pas d’études adéquates et correctement contrôlées sur les femmes enceintes. Du fait que les études réalisées sur animaux ne peuvent pas toujours être prédictives par rapport aux réactions chez l’homme, le Flulaval ne devrait être administré à la femme enceinte que quand la chose est clairement indiquée.

 

8. 4   UTILISATION PEDIATRIQUE

 

La sûreté et l’efficacité du Flulaval en pédiatrie n’a pas été établie.

 

13.1     CANCEROGENESE, MUTAGENESE, TROUBLES DE LA FERTILITE

 

Flulaval n’a pas été testé quant à son potentiel cancérogène, mutagène ou pour les troubles de la fertilité.

 

14.     ETUDES CLINIQUES

 

Dans 2 études activement contrôlées et randomisées sur le Flulaval, les réponses immunitaires spécifient les taux d’anticorps HI pour chaque souche de virus dans le vaccin. Ces taux ont été obtenus 21 jours après l’administration du Flulaval.

Aucun essai contrôlé n’a été réalisé pour montrer une diminution de la maladie après la vaccination.

 

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16 juillet 2010 5 16 /07 /juillet /2010 01:02

GSK aurait tenté de dissimuler les risques d'un antidiabétique

 

Le producteur GSK aurait tenté de dissimuler les effets vasculaires négatifs de son remède vedette, la rosiglitazone. Des spécialistes accusent le producteur de manipulation. Notre dossier dans Le Soir.

 

 Plus de quinze mille Belges et près d'un million d'Européens l'utilisent : la rosiglitazone, prescrite sous le nom d'Avandia, pourrait être interdite dès la semaine prochaine.

 

L'autorité européenne du médicament examinera deux nouvelles études accablantes sur une aggravation du risque cardiovasculaire constatée chez des milliers de patients. Un risque de 28 à 39 % plus élevé que d'autres antidiabétiques, parfois aussi efficaces.

 

Des données que la FDA, l'autorité américaine du médicament, examine déjà ces mercredi et jeudi.

 

Que fera GSK en Belgique si la FDA préconise le retrait du médicament ? « Nous ne faisons pas de conjectures sur les décisions des experts américains » répond-on à La Hulpe.

 

Mais, au-delà du volet médical, de lourds soupçons pèsent sur les méthodes de la firme pour protéger son produit : pressions sur un expert, menace de procès, dissimulation de résultats défavorables au médicament. Et même vol de manuscrit, dont la divulgation devait le mettre au ban de la communauté scientifique. C'est raté !

 

 

Source: Le Soir

 

 

"GSK a caché les risques d'infarctus d'un médicament" peut-on lire sur RTL;

  ......

 

 

La réaction d'Initiative Citoyenne, dans son communiqué de presse du 15 juillet 2010 ICI

 

 

Le communiqué de Belga suite à la réaction d'Initiative Citoyenne ci-dessous:

 

15 juillet 2010 à 19h00

 

"L'affaire "Avandia" traduit un manque de transparence

 

(Belga) "Alors que les officiels étaient au courant déjà en 2003 du risque accru d'insuffisance cardiaque pour les millions de patients qui prenaient l'Avandia en Europe, pourquoi ont-ils tant tardé à réagir? ", s'indigne Initiative citoyenne.

 

 Ce groupe de citoyens avait déjà dénoncé le contrat lié au vaccin contre la grippe AH1N1, passé entre l'Etat belge et la firme pharmaceutique GSK.

 

Initiative citoyenne estime que la polémique liée à l'Avandia constitue un indice fort de conflits d'intérêts dans le chef des agences de validation comme l'EMEA et la FDA, "très majoritairement financées par les firmes pharmaceutiques".

 

Le groupe de citoyens dénonce un "manque évident de transparence", dans ce dossier comme dans celui lié au vaccin dont le contrat entre l'Etat belge et GSK, était tenu secret.

 

 Initiative citoyenne réclame une indépendance des agences de validation et leur financement uniquement par des fonds publics.

 

Elle demande aux experts interrogés par les médias de décliner leurs liens éventuels avec le secteur industriel.

 

Enfin, elle plaide pour la mise sur pied d'un groupe mixte formé pour moitié de citoyens afin de créer un contre-pouvoir "pour palier le manque de contrôles".

 

"On prend les citoyens pour des imbéciles en leur demandant de faire confiance aveuglément aux experts. On dépossède les gens de leur propre autonomie en matière de santé", estime Sophie Meulemans, une membre fondatrice d'Initiative citoyenne.

 

"Alors que l'Etat devait se garder de toute démarche pouvant salir la réputation de GSK, celle-ci se démolit elle-même en refusant toute confrontation au bons sens". (ROJ) "

 

Source: Le Vif l'Express

 

 

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3 mai 2010 1 03 /05 /mai /2010 23:54

Le 8 mai 2010 à l'UCL se tiendra une après-midi sur la vaccination. Jusque là, rien de très surprenant.

En revanche, quand on analyse d'un peu plus près le programme "scientifique", on peut lire les choses suivantes:

 

 

de 13h30 à 17h30 :  Séance AMA-UCL : La vaccination chez l'adulte : aspects cliniques et éthiques
Coordonnateurs : R. Krémer, D. Lamy
Présidents de séance : D. Lamy, D. Bouilliez

  • La variole : des histoires.  R. Krémer
  • Rôle des adjuvants dans la confection des vaccins.  N. Garcon
  • Vaccination contre le virus A H1N1 : les leçons.  Y. Van Laethem
  • La vaccination de l'adulte en Belgique ou en voyage.  B. Vandercam
  • Vaccination contre le cancer du col utérin : actualités.  J.L. Squifflet
  • Table ronde : pourquoi les médecins se vaccinent-ils peu souvent ?

       Avec l'aimable participation de GSK

 

http://sites.uclouvain.be/ecu-ucl/ecu2010.html

 


On peut sans risques anticiper sur la teneur de l'exposé du Dr Van Laethem et ainsi couper court aux spéculations: AUCUNE leçon n'a véritablement été tirée, la dernière phrase concernant la participation de GSK étant suffisamment évidente en elle-même!

 

 

Est-ce la première fois que de tels liens peuvent ainsi porter préjudice à l'indépendance des sujets étudiés et analysés?

 

Absolument pas comme en atteste cette page concernant la "chaire de médecine générale GSK Biologicals" qui, comme par hasard, traite notamment de l'immunologie et de la "fragilité du sujet âgé". Et, autre hasard des plus inattendus est que c'est dans le cadre de ce partenariat que les recherches du Pr Degryse porteront sur " l’étude des problèmes, des barrières et des réticences des personnes âgées vis-à-vis de la vaccination anti-grippale."

 

 

 

 

"Science sans conscience n'est que ruine de l'âme", Rabelais

 

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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 08:58

BALE — Le groupe pharmaceutique suisse Novartis, qui produit un des vaccins contre la grippe pandémique H1N1, a mis mardi en garde les gouvernements contre les annulations de commandes, avertissant que les Etats "fiables" seraient à l'avenir servis les premiers.

"Les mêmes gouvernements qui ont exercé beaucoup de pression sur l'industrie (pharmaceutique) pour livrer très rapidement des vaccins sont les mêmes gouvernements qui ont dit +on ne veut plus ce qu'on a commandé+", a indiqué à l'AFP le PDG de Novartis Daniel Vasella.

Le patron du géant pharmaceutique a averti que "la prochaine fois qu'il y aurait une pandémie - et il y aura une pandémie - les gouvernements qui avaient été des partenaires fiables seraient traités de manière préférentielle".

 
Lire la suite ici :
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iBkMeySnhyQ8g-xrngv5d_NixafQ 





Remarque: Comment pouvait-on imaginer ce tableau de fausse pandémie sans le chantage des firmes pharmaceutiques? Un chantage qui n'a jamais cessé d'exister: avant la "pandémie", pendant et après....
Comme toujours! Rien de neuf sous le soleil ;-)
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