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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 15:35

Le pire accueil que votre nouveau-né puisse jamais recevoir

 

15 avril 2013, Christina England, Vactruth

 

hallmark-vaccines-300x199.jpg

C’est intéressant de savoir qui est lié à qui dans le domaine des vaccinations. Très souvent, ce que les individus perçoivent est entièrement différent de ce qu’il en est réellement. Ceci s’explique simplement par le fait que nous ne sommes pas en possession de tous les faits, ce qui nous rend bien sûr dans l’incapacité d’avoir une vue d’ensemble du « tableau général ». Cependant, quand nous plongeons un peu plus en profondeur, ce que nous découvrons peut souvent s’avérer bien plus sinistre que ce à quoi nous pouvions nous attendre.

 

Comme nous le savons, les gouvernements et les firmes pharmaceutiques sont toujours en recherche de nouvelles manières destinées à augmenter l’adhésion aux vaccinations parmi les parents non avertis. Ainsi, au plus tôt ils peuvent cibler l’enfant, au mieux c’est dans leur optique. Une des initiatives vaccinales utilisées par 27 états américains consiste à envoyer à chaque nouveau parent une « carte de félicitation pour la naissance de son enfant ».

 

Selon des rapports, les gouverneurs de 27 états américains ont fait équipe avec l’entreprise de cartes de vœux Hallmark pour envoyer une carte à chaque nouveau parent après la naissance de leur bébé. La carte inclut un message personnel du gouverneur de leur état, une courbe de croissance détachable et une fiche avec le schéma vaccinal actualisé. Cette initiative vaccinale a pour but de conscientiser pleinement les parents sur les vaccinations précises que leur bébé devrait recevoir.

 

Le magazine Healthy Home Economist qui a relayé cette information, a déclaré : « Le fait que les cartes sont en fait envoyées par les gouverneurs d’états eux-mêmes apporte une nouvelle tournure au programme en lui conférant une pression « amicale » pour faire vacciner ainsi qu’une touche autoritaire. » [1]

 

Avec amour, de la part de votre gouvernement d’état

 

Bien que Mike Adams du site Natural News, avait déjà couvert ce sujet en 2011, de même que beaucoup d’autres sites, j’ai décidé de revisiter ce sujet davantage en détail. J’ai découvert quelques faits intéressants qui méritaient d’être exposés ici.

 

Bien évidemment, les gouverneurs d’états n’envoient pas ces sentiments touchants aux parents parce qu’ils auraient bon cœur, donc, quelle est la raison véritable de ces cartes ? Il apparaît que leur agenda réel est de remplir leurs objectifs vaccinaux. Le Capital Times explique :

 

« Quand cette démarche a commencé, les taux de vaccination des enfants de 2 ans au Missouri et au Kansas étaient à peine de 45 et de 52% respectivement. Les taux de vaccination pour les plus jeunes citoyens de ces états avoisinent maintenant les 76%, selon le site du programme. » [2]

 

Beth Kaplan, un porte-parole du Département Santé Publique de l’état du Wisconsin, dont les taux de vaccination sont montés jusqu’à 84% depuis la mise en place de ce programme, pense que cette initiative constitue juste un moyen de conscientiser sur l’importance de faire vacciner ses enfants. Selon elle, « le programme est une des nombreuses choses que nous mettons en place pour encourager la vaccination des enfants. »

 

Vos impôts reversés… à Big Pharma

 

Je suis sûre qu’une des questions qui est sur les lèvres de beaucoup de gens est « Qui paie exactement pour l’envoi de ces cartes ? »

 

Hélas, c’est vous.

 

Selon les rapports, ce sont les contribuables qui paient l’addition pour la mise en œuvre du projet Hallmark pour les bébés américains, et ce n’est pas peu cher. Bien que Hallmark fournisse les cartes et assume les coûts d’impression, une initiative que la firme mentionne fièrement sur son site internet, l’état de Floride a, à lui seul, engagé 10 000 $ de son budget pour la distribution de ces cartes, ce qui a été salué comme étant un programme excellent. [3]

 

Les cartes sont très attractives, avec des couleurs pastel ainsi que des lapins et des fleurs pour créer plus d’effets. Je suis sûre que la plupart des nouveaux parents seront très émus et touchés par un tel geste. La coalition pour la vaccination pour les états centraux des Etats-Unis a été à ce point impressionnée par le magnifique travail de Hallmark qu’ils lui ont décerné en 2010 le Prix de l’Envoi du Meilleur Message. En décernant le prix, le directeur de la coalition Deb Bumgardner a déclaré : « Hallmark est assurément dans les coulisses un des héros méconnus dans le combat destiné à augmenter les taux de vaccination aux Etats-Unis. » [4]

 

Héros, ce n’est pas vraiment le terme qui convient

 

Dans les coulisses, ce sont là assurément les vrais mots-clés, et c’est pourquoi nous allons jeter un œil à ce niveau, de façon à ce que je puisse vous raconter l’histoire complète de ces « héros méconnus ».

 

En 2006, la société de cartes Hallmark a joint ses forces à celles de l’UNICEF et ils ont formé un partenariat. Aujourd’hui, Hallmark est le créateur exclusif, le fabricant et le distributeur de toutes les cartes de vœux et de dons de l’UNICEF aux Etats-Unis, reversant ainsi à l’UNICEF plus de 10 millions de dollars de royalties pour ces cartes. Le fond américain pour l’UNICEF reçoit ainsi 15% des prix de gros nets des cartes UNICEF de Hallmark.

 

Selon la firme de cartes Hallmark, l’UNICEF travaille dans plus de 150 pays pour veiller sur la santé et la vie des enfants qui y vivent. L’Organisation se focalise sur la fourniture aux enfants d’eau potable, de nourriture, de médicaments, de vaccins et d’un enseignement. [5]

 

Souvenez-vous tout de même que l’UNICEF est aussi responsable de l’expérimentation de vaccins sur des enfants des pays en développement. Cette année, j’ai montré qu’ils étaient liés à la paralysie d’une quarantaine d’enfants d’un petit village d’Afrique après qu’ils aient reçu le vaccin expérimental testé MenAfriVac. [6] L’UNICEF est aussi impliquée dans l’expérimentation du vaccin pentavalent Quinvaxem, qui a causé la mort de 26 enfants dans différents pays pauvres. [7]

 

En 2012, Hallmark, en partenariat avec l’UNICEF, a remporté le Prix du Développement le plus rapide d’une Entreprise familiale, sponsorisée par Barclays. [8]

 

Selon le site des Prix des Entreprises familiales, Hallmark a réalisé un chiffres d’affaires annuel record de 4,4 millions de £, soit une hausse de 83% depuis 2009. Hallmark a aussi mandaté l’Agence Nottingham’s Togheter pour concevoir la nouvelle gamme du catalogue (de cartes) de la section britannique de l’UNICEF, qui fait écho au thème international de l’UNICEF de Leo Burnett et qui fait la promotion de la nouvelle ligne des produits de charité en 2012. [9]

 

HALLMARK 

Voyez qui d’autre collabore avec Hallmark

 

En plus de ses liens avec l’UNICEF, Hallmark a d’intéressants liens avec d’autres organisations qui nécessitent d’être révélés. Le président de Hallmark est Donald J. Hall, et l’actuel PDG de cette firme est David E. Hall. Les deux hommes sont tous les deux administrateurs d’une société appelée MRIGlobal. [10, p.14]

 

MRIGlobal « offre une expertise et une expérience de renommée mondiale dans le développement de modèles bioanalytiques, l’expérimentation et la validation – une palette complète de services pour le développement et l’octroi des autorisations de mise sur le marché de nouveaux vaccins. » Ils fournissent aussi « les clients gouvernementaux ou industriels en composés chimiques de grade qualité et de grande pureté. »

 

Leur site internet indique :

 

« MRIGlobal travaille au développement et à l’évaluation de candidats-vaccins humains et vétérinaires qui porte à la fois sur la sécurité, la toxicité, la puissance, l’efficacité et la stabilité de la formulation vaccinale. » [11]

 

Ceci indique que le business de cette firme consiste à expérimenter des vaccins tant sur les humains que sur les animaux.

 

Chose intéressante, MRIGlobal est aussi liée à l’association PATH et à la FDA.

 

Un des récents projets de MRIGlobal s’est mis en place en partenariat avec PATH. [12] Le projet a impliqué de fournir le soutien nécessaire à des entreprises de biotechnologies qui développent des vaccins antigrippaux « accessibles et abordables pour les pays disposant de faibles ressources. » En dépit de l’affirmation remarquable de MRIGlobal selon laquelle leur travail d’évaluation porte tant sur la sécurité, que la toxicité, la puissance, l’efficacité et la stabilité de la formule vaccinale », les enfants qui ont reçu les vaccins via leur partenariat avec PATH et l’UNICEF, souffrent toujours de nombreux effets secondaires à la suite de ces vaccinations.

 

PATH, une organisation qui affirme « aider les communautés à travers le monde à rompre le cycle de la mauvaise santé », fut récemment impliquée dans l’expérimentation scandaleuse de vaccins HPV sur des dizaines de milliers de jeunes filles en Inde, les laissant sans le moindre suivi, de même que dans des essais cliniques au Tchad, en Afrique, au cours desquels beaucoup d’enfants furent paralysés après la vaccination. [13]

 

Vendre pour survivre

 

MRIGlobal est aussi impliquée dans l’octroi des autorisations de mise sur le marché de médicaments et de vaccins pour le compte de l’Agence américaine du Médicament (FDA) et le Centre de Contrôle des Maladies (CDC) affirmant ainsi maintenir « toutes les autorisations et les certifications nécessaires pour mener des études sûres et défendables sur un hôte à partir de différents produits pharmaceutiques ou chimiques. » MRIGlobal  exploite des laboratoires pour les Ministères américains de l’Energie et de la Défense. La société a reçu de nombreuses licences et missions de la part du gouvernement américain mais aussi sur le plan international. [14]

 

Cela me conduit à poser deux questions :

 

Pourquoi Hallmark formerait-elle un partenariat avec l’UNICEF, Susan G. Komen for the Cure (= Fondation qui s’occupe de Cancer du Sein) et beaucoup de gouvernements d’états ? [15]

 

Pourquoi le président et le PDG d’une compagnie de cartes sont-ils aussi administrateurs d’une société qui teste des vaccins et leur décerne des autorisations de mise sur le marché?

 

La seule réponse qui me vienne à l’esprit est l’argent, et pas qu’un peu.

 

Les dirigeants de Hallmark, une des plus grandes compagnies privées aux Etats-Unis, pourraient avoir trouvé la seule façon de survivre en ces temps économiquement troublés, utilisant ainsi leurs compétences et leurs connaissances pour profiter du lucratif business des vaccins, puisque leurs efforts en matière de cartes se soldaient par une stagnation des ventes et un profit en déclin depuis déjà des années. [16]

 

Conclusion

 

Ce qui apparaissait au premier regard comme étant un acte de charité de la part de la firme de cartes Hallmark, se révèle à présent comme une démarche beaucoup plus sinistre. Hallmark fait bien plus que faire une donation déductible d’impôts au gouvernement. En plus de recommander aux parents de tenir à jour les vaccinations de leurs enfants (parce que les dirigeants de l’entreprise tireront profit de cette hausse des taux de vaccination), ils sont aussi lourdement liés à l’expérimentation de vaccins sur d’innocents animaux et être humains.

 

Un temps considérée comme une organisation d’amour et de soins, Hallmark a maintenant terni la couronne de son logo avec ce qui peut seulement être décrit comme de profondes connexions avec les plus grandes entreprises pharmaceutiques que l’homme ait jamais connues. Par conséquent, les intentions de Hallmark sont-elles aussi charitables qu’ils aimeraient nous faire croire ? Il est clair que Hallmark est affilié à MRIGlobal, aux gouvernements américain et canadien, à l’UNICEF, à PATH, à la FDA et au CDC. Le dénominateur commun à toutes ces instances est la vaccination.

 

Loin d’être les bonnes âmes dont ils pouvaient donner l’impression au premier abord, en s’assurant de préserver la force et la santé des enfants, je crois que les dirigeants de Hallmark rigolent bien lorsqu’ils se rendent à la banque. Allez-vous les laissez vous inciter à vacciner votre enfant, sans faire la moindre recherche, simplement parce qu’ils vous envoient une carte ?

 

Références

 

1.http://www.thehealthyhomeeconomist.com/governors-team-with-hallmark-to-pressure-parents-to-vaccinate/

2.http://host.madison.com/news/local/writers/jessica_vanegeren/a-reminder-from-hallmark-and-the-walkers-to-get-your/article_5d881f1c-9bc8-11e2-9bbd-001a4bcf887a.html

3.http://www.thehealthyhomeeconomist.com/governors-team-with-hallmark-to-pressure-parents-to-vaccinate/
4. http://www.hallmark.com/online/corporate-citizenship/welcoming-new-babies.aspx
5. http://corporate.hallmark.com/Product/Hallmark-Products-That-Give-Back
6. http://vactruth.com/2013/01/06/paralyzed-after-meningitis-vaccine/
7. http://vactruth.com/2013/04/02/who-suspends-vaccine/
8. http://www.familybusinessawards.co.uk/2012-results
9. http://www.familybusinessawards.co.uk/news/awards-finalist-hallmark-in-partnership-agreement-with-unicef
10.http://www.mriglobal.org/news/AnnualReports/Documents/MRIGlobal2012AnnualReport.pdf
11.http://www.mriglobal.org/lifesciences/Pages/VaccineDev.aspx
12.http://www.mriglobal.org/AboutMRIGlobal/FeaturedProjects/Pages/Feature-PATH.aspx
13.http://vactruth.com/2013/01/08/vaccine-trials-supreme-court/
14.http://www.mriglobal.org/AboutMRIGlobal/Pages/LicensesCerts.aspx
15.http://corporate.hallmark.com/Product/Hallmark-Products-That-Give-Back
16.http://www.bizjournals.com/kansascity/news/2012/03/08/hallmark-seals-2011-with-flat-revenue.html

 

Source: Vactruth (seconde image issue de: Gaia Health)

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14 avril 2013 7 14 /04 /avril /2013 17:15

calendrier-vaccinal-2008.jpg

La France vient de modifier son calendrier vaccinal officiel. De quoi faire réfléchir ceux qui avaient toujours cru qu'il était vital de respecter à la lettre le calendrier officiel, cet Xième changement démontrant que les vérités d'hier ne sont absolument plus celles d'aujourd'hui!!

 

Parmi les mesures principales, on retrouve plusieurs grands changements parmi les suivants:

 

* Suppression d'une dose de vaccin combiné (hexa, penta ou tétravalent) chez les bébés à l'âge de 3 mois. De l'ancien schéma à 2,3, 4 mois puis un rappel à 16-18 mois, on passe donc à un schéma à 2,4 mois puis un rappel à 11 mois.

 

* Suppression des rappels de vaccination diphtérie-tétanos, polio tous les 10 ans chez l'adulte, en les remplaçant par des intervalles de 20 ans jusqu'à l'âge de 65 ans: 25, 45, 65 ans puis à nouveau, 75, 85, 95 ans...

 

* Avancement de l'âge de la vaccination anti-HPV, à présent recommandée dès 11 ans et ce, jusque 14 ans.

 

On pourrait penser que la réduction de certaines doses ou rappels de vaccins constituerait un manque à gagner pour les labos. Mais cette analyse, simpliste, est sans compter le contexte actuel de désaffection croissante pour les vaccins.

 

En effet, il ne faudrait pas oublier le sondage de Pfizer en Suisse qui montrait un taux de 20% de gens très critiques sur les vaccins. De même, il faut aussi se souvenir de la baisse des ventes de vaccins de 12% en France, en 2012. Dans un tel contexte, n'est-ce pas la politique d'un tiens vaut mieux que deux tu l'auras, qui se trouve en réalité mise en application?

 

Dans un contexte où les gens se rendent de plus en plus compte de la démesure vaccinale, n'est-ce pas là un bon moyen d'essayer de faire taire les critiques? Et d'ainsi essayer de "limiter la casse" sur le plan commercial?

 

C'est en tout cas clairement la stratégie qui transparaît, celle de la préservation des intérêts commerciaux avant tout, lorsqu'on voit comme changements:

 

- l'ajout d'une dose de vaccination contre la coqueluche à l'âge de 6 ans, plutôt que la reconnaissance de l'inefficacité de cette vaccination

 

- l'avancement de l'âge de la deuxième dose de vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR) à l'âge de 16-18 mois plutôt qu'à l'âge de 24 mois. Si cette vaccination est soi-disant efficace chez 95% de ceux qui la reçoivent, pourquoi, la renouveler seulement 6 à 8 mois plus tard alors que cela n'aura pas un meilleur effet sur la persistance à long terme des anticorps? Cette seconde dose est en fait imposée à toute une population, simplement parce que 5 à 10% des receveurs de la première dose ne développent pas d'anticorps et que les autorités ont jugé trop coûteux de pratiquer une sérologie (prise de sang) pour dépister ceux qui n'ont pas répondu à la première vaccination. Toutefois, quand on sait les risques d'une seconde vaccination, par rapport à ceux, nuls, d'une simple prise de sang, on se rend compte que les seuls bénéficiaires de cette décision non scientifique, sont encore une fois les seuls fabriquants de vaccins!

 

- l'avancement de l'âge de la vaccination HPV dès 11 ans, un âge où les enfants sont moins susceptibles d'émettre leur propre avis, par rapport à des ados de 14 ans ou plus, davantage enclines à aller s'informer sur internet et d'avancer une opinion contraire à celle de leurs parents.

 

Les officiels peinent toujours à accepter le choix des gens qui préfèrent se détourner de plus en plus des vaccins. Et comme ces officiels se considèrent de leur propre aveux, comme "les partenaires naturels" des pharmas, il est évidemment logique à leurs yeux qu'ils essaient d'endiguer la fuite vaccinale du public par toutes sortes de subterfuges de forme et non de fond, tels que ceux auxquels on assiste ici.

 

Voici pour info quel était le calendrier vaccinal français "simplifié" en 2012 puis, à la suite, celui de  2013... tout est simplifié, même l'information sur les véritables risques, qui en devient de ce fait purement et simplement déloyale:

 

CALENDRIER-VACCINAL-2012.png

 

CALENDRIER-VACCINAL-2013.jpg

 

A tous ceux qui ont cru que les rappels de tel(le) date ou âge étaient vraiment vitaux et qui en furent victimes (le plus souvent sans le savoir), nous leur disons qu'il est grand temps de tirer les leçons, et de ne plus accorder la confiance à ceux qui les ont ainsi intellectuellement trompés. Il convient de se méfier ainsi des fausses promesses de sécurisation des députés, comme ceux qui ont contribué au rapport Jardé, et qui disaient souhaiter un moratoire sur les vaccins à base d'aluminium, tout en ayant l'incohérence extrême de recommander cependant le suivi scrupuleux du calendrier vaccinal, en allant même jusqu'à recommander de faire signer aux parents des décharges de responsabilité au médecin si jamais ils refusaient la vaccination de leurs enfants!!

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 16:00

Un nouvel adjuvant vaccinal cible les nouveau-nés

 

 

Il semble n’y avoir aucune fin à l’arrogance de la science médicale. C’est aujourd’hui la nature fondamentale du système immunitaire de chaque nouveau-né qu’ils ont dans leur ligne de mire. Le système immunitaire des bébés ne fonctionne pas comme ils veulent ; ils osent même déclarer qu’il est défectueux…puis, ils se sont mis à la recherche d’une méthode visant à « réparer » tout cela. Le VTX-294 est peut-être l’adjuvant vaccinal le plus effrayant qu’ils aient pu inventer.

 

Bebe-serein.jpg

      Photo : Connor (Flickr,cropped)

 

Par Heidi Stevenson

 

Dans une manifestation criante d’arrogance, la science médicale a jugé qu’il y avait quelque chose d’intrinsèquement mauvais dans le système immunitaire des nouveau-nés. Etant donné que les nouveau-nés ne réagissent pas naturellement aux envahisseurs en créant des anticorps, ils supposent qu’il s’agit là d’un défaut inhérent, auquel leur science doit apporter un remède. Et maintenant, ils croient avoir trouvé un moyen de modifier le développement naturel du système immunitaire des nouveau-nés au moyen d’un adjuvant appelé le VTX-294.

 

Un adjuvant vaccinal est une substance qui augmente la réponse du système immunitaire à un antigène. Le système immunitaire d’un enfant fonctionne d’une manière différente de celui d’un adulte. Pour ceux qui font la promotion des vaccins, il s’agit ici d’un défaut. Ils saluent donc la découverte des chercheurs de l’hôpital pour enfants de Boston [1] qui ont découvert que les globules blancs des nourrissons réagissent fortement à un composé synthétique appelé VTX-294. Il en résulte le déclenchement d’un facteur de nécrose tumorale (TNF) et d’interleukine-1 bêta (IL-1β), qui représentent tous deux de fortes réactions du système immunitaire.

 

Le but d’un adjuvant est de déclencher une réponse immunitaire. Si le VTX-294 est utilisé dans les vaccins, il jouera le rôle d’adjuvant.

 

Le problème des vaccins chez les nouveau-nés

 

Le système immunitaire d’un nouveau-né ne ressemble pas du tout à celui d’un adulte ou même à celui d’un petit enfant. Au lieu de combattre les envahisseurs, il les accueille. La chose est logique parce que le fœtus est un peu comme un « invité » dans le ventre de sa mère. Le fœtus doit être en mesure d’accueillir tout ce qui passe au travers du placenta. Grâce à un processus qui n’est pas encore compris, peu de temps avant et après la naissance, le système immunitaire qui acceptait toutes les substances étrangères, se met maintenant à les rejeter. Il faut environ six mois après la naissance pour que ce processus soit terminé.

 

C’est la raison pour laquelle, les vaccins ont tendance à ne pas fonctionner chez les nouveau-nés. Cependant, en dépit d’une absence quasi-totale de compréhension du processus de conversion du système immunitaire  (qui accepte puis rejette les substances étrangères), la médecine moderne a décidé que ce n’était pas comme cela que les choses devaient marcher ! Une recherche a donc été lancée pour tenter de contraindre le système immunitaire des nourrissons à développer des anticorps à la vaccination.

 

Ainsi, la découverte des effets du VTX-294 sur le sang des nouveau-nés (in vitro, donc en laboratoire et non sur un enfant) a été saluée comme une véritable percée. C’en est sûrement une, mais il reste à savoir  si cette découverte permettra des développements positifs.

 

L’inflammation

 

L’inflammation au cours de la grossesse a été identifiée comme étant un facteur important dans le développement de l’autisme.[2] Le facteur de nécrose tumorale (TNF) et l’interleukine-1 bêta (IL-1β), sont des cytokines, et des taux excessifs de cytokines (tempêtes de cytokines) ont été liés à l’autisme. [3, 4, 5, 6, 7] Comment pourrait-on qualifier autrement que « tempêtes cytokines » la libération artificielle de cytokines TNF et de IL-1β, dans le sang des nouveau-nés ?

 

Ainsi, cette recherche en vue de trouver un moyen d’activer le système immunitaire du nouveau-né est contraire à la nature et pourrait constituer un des principaux facteurs déclenchants de l’autisme !

 

Le VTX-294

 

Le VTX est une benzazépine, un produit chimique proche des benzodiazépines qui comprennent le Diazépam et le Xanax. [8]… Le benzène est un produit toxique associé au cancer, ainsi qu’à des dommages neurologiques, développementaux et de troubles de la reproduction. [9, 10,11]

 

Il est difficile d’imaginer que l’on puisse sérieusement envisager d’injecter un produit dérivé du benzène, produit toxique connu, à des nouveau-nés, jusqu’à ce que nous ayons pris conscience que d’autres produits toxiques connus comme le mercure et le formaldéhyde sont déjà injectés avec certains vaccins.

 

Un orgueil médical démesuré

 

L’hypothèse de la recherche médicale moderne que, pour chaque bébé qui nait, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, semble bien relever de la pure arrogance.

 

C’est pourtant bien cela qui se passe avec les tentatives  de contourner la nature fondamentale du système immunitaire du bébé. L’expérience nous montre qu’il n’y aura probablement pas de tests de sécurité du VTX-294.

 

Il semble que les adjuvants n’aient jamais été testés. Peu importe qu’ils soient ou non toxiques, une fois qu’ils sont ajoutés aux vaccins, ils sont généralement considérés comme étant sans danger.

 

C’est vrai du squalène dont on a récemment montré qu’il était la cause de la narcolepsie. Il faut aussi mentionner le formaldéhyde (cancérogène), le mercure (neurotoxique), le polysorbate 80 (perturbatreur endocrinien), l’aluminium (neurotoxique et peut-être cancérogène). Tous ces produits sont utilisés d’une manière routinière dans les vaccins en dépit de leur toxicité.

 

Si jamais le VTX-294 devait être utilisé dans les vaccins, il serait terrifiant d’envisager son potentiel de nuisance. Serait-il capable de perturber le développement normal du système immunitaire ? Pourrait-il provoquer le cancer ? L’autisme ? Des anomalies neurologiques ? Ou créer de nouvelles maladies, telles que la myofasciite à macrophages probablement induite par l’aluminium des vaccins ?

 

Que faudra-t-il encore pour que la médecine moderne puisse se débarrasser de ses œillères arrogantes ? Il semble que rien de moins que tous les dégâts provoqués par les vaccinations pourraient mettre fin à ces crimes. Ou continueront-ils de prétendre que toutes ces vies détruites sont encore de « pures coïncidences » ?

 

Références:

 

1. The Ultra-Potent and Selective TLR8 Agonist  VTX-294 Activates Human Newborn and Adult Leukocytes: PLOS One; David J. Dowling, Zhen Tan, Zofia M. Prokopowicz, Christine D. Palmer, Maura-Ann H. Matthews, Gregory N. Dietsch, Robert M. Hershberg, Ofer Levy; doi:10.1371/journal.pone.0058164

2. Prenatal Inflammation Linked to Autism Risk

3. A proposed mechanism for autism: an aberrant neuroimmune response manifested as a psychiatric disorder.

4. A proposed mechanism for autism: an aberrant neuroimmune response manifested as a psychiatric disorder.

5. Cytokine dysregulation in autism spectrum disorders (ASD): Possible role of the environment.

6. Elevated plasma cytokines in autism spectrum disorders provide evidence of immune dysfunction and are associated with impaired behavioral outcome.

7. GMO-DNA Vaccines and Cytokine Storms

8. Benzazepine

9. Toxicological Review of Benzene (EPA’s report on non-cancer effects)

10. The toxicity of benzene and its metabolism and molecular pathology in human risk assessment

11. OSHA report on effects of benzene

12. Human Fetal Immune System Arises from Entirely Different Sources Than Adult Immune System

13. A Vaccine That Works in Newborns? Promising Compound May Help Protect Babies During Vulnerable Window

 

Source : Gaia Health

 

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6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 19:40

On le voit et on le sent, la vaccination fait de moins en moins recette: avec la multiplication inévitable des accidents, les gens deviennent très légitimement de plus en plus prudents. Cette situation pousse les autorités à se lancer dans des démonstrations plus pitoyables les unes que les autres pour essayer de banaliser l'acte vaccinal et essayer d'embrigader directement les jeunes.

 

Ainsi, quand on ne propose pas une vaccination robotisée à la chaîne dans des gymnases, on lance des campagnes de marketing social destinées à embrigader directement les jeunes en tablant sur leur tendance au conformisme.

 

Une récente campagne publicitaire orchestrée par le Centre de la Jeunesse et de la Famille aux Pays-Bas, en collaboration avec l'Agence de Relations Publiques RAAK, crée des remous chez nos voisins.

  

Volontairement provocatrice et visant clairement à stigmatiser les jeunes qui refuseraient (ou dont les parents refuseraient) leur vaccination aveugle, la campagne utilise l'image de plusieurs enfants/adolescents avec, en toile de fond, l'expression "Je ne suis pas une mauviette!" Les jeunes sont en gros incités à être courageux en échange de quoi, ils recevront des bracelets fluo!

Ik-ben-geen-kwatje-.JPG"Je ne suis pas une mauviette!" La période des vaccinations arrive bientôt. Descends un peu plus bas sur la page web et vois ainsi ce qui t'attend!

 

Les microbes sont diabolisés d'une façon grotesque... images à l'appui!

vision-simpliste-des-microbes.JPG

Une piqûre. Qu'est-ce qu'au juste une vaccination? C'est simplement une piqûre. Grâce à cela, tu diminues tes chances d'attraper de vilaines maladies. 

 

La crainte des vaccinations est réduite et assimilée, par analogie, à une peur irrationnelle et infantile comme celles des areignées!

kwatje--2-.JPG

Ceci t'effraie-t-il encore? Le monstre en-dessous de ton lit, le fantôme dans l'armoire. Un jour, tu avais peut-être peur de ces personnages de contes de fées. Mais maintenant, ce n'est quand même plus le cas?

 

D'une façon simpliste et mensongère, le seul désagrément de la vaccination est réduit au côté désagréable de l'injection qui ne dure que quelques secondes. Mais tout le champ des effets secondaires graves possibles, à court moyen ou long terme, lui, est soigneusement occulté. C'est donc de la désinformation pure!!

kwatje-3.JPG

C'est si simple. Et il en est ainsi aussi des vaccinations. C'est vraiment réellement si simple. Ferme mes yeux, compte jusque 5 et c'est terminé, cela ne dure pas plus longtemps!

 

On incite les jeunes à "suivre le troupeau": tu le feras bien puisque les autres le font aussi...

KWATJE--4-.JPG

Tu viendras quand même toi aussi? C'est bientôt l'heure. Ensemble, en même temps que tous les autres enfants aux Pays-Bas, tu recevras ton injection. Tu viendras quand même toi aussi, car....

 

kwatje--5-.JPG

 "Je ne suis pas une mauviette!"

 

 

Il n'est guère surprenant qu'une telle campagne fasse grincer des dents. Elle est non seulement mensongère mais aussi insultante pour les parents et les enfants qui ont l'intelligence et la sagesse de ne pas se faire vacciner.

 

Suite à de nombreuses réactions de parents en colère, l'Institut de Santé Publique des Pays-Bas (le RIVM) s'est senti obligé de préciser qu'il n'avait rien à voir et ne soutenait pas une telle campagne. Le site "Ikbengeenwatje" ("Je ne suis pas une mauviette") a dû être modifié et le Centre de la Jeunesse et de la Famille a prétexté, bien que cela soit vraiment peu crédible, qu'il n'avait jamais voulu faire de différences entre les enfants vaccinés et les autres!!!!!!!!!!!!

 

Une citoyenne vigilante a déposé plainte contre cette campagne publicitaire scandaleuse, auprès de la Commission de Contrôle de la Publicité aux Pays-Bas. La décision est attendue pour le 18 avril prochain. Espérons que cette Commission suivra la décision du Jury d'Ethique Publicitaire belge (JEP) qui avait estimé, le 9 novembre 2011, que la publicité vaccinale de la Fédération Wallonie-Bruxelles en faveur des vaccins tout au long de la vie était trompeuse et "de nature à induire le consommateur en erreur". Tout ceci prouve donc bien que les autorités et instances dites "publiques" sont en réalité pire que les firmes pharmaceutiques, les premières avançant "masquées" et les secondes "à visage découvert", par rapport à leurs objectifs commerciaux communs. Il convient à ce propos de se souvenir que les pharmas ont près de 300 projets de nouveaux vaccins dans leur pipeline et que les autorités les considèrent comme "leurs partenaires naturels" selon un rapport du Sénat français de 2007. Les firmes pharmaceutiques qui fabriquent les vaccins emploient des milliers voire des dizaines de milliers de personnes selon les pays. Mais la question la plus centrale dans tout ceci est la suivante: à quoi voulons-nous donner la priorité? A l'emploi de quelques milliers de gens OU à la santé de millions d'enfants et d'adultes?... Ne soyez plus une mauviette et osez y songer, sans angélisme!

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6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 14:30

Vidéo de la presse hollandaise en mars dernier dans un gymnase de Zwolle, au nord des Pays-Bas.

 

 

25 travailleurs des services de santé communaux administrent à plus de 500 enfants leurs rappels de vaccins DTP et ROR, sans oublier aussi les très controversés vaccins HPV aux jeunes filles. Tout est fait pour banaliser l'acte vaccinal. Certains enfants sont en pleurs, d'autres ne se rendent compte de rien. Certains, c'est inévitable, vivront dans leur santé les conséquences négatives d'un tel automatisme médical mais parfois à long terme et le plus souvent, sans qu'ils ne fassent jamais plus le lien avec ces vaccinations infantiles, faussement anodines...

 

93% des parents des jeunes conviés à ce sinistre évènement ont répondu positivement! Pour la vaccination anti-HPV, ce pourcentage s'élève tout de même à 67%. Bravo aux 7% des parents qui ont clairement dû percevoir que cette façon de procéder relevait de l'anti-médecine par excellence. Seule une minorité de gens encore capables de réfléchir par eux-mêmes auront donc tiré les leçons du scandale de la grippe H1N1 avec vaccination dans les gymnases.

 

Les vaccinations seront-elles aussi organisées à l'avenir au fritkot du coin?!

 

Gymnase--vaccination-a-la-chaine.JPG

L'inconscience tranquille: parents, personnel et enfants croient sincèrement faire "le mieux qu'ils peuvent"... quel leurre!!

 

Vacciné dans un gymnase

Deux injections à la fois, pour chaque enfant, une pratique bien robotisée et standardisée mais derrière "le geste technique simple", à la portée de tous les travailleurs communaux, un fossé d'ignorance sur les effets précis des vaccins sur le système immunitaire... où vont se loger les divers composants, quel effet cela aura-t-il à long terme?

 

vaccination-dans-les-gymnases-.JPG

Certaines images comme celles-ci illustrent de fameux paradoxes: qui ferme davantage les yeux? L'enfant ou ceux qui devraient savoir et s'informer par eux-mêmes mais agissent tels des robots en vaccinant ainsi aveuglément??

 

Parents-inconscients--enfants-en-pleurs.JPG

Une fillette en pleurs et sa maman qui croit agir dans le meilleur intérêt de sa fille... et personne autour de cette table qui semble capable d'imaginer que cette enfant pourrait demain devenir épileptique ou être paralysée après ces "belles" injections dont on imagine à tort que leurs effets ont été très sérieusement étudiés! Où est la possibilité dans tout cela de réaliser un consentement libre et suffisamment éclairé? En cas d'accident, c'est la maman qui n'aura plus que ses yeux pour pleurer.

 

Source de cette vidéo et des images: De Stentor.nl

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 21:40

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Des nanoparticules pour un vaccin contre la cigarette :

 

16 mars, 2013, RIA Novosti

 

Le groupe russe de la compagnie américaine Selecta Biosciences a annoncé les premières nanoparticules dotées d’un composant actif pour vacciner contre la cigarette. C’est un grand pas dans l’approfondissement de l’étude des vaccins synthétiques à partir de nanoparticules, a déclaré Rusnano.

 

«Le groupe russe [de Selecta Biosciences] doit considérablement accélérer le développement et la commercialisation de nouveaux vaccins pour soigner et prévenir les pathologies menaçant la vie humaine », a fait remarquer le vice-directeur général de la compagnie Selecta Biosciences en Russie, Dmitri Ovtchinnikov.

 

Ensuite, Selecta Biosciences en Russie prévoit, en particulier, de tester la réaction immunologique des animaux mis en contact avec le principe actif biologique du vaccin.

 

Selecta Biosciences est une compagnie biopharmaceutique américaine qui, en collaboration avec Rusnano, a pour projet de produire en Russie des médicaments novateurs. Selecta Biosciences a créé en Russie une filiale : SARL Selecta (Rous).

 

La société anonyme Rusnano est entièrement possédée par l’État. En mars 2011, Rusnano est passé du statut société d’État à celui de société anonyme.

 

Sources : RIA Novosti & La Russieaujourd’hui.fr

 

Et puisqu'on parle de prétendus "progrès", que dire aussi de ce qui suit, les méthodes de vaccination du futur qui forceront de plus en plus le corps à réagir à des procédés très éloignés de ceux pour lesquels il est prévu, avec bien entendu (il ne faut pas être devin pour le dire!) des conséquences morbides incommensurables à la clé.

 

Déjà aujourd'hui (c'est bon de rappeler les chiffres tout de même parce que quelque part, ça fait l'effet d'un verre d'eau en pleine figure, pour ceux qui croyaient encore que la médecine a vraiment réussi à améliorer la santé des gens et leur qualité de vie):

 

80% des 65 ans et + ont AU MOINS 1 MALADIE CHRONIQUE  &....

 

85% des 75 ans et + en ont......... AU MOINS 3!!!!

 

Source: Les mutualités libres dans "L'avenir des Soins de Santé en Belgique" (cfr p. 5)

 

Ca ne signifie donc PAS que 1 personne sur 6 de 75 ans et + n'ait aucune maladie chronique, non, car dans ces 15% restants, certains en ont 2 ou une mais quel pourcentage n'en a aucune??

 

NB: C'est vers 65 ans qu'on recommande au plus tard de commencer le cercle vicieux de l'inutile vaccination antigrippale. Donc chiffres de maladies chroniques à 65 ans à comparer aussi à ceux des + de 75 ans après 10 ans de vaccination antigrippale...

 

Powdermed, une soi-disant technologie qui permettrait de vacciner "en toute sécurité" avec seulement 1/1000 ième de la dose vaccinale habituelle et qui recourerait à 2µg d'ADN sec, introduit dans le corps par un système sans aiguille.

 

Pfizer a racheté en 2006 la firme britannique qui a développé ce système... pour ressortir bientôt ce genre de "découverte" de ses tiroirs quand la contestation vaccinale sera à son paroxysme??!

  powermed-copie-1.png

                              Vaccination avec le système sans aiguille Powder Med (l'ADN en poudre

                               étant propulsé avec un système à l'helium)

 

 

Source: Deathbyvaccination.com 

 

 

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 21:58

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2 mois sans vaccins alors que les pharmas ont encore près de 300 nouveaux vaccins dans leur pipeline, cela devait leur paraître insupportable.... 2 mois de vie sans pouvoir capter ce marché-là, ça n'était plus possible, il fallait réagir, et faire passer progressivement la "pilule" comme quelque chose de positif, qui pourrait permettre de protéger bébé, si vulnérable et si fragile, avant même que son système immunitaire ne puisse être "renforcé" par les vaccins. Car c'est bien là le genre de baratin auquel vous aurez encore droit, jusqu'à plus soif. Tous les lieux communs, les plus grands simplismes et la manipulation auxquels on peut s'attendre dans un tel contexte où les enjeux financiers sont à ce point élevés.

 

Une fois encore, la santé publique va se retrouver prise en otage par des gens complètement prisonniers de l'idéologie qui est la leur, ces gens qui voient sans cesse midi à leur porte et qui ne voient QUE la prétendue protection contre les méchants microbes dont nous serions à la merci! Sauf que stimuler artificiellement le système immunitaire dès la naissance pour encore par la suite l'assommer avec tous les autres vaccins du programme (car il faut bien maintenir les marchés actuels!) aura inévitablement un effet "boomerang" et ne pourra sans doute qu'augmenter encore le risque de maladies auto-immunes chez ces enfants polyvaccinés, à l'immunité d'emblée surexcitée dans un prétendu but de "protection"! Et ce d'autant plus qu'il existe déjà des liens clairs entre la vaccination répétée et le risque de maladies auto-immunes. Nul doute que si les bébés pouvaient donner leur avis, ils seraient très en colère qu'on joue ainsi à ce point à la roulette russe avec leur avenir et que pour prétendument sauver quelques bébés, on nivelle ainsi par le bas la santé de TOUS.

 

Vaccin pour stimuler le système immunitaire des nouveau-nés :

 

BumInteractif – mer. 6 mars 2013 12:15 HNE

 

Ce sont les chercheurs du Boston Children’s Hospital qui viennent de percer à jour une nouvelle composante, selon Medical News Today.

 

Celle-ci activerait la réponse immunitaire des globules blancs des nouveau-nés, et ce, de manière substantielle. Le système immunitaire sous-développé des nourrissons les met à risque d’infections importantes, notamment le rotavirus, la coqueluche, en recrudescence, et le pneumocoque.

 

Il s’agit donc d’une découverte dont l’équipe menée par Ofer Levy peut être fière. En effet, annuellement, c’est plus de 2 millions de nourrissons de moins de 6 mois qui décèdent à cause d’un système immunitaire trop faible.

 

Si les spécialistes pouvaient stimuler l’immunité dès la naissance, plutôt qu’à 2 mois, ce taux diminuerait radicalement.

 

En ce moment, le composé TLR 8 est utilisé sur des patients cancéreux. Dans les laboratoires du Dr Levy, c’est le VTX-294 qui a été testé sur des échantillons de sang de nouveau-nés, un composé dérivé. La réponse immunitaire s’est avérée 10 fois plus forte qu'avec le TLR 8.

 

En plus, les tests ont aussi été effectués sur des échantillons sanguins adultes, et la réponse, dans tous les cas, était beaucoup moins importante qu’avec les échantillons provenant des nourrissons.

 

Source: yahoo.com

 

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5 mars 2013 2 05 /03 /mars /2013 19:25

L’Histoire se répète :

 

 Leçons que les vaccinalistes refusent d’apprendre

 

Jennifer Graig, PhD, 17 avril 2012

 

 

Le vieux proverbe, « l’histoire se répète » ne peut pas être mieux illustré que par la pratique des vaccinations ; pratique qui s’est généralisée au XIXe siècle et se perpétue encore aujourd’hui. Pas mal de livres sur les vaccinations datant du XIXe siècle soulèvent des questions qui sont étonnamment similaires à celles qui se posent aujourd’hui. Mais comme nous n’avons pas pu tirer les leçons présentées par ces anciens auteurs dont la plupart étaient médecins, nous sommes en train de répéter les mêmes erreurs avec des conséquences désastreuses pour la santé des populations.

 

Le but de cet article est de faire réfléchir aux paroles de célèbres médecins au sujet des vaccinations.

 

Nous allons examiner quatre grandes questions qui ont été soulevées au dix-neuvième siècle et nous ferons la comparaison avec ce qui se passe aujourd’hui. En tout premier lieu, nous nous pencherons sur le refus d’accepter des données sur la vaccination. En deuxième lieu, nous parlerons du débat scientifique sur la vaccination. En troisième lieu, nous évoquerons les vaccinations de masse et leurs conséquences. En quatrième lieu, nous analyserons la situation des vaccinations obligatoires.

 

1. Refus d’accepter des données

 

Edward Jenner, apothicaire anglais, croyait la rumeur qui voulait que les filles de ferme qui attrapaient le « cowpox » (variole de la vache), une maladie bénigne, étaient protégées de la variole. Il décida de tester cette rumeur en injectant sous la peau du pus de vache atteinte du cowpox pour induire la maladie (variole de la vache). Si la personne vaccinée attrapait le cowpox (variole de la vache), il se proposait de tenter de tester la vaccination contre la variole.

 

Malgré la réputation qui fut faite à Jenner, le présentant comme étant le premier à tenter l’inoculation de la vaccine, tous les chroniqueurs s’accordent pour citer Benjamin Jesty, Plett et Jensen comme expérimentateurs ayant connu du succès en matière de vaccination (avec le cowpox) plusieurs années avant que Jenner fasse sa première injection.[1]. Il n’est pas impossible que ces noms n’aient pas été repris par l’histoire parce que cette vaccination ne protégeait  pas de la variole.

 

La rumeur selon laquelle le cowpox protégeait de la variole aurait pu faire l’objet d’une simple enquête. Il aurait suffi d’enregistrer le nombre de personnes qui, ayant fait la variole, avaient reçu la vaccine. Quoi qu’il en soit, beaucoup de personnes savaient que cette théorie était fausse.

 

Le Dr Walter Hadwen, MD, JP, LRCP, MRCS, LSA devait déclarer publiquement le 25 janvier 1896 : «  Quand il (Jenner) fut mis au courant de la légende concernant la vaccine, il s’empressa d’en parler au cours de réunions conviviales de médecins. Mais à peine avait-il ouvert la bouche que l’on se moquait de lui. Ces médecins auraient pu lui mettre sous le nez des centaines de cas ou la variole avait bel et bien fait suite à l’inoculation du cowpox. [2]

  

Même les partisans de Jenner reconnaissaient la fausseté de la rumeur. Le deuxième rapport de la Société Royale Jennérienne de 1806 reconnaît : « Le Comité avoue avoir vu quelques cas de variole chez des personnes auxquelles on avait injecté le cowpox de manière habituelle. » [3] Néanmoins, en dépit de la fausse prémisse, l’expérimentation s’est poursuivie.

 

La première expérience de Jenner sur le petit James Phipps, 8 ans, eut lieu le 14 mai 1796. Jenner a ensuite répété la procédure sur plusieurs autres enfants. Convaincu du succès de ses expériences, il s’enhardit à promettre au crédule George III que son vaccin aurait « l’effet singulièrement bénéfique de protéger à vie et de mettre à l’abri de l’infection de la variole toute personne ainsi inoculée. » [4]

 

Le roi fit connaître au Parlement son souhait de voir attribuer une récompense à Jenner. Ce dernier reçut un demi-million de dollars des deniers publics. A partir de cette époque, apparut une armée de vaccinateurs rémunérés qui s’appliquèrent à vacciner avec zèle.

 

Les cas de variole après vaccinations commencèrent à se produire de manière alarmante. Winterburn en cite de nombreux exemples. « L’Hôpital des Varioleux de Londres est considéré comme exemplatif de ce qui se passait à l’époque : le nombre de cas de variole ne cessèrent d’augmenter ; ils passèrent de 5% au début du siècle à 44% en 1845, 64% en 1855, 78% en 1865, 90% en 1875, et à 96% en 1885. » [5]

 

Non seulement les cas de variole augmentèrent, mais aussi les décès par variole. Le rapport du Dr William Farr, expert en statistiques du Registre Général de Londres, déclarait : « C’est après que la vaccination contre la variole fut introduite, que la maladie (variole) a atteint son point culminant. De 1850 à 1869, le taux moyen de mortalité pour 100.000 habitants était de 2,04 ; alors qu’après que la vaccination fut rendue obligatoire, le taux de mortalité s’est élevé jusqu’à 10,24. En 1872, le taux de mortalité était encore de 8,33 alors que les efforts les plus louables avaient été déployés pour étendre la vaccination grâce à des textes législatifs. » [6]

 

En dépit de ces chiffres, comme de ceux d’autres régions, les pro-vaccins ont continué à prétendre que la vaccination protégeait de la variole et ils le prétendent encore aujourd’hui.

 

Après une épidémie désastreuse de variole en 1872, une Commission royale d’enquête sur la vaccination fut nommée en 1889 pour se pencher sur toute la question. Il fallut sept ans et 136 réunions pour que ladite Commission publie cinq rapports principaux. Tous ces écrits pesaient 14 livres. En dépit de toutes ces preuves de poids, la Commission échoua à faire la moindre brèche dans leur conviction qu’en dépit de tout, la vaccination protégeait bien de la variole. [7]

 

Le Dr Maclean, une autorité médicale bien connue de l’époque, proposa une explication quand il déclara en 1810 : « Il incombe aux vaccinateurs de se présenter et de réfuter les nombreux faits décisifs qui plaident contre la vaccination ou alors faire amende honorable en assumant une courageuse rétractation. Mais l’expérience nous montre que nous n’avons guère à nous attendre à de tels actes courageux et magnanimes ; nous devons au contraire être assurés qu’en aucune circonstance, ils n’abandonneront une pratique aussi lucrative, jusqu’au jour où cette pratique les abandonnera à son tour. » [8]

 

Les paroles du Dr Maclean sont toujours d’actualité. Aujourd’hui encore, c’est la même conviction qui prévaut : ce sont les vaccins qui protègent de la maladie, en dépit de toutes les preuves du contraire !

 

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« Je connais une épidémie de variole qui a touché quelque 900 personnes dont 95% avaient été vaccinées et pour la plupart récemment. Dans ma pratique personnelle j’ai été confronté à une petite épidémie de 33 cas. Parmi ces patients, 29 avaient un rapport avec la vaccination et présentaient une « bonne » scarification ; certains d’entre eux avaient été vaccinés l’année précédente. Il n’est pas question ici de parler de protection. » 

 Dr William Howard Hay (1937)

 

 

OMS

 

« Les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » [p.32 du rapport final de la Commission mondiale pour la Certification de l'Eradication de la Variole]

 

« En Inde, cinq ans après une campagne nationale d’éradication entreprise en 1962 (55 595 cas), le nombre de notifications était plus grand (84 902 cas) qu’il ne l’avait jamais été depuis 1958. Il eut été extrêmement coûteux et logistiquement difficile, sinon impossible, d’atteindre des niveaux beaucoup plus élevés de couverture. Avec les moyens disponibles, il fallait absolument changer de stratégie. » [p.32 du rapport final de la CCEV]

 

 

En 2012, Reuters a rapporté que la recherche a révélé que les épidémies de coqueluche sont plus importantes parmi les enfants vaccinés comparativement aux enfants non vaccinés. Cette conclusion est basée sur une étude dirigée par le Dr David Witt, spécialiste des maladies infectieuses au Centre Médical Kaiser Permanente à San Rafael en Californie.

  

Le Dr Witt a indiqué qu’au début de l’année 2010, une épidémie de coqueluche s’est produite au Kaiser Permanente à San Raphael – cette épidémie fut jugée la plus importante depuis 50 ans. Le Dr Witt s’était attendu à ce que la maladie touche principalement les enfants non vaccinés, pensant que ces derniers étaient plus vulnérables. « Nous avons commencé à analyser les données. Ce qui nous a surpris, c’est que la majorité des cas de coqueluche se sont produits chez les enfants complètement vaccinés. C’est là ce qui a commencé à attirer notre attention. » [9]

 

Le Dr Witt devrait être félicité pour avoir eu le courage de reconnaître ce fait.

 

Nous avons des chiffres pour les années 1800 qui montrent que des pourcentages élevés des cas de variole concernaient des personnes vaccinées. Nous avons également des chiffres de 2010 qui montrent que pour la coqueluche, la majorité des cas avaient  été vaccinés, et pourtant les gens continuent de croire que la vaccination prévient la maladie. De combien de leçons avons-nous encore besoin ?

 

Non seulement le pus de la vaccine n’a pas pu empêcher la variole, mais il a favorisé sa propagation et produit de nombreux effets indésirables. En 1807, Mr Birch, premier chirurgien du Prince de Galles (Hôpital St. Thomas) a déclaré : «  Il n’est pas rare d’entendre un vaccinateur public déclarer qu’il a vacciné des milliers de personnes et n’a jamais vu le moindre effet secondaire. Pour ne pas voir le soleil, il suffit bien entendu de vouloir garder les yeux fermés. Je regrette de nouveau de devoir dire que beaucoup de médecins qui enregistrent des effets secondaires s’imaginent qu’ils pourraient être accusés de prévarication. Comme si on pouvait faire du bien à partir de mensonges. » [10]

 

Aujourd’hui, seule une fraction des effets indésirables de la vaccination sont signalés. Aux Etats-Unis, le Congrès a adopté la loi sur les risques vaccinaux en 1986 (National Childhood Vaccine Injury Act ). Cette loi exige que tous les médecins qui administrent des vaccins déclarent les effets secondaires aux fonctionnaires fédéraux de la Santé. Cependant, la Food and Drug Administration (FDA) estime que seuls 10% des médecins déclarent les incidents. [11]

 

Dans un article paru en 1993  dans le Journal of the American Medical Association, David Kessler, ancien commissaire de la FDA, estime que même si la FDA reçoit de nombreux rapports d’événements indésirables, ceux-ci ne représentent probablement que 1% de ceux qui sont observés par les médecins. [12]

 

Seuls les effets secondaires qui se produisent dans les quelques jours qui suivent la vaccination sont pris en compte comme pouvant être liés au vaccin. Des maladies chroniques comme, par exemple, l’asthme ne sont pas reconnues comme étant associées aux vaccins. Une étude comparative d’enfants vaccinés avec des enfants non vaccinés permettrait de répondre à de très nombreuses questions, mais les autorités sanitaires refusent de la faire.

 

Deux petites études comparatives ont malgré tout été réalisées par des groupes de parents : l’une en Nouvelle-Zélande [13] et l’autre en Californie [14]. Les deux études ont montré que les maladies chroniques telles que l’autisme, l’asthme et l’eczéma étaient plus fréquentes chez les enfants vaccinés. Quels que soient les résultats, pourquoi incombe-t-il à des parents de mener des recherches dans ce domaine alors que ce serait le devoir des autorités de les réaliser ?

 

Dans les années 1800, l’injection du pus de la vaccine sous la peau a provoqué de nombreuses maladies : syphilis, tuberculose, lèpre en particulier. Il existe des rapports de ces infections secondaires, comme par exemple celui de M. Depaul (1867), chef des Services de Vaccinations de l’Académie Française de Médecine qui a publié un mémoire sur le danger d’une infection syphilitique après vaccination. Ce mémoire énumère une demi-douzaine de flambées de syphilis vaccinale au cours desquelles 160 enfants avaient été infectés. [15]

 

Le Dr A. Wilder, professeur de pathologie et ancien rédacteur en chef du New York Medical Times, est allé jusqu’à dire en 1901 : «  La vaccination est l’injection, dans le système, d’un élément contaminant. Après pareille contamination, nul ne peut être certain de pouvoir retrouver la pureté initiale du corps. La tuberculose se retrouve dans le sillage de la vaccination comme l’effet suit la cause. » [16]

 

Les enfants d’aujourd’hui ne retrouveront sûrement jamais la pureté initiale de leur corps après avoir été agressés par des vaccins dès leur naissance. Ils souffrent non seulement de maladies chroniques comme l’asthme, le diabète et l’eczéma. En 2012, les taux d’autisme étaient de 1 enfant sur 88 et pour les garçons de 1 sur 54.  

 

Au lieu de déployer un maximum d’efforts pour rechercher les causes de cette épidémie, les gouvernements et la presse s’ingénient de toutes les manières possibles à nier tout lien entre l’autisme et la vaccination et ce, en dépit des preuves que des métaux comme l’aluminium et le mercure utilisés dans les vaccins provoquent des dégâts neurologiques.

 

Mais, une industrie de plusieurs dizaines de milliards de dollars est menacée !

 

2. Débat scientifique au sujet des vaccinations

 

Il est fondamental et crucial que, dans tous les domaines et surtout en matière de santé et de bien-être, les débats puissent amener des arguments vérifiables. Il suffit de jeter un coup d’œil sur les forums qui traitent de la vaccination que ce soit pour ou contre, pour se rendre vite  compte que souvent les attaques personnelles, l’ignorance et les préjugés l’emportent.

 

[…] Ces tendances ne sont pas nouvelles. Winterburn écrivait en 1885 : «  Il paraît ridicule que des questions de pareille importance et de caractère scientifique fassent l’objet de luttes partisanes. Mais la question cesse d’être comique  et devient douloureusement embarrassante quand les hommes ne parviennent plus à dialoguer sur une question d’importance vitale pour eux-mêmes et le reste de l’humanité sans être soupçonnés de motivations sinistres ou de troubles mentaux. Et pourtant, c’est exactement ce qui s’est passé depuis les premières années de la vaccination. » [18]

 

L’accusation de troubles mentaux à l’égard de ceux qui remettent en question les dogmes vaccinaux se produit encore de nos jours.

 

3. Les vaccinations de masse

 

Avec la vaccination, c’était la première fois que des médecins se faisaient payer pour traiter des personnes en bonne santé. Dans son discours de 1896, le Dr Hadwen affirmait : « Je déclare que quand une personne est malade, le médecin est fondé à faire tout son possible pour venir en aide à son patient, mais quand la personne est bien-portante, il n’a aucun droit d’interférer avec les fonctions normales du corps humain, comme il le fait quand il introduit la maladie dans le corps, en particulier la maladie d’un animal inférieur. » [21]

 

L’avertissement du Dr Hadwen est tout aussi valable aujourd’hui, mais fait-il vraiment partie de l’éthique médicale ?

 

En 1850, Sir James Paget avait déjà mis en garde : « Je pense qu’il serait nécessaire de promulguer une règle invariable de la pratique médicale selon laquelle   une personne ne devrait être vaccinée qu’après avoir fait l’objet d’examens les plus minutieux. Dans le cas particulier des vaccinations, l’incurie des autorités sanitaires est incroyable. On vaccine les gens avec légèreté et désinvolture comme si les vaccins ne pouvaient vraiment faire aucun mal ; on vaccine les masses  sans la moindre enquête sur leur état physique ou leurs antécédents, et ce, souvent dans les couches de population qui sont les plus fragiles et qui courent les plus grands risques. La vaccination imprègne et modifie la constitution toute entière. » [22]

 

Les pauvres d’Afrique représentent l’équivalant actuel. Ces personnes souffrent non seulement de malnutrition, de diarrhée, de tuberculose, de parasites, mais aussi des dons de vaccins de l’Occident qui n’ont fait qu’aggraver la situation avec l’augmentation des maladies chroniques.  L’OMS reconnaît que ses programmes de vaccinations de masse sont à l’origine de maladies qui ne sont pas moins graves que les maladies contre lesquelles on vaccine. L’OMS admet que globalement dans le Tiers Monde, les 16 milliards d’injections de vaccins ou de médicaments provoquent chaque année plus ou moins 800 000 cas d’hépatite B, 235 000 d’hépatites C, et 8000 cas de SIDA. [23]

 

Les autorités d’aujourd’hui agissent avec la même désinvolture. Une fois qu’un calendrier vaccinal a été établi, il est rigoureusement observé comme un édit venant du ciel, en particulier par les infirmières qui sont formées pour suivre des ordres. La notion que les vaccins pourraient présenter des dangers est tout simplement absente. Il y a pire, le principe du consentement éclairé ne s’applique pas à la vaccination. En lieu et place, on a recours à la coercition, surtout à la culpabilisation  des parents qui refusent la vaccination.

 

Un exemple tout récent de l’administration de vaccin avec désinvolture s’est produit en Belgique en janvier 2012. Des petites jumelles âgées de neuf semaines et prématurées (3 mois) ont reçu chacune neuf vaccins en un jour. Ce jour-là, l’une d’elles avait un rhume. Tout le monde sait que des bébés prématurés sont extrêmement vulnérables. Une semaine plus tard, l’une des jumelles mourut. Le personnel médical nia tout lien possible avec le vaccin. [24]

 

4. Vaccination obligatoire


Comme le gouvernement britannique n’avait pas voulu reconnaître que la vaccination contre la variole ne protégeait pas de la maladie, il a voté une loi rendant la vaccination obligatoire en 1856. C’est entre 1870 et 1872 que se produisit l’une des pires épidémies de variole.

 

Le Dr Hadwen, cet homme sage cité plus haut disait : « A partir du moment où l’on intègre une prescription médicale dans une loi, et que l’état la rend obligatoire contre la volonté et la conscience de personnes réfléchies au moyen d’amendes, de saisies et d’emprisonnement, il outrepasse les limites d’une question médicale qui devient essentiellement une question sociale et politique. » [25]

 

Ironie du sort, aujourd’hui la plupart des lois rendant la vaccination obligatoire sont adoptées par des pays dits « libres ». A titre d’exemple, Rick Perry, Gouverneur du Texas, a tenté d’imposer le Gardasil à toutes les filles et garçons de son état. Le Gardasil est un vaccin douteux que l’on administre aux adolescent(e)s pour soi-disant prévenir le cancer du col de l’utérus quelque 30 ans plus tard. Evidemment personne ne sait  si c’est le cas.

 

En septembre 2011, les Centres de Contrôle des Maladies (CDC) ont publié des chiffres sur les effets secondaires du Gardasil, introduit en 2006.

 

Au cours des cinq années qui ont suivi, il y a eu des rapports concernant 71 décès. D’autres événements graves comme des paralysies n’ont pas été attribués au vaccin par le CDC, bien qu’ils aient été signalés ailleurs. [26]

 

Le cancer n’est pas une maladie contagieuse. Pourtant, un politicien a signé une ordonnance rendant le vaccin obligatoire pour les jeunes du Texas. Pourquoi ? Se pourrait-il que dans les jours qui ont suivi la signature de Perry, le fabricant lui ait concédé une bonne donation pour sa campagne ? [27]

 

Pourquoi la profession médicale permet-elle aux politiciens de formuler des prescriptions médicales ?

 

Résumé

 

George Santayana dans son ouvrage «  Raison et Bon Sens » Vol.1 écrit : « Ceux qui ne peuvent se rappeler le passé sont condamnés à le répéter. » C’est exactement ce que nous sommes en train de faire par rapport aux erreurs du passé en matière de vaccinations.

 

Il y a beaucoup de leçons du passé qui doivent être apprises, mais celles que nous avons voulu aborder dans cet article sont les suivantes :

 

La croyance que c’est la vaccination qui a éradiqué la variole fait aujourd’hui partie du mythe. Jusqu’à ce que la médecine (terme qui inclut toutes les professions de santé) se décide à ouvrir les yeux, à examiner les données du passé et à reconnaitre les faits, on continuera à croire à la légende que c’est la vaccine qui a empêché la variole. Les données disponibles montrent clairement que des personnes vaccinées ont contracté la variole et que quantité de personnes en sont mortes.

 

En 1807, Mr Birch a demandé aux médecins d’ouvrir les yeux et de reconnaître les méfaits de la vaccination. En 1810, le Dr Maclean nous a dit que c’était aux vaccinateurs qu’il incombait de réfuter les arguments des antivaccinalistes.

 

Aujourd’hui les effets secondaires des vaccinations sont rarement rapportés.

 

En 1901, le Dr Wilder a déclaré qu’après la contamination vaccinale, la pureté initiale du corps (sang) ne pouvait plus jamais être restaurée. Nous avons aujourd’hui une génération d’enfants dont la santé a été ruinée par les vaccins.

 

En 1885, Winterburn a déclaré qu’il n’était guère comique qu’une question scientifique ne puisse être discutée rationnellement sans que l’interlocuteur soit accusé de déséquilibre mental. Il a attribué les carences du dialogue rationnel à Jenner qui a ignoré ou rejeté le fait que la vaccine n’ait pu prévenir la variole.

 

Nous avons accepté que la médecine ait le droit d’interférer avec le fonctionnement du corps humain, malgré l’avertissement du Dr Hadwen en 1896. Sir James Paget a exprimé sa consternation en 1850 alors que des individus se faisaient vacciner  sans subir un examen médical approfondi. Aujourd’hui, nous voyons que des enfants se mettent en rangs pour se faire vacciner sans que la moindre question soit posée.

 

En 1896, le Dr Hadwen a noté que la vaccination obligatoire était une question politique et non une question médicale.

 

Aujourd’hui, des politiciens ne se contentent pas de dénier aux parents le droit de décider pour eux-mêmes ; ils s’arrogent le droit de rendre la vaccination obligatoire. Les médecins ne posent aucune question quand les politiciens rendent une prescription médicale obligatoire. Dans d’autres circonstances, ces médecins seraient accusés de pratiquer une médecine sans licence.

 

Conclusion

 

L’idée concernant l’introduction de substances nocives sous la peau pour prévenir des maladies, est basée sur de fausses prémisses, à savoir l’hypothèse que le cowpox a empêché la variole. En dépit de l’énorme volume de preuves du contraire, le mythe continue de se maintenir.

 

En 1810, le Dr Maclean nous a dit «  l’expérience nous interdit de nous attendre à un procès équitable et magnanime. Nous pouvons être assurés qu’en aucun cas, les vaccinalistes n’abandonneront jamais une pratique aussi lucrative, à moins que cette pratique les abandonne eux. » Le nombre croissant de parents d’enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins est le seul élément qui pourra changer le cours des choses. En tant que consommateurs, ils peuvent exercer leur pouvoir de refuser un produit et tourner le dos aux fabricants de vaccins.

 

 Références:


1.Hale, A.R. The Medical Voodoo, Gotham House, Inc. 1935, p.30
2. http://whale.to/hadwen9.html
3. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.33
4. Jenner, E. Further Observations on the Variolae Vaccina, of Cowpox
5. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.32
6. McBean, The Poisoned Needle, Health Research, Pomeroy, WA, 1993
7. Hale, A.R. The Medical Voodoo, Gotham House, Inc. 1935, p.81
8. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.33
9. http://www.reuters.com/article/2012/04/03/us-whoopingcough-idUSBRE832…
10. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.56
11. Miller, N. Immunization: Theory vs. Reality. New Atlantean Press, 1995
12. Journal of the American Medical Association, June 2, 1993,vol.269, No.21, p.2785
13. Butler H & P, Just a Little Prick. Robert Reisinger Memorial Trust, New Zealand, 2006
14. IAS. Unvaccinated children are healthier. Waves, Spring/Summer, 2002
15. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.58
16. Wilder, A. History of Medicine, New England Eclectic Publishing Company, 1901
17. Rationalwiki.org/wiki/Suzanne_Humphries
18. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.3
19. Maclean’s, January 16, 2012
20. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.3
21. http://whale.to/hadwen9.html
22. Paget, Sir James. Lectures on Inflammation, Wilson & Ogilvy, 1850
23. Publications de l'OMS et autres études [voir ici les références exactes]
24. http://vactruth.com/2012/01/19/baby-dies-after-first-shots/
25. http://whale.to/hadwen9.html
26. http://www.cdc.gov/vaccinesafety/Vaccines/HPV/gardasil.html
27. Gillman, T. http://trailblazersblog.dallasnews.com/archives/2011/08/perry-says-he-regrets-gardasil.html
28. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.33

 

Sources: Vaccination Council & Whale.to

 

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 22:00

ADN.jpg

Un tatouage dispense un vaccin à ADN indolore :

 

Par Janet Fang. 21 février 2013

 

Une équipe du MIT travaille à un patch appliqué quelques minutes, qui laisse une couche de polymère se fondant ensuite dans la peau et libérant progressivement un vaccin à ADN.

 

Les vaccins impliquent d’injecter des virus inactivés dans notre organisme; le système immunitaire garde la mémoire de ces intrus pour pouvoir mettre en place une défense pour la prochaine fois qu’ils reviennent. Toutefois, cette approche peut être trop risquée pour certains virus, tels que le VIH.

 

Aujourd’hui, les scientifiques ont trouvé une meilleure alternative: un film polymère qui libère progressivement un vaccin à ADN, rapporte le MIT News Office.

 

Plus particulièrement, il s’agit d’un codage d’ADN pour les protéines virales: ce fragment d’ADN encode un antigène spécifique (quelque chose qui peut provoquer une réponse immunitaire). Une fois qu’il se trouve dans une cellule immunitaire, il entraîne celle-ci à produire l’antigène en plus grande quantité.

 

Jusqu’à présent, aucune entreprise n’a réussi à développer un vaccin à ADN. Toutefois, si de tels vaccins pouvaient être inoculés à l’homme, ils élimineraient les risques de la vaccination contre de nombreuses maladies (sic!). Ils seraient également plus stables, au point de pouvoir être expédiés et stockés à température ambiante, et ils élimineraient la nécessité de l’injection par seringue, d’où une solution sans douleur.

 

D’après Darrell Irvine du MIT, il suffit d’appliquer un patch pendant quelques minutes avant de le retirer, auquel cas la fine couche de polymère qui reste se fond dans la peau. C’est ce que les chercheurs appellent un « tatouage multicouche ».

 

1. Ils ont créé un patch composé de plusieurs couches de polymères intégrant le vaccin à ADN.

2. Ces films de polymères sont implantés sous la peau par un lit de micro-aiguilles qui pénètrent sans douleur sur environ un demi-millimètre d’épaisseur.

3. Une fois sous la peau, les films se dégradent au contact de l’eau, libérant le vaccin sur plusieurs jours ou semaines.

4. Lorsque le film se sépare, les brins d’ADN sont entremêlés avec des morceaux de polymère, ce qui protège l’ADN et l’aide à pénétrer dans les cellules.

 5. Comme l’ADN est libéré progressivement, il interagit avec le système immunitaire plus longtemps, optimisant l’efficacité du vaccin.

 

L’équipe va procéder à d’autres essais sur des primates avant de passer à l’homme. Les précédentes tentatives de vaccination à l’ADN incluent l’injection d’ADN sous la peau, puis l’utilisation d’électrodes pour ouvrir de petits pores dans les cellules (douloureux).

 

Leurs travaux ont été publiés en janvier dans Nature Materials.

 

Source : Smartplanet.fr

 

Le leurre est démasqué : les aiguilles sont là mais vous ne les sentirez plus, la méthode est toujours aussi dangereusement artificielle mais vous n’y verrez plus que du feu, en voilà une belle astuce pour futurs gens trop crédules !!

 

Hélas cette espèce de « conte de fée commercial » tournera une fois de plus au cauchemar tant il s’agit d’un jeu d’apprentis sorciers aux conséquences totalement incontrôlables. C’est important de bien comprendre cela à temps car jusqu’ici, nous sommes dans un jeu de dupe dramatique qui consiste à faire passer pour « un progrès » une méthode hasardeuse destinée à faire entrer de façon directe un ADN étranger, mélangé à d’autres molécules de synthèse, par aiguille dans le corps, soit un mécanisme qui reste donc totalement différent de la façon utilisée par les microbes pour pénétrer dans notre organisme ! Sur quoi débouchera cette interaction prolongée avec le système immunitaire ? Sur encore plus d’allergies, de maladies auto-immunes et de cancers que ce que nous connaissons déjà aujourd’hui ??

 

En fait, cette méthode des « vaccins indolores » arrive surtout à point nommé pour tenter d’enrayer la crise de confiance on ne peut plus légitime envers la vaccination et tout ceci parce que derrière la vaccination il y a un DOGME intouchable, l’idéologie selon laquelle les gens DOIVENT absolument être vaccinés contre tout et contre rien et ce, du berceau à la tombe. Comme le stalinisme et toutes les autres idéologies portées par des personnalités politiques et mises ainsi en application dans le plus grand aveuglement général, la vaccination a elle aussi son lot (et quel lot !) de victimes innocentes qui se chiffre évidemment en MILLIONS de gens. Les gens ne réalisent pas, parce que dans le même temps on leur lave continuellement le cerveau avec des affirmations péremptoires décrétant que les vaccinations sauveraient X millions de vies chaque année, des chiffres invérifiés et invérifiables. D’un autre côté, que les gens soient conscients ou non du lien entre leurs maladies et les vaccins reçus, les victimes de vaccins sont là et bien là, même si personne n’est évidemment pressé de les comptabiliser.

 

Avec cette nouvelle méthode, on comptera bien sûr « laver plus blanc que blanc » et prétendre qu’elle est plus sûre et plus efficace que les vaccins actuels dont on nous a toujours prétendu qu’ils étaient si sûrs et si efficaces ! Cela transparaît nettement d’une phrase comme celle-ci « ils (les vaccins à ADN) élimineraient les risques de la vaccination contre de nombreuses maladies. »

 

Et lorsqu’on lit sur un site comme Sante-guerir.notrefamille.com une phrase aussi absurde que celle-ci « L’ADN vaccin a l’avantage d’être facilement purifiable, amplifiable, stérilisable et stable. », on ne peut que dire « Pardonnez-leur car ils ne savent pas ce qu’ils écrivent » puisque les vaccins transgéniques à ADN recombinant contre ceux contre l’hépatite B qu’on présentait eux aussi comme un immense progrès à l’époque, n’ont jamais une pureté parfaite, ce qui a fait admettre par l’OMS qu’ils posaient « UN RISQUE DE MALIGNITE » dans un de ses rapports techniques ! Il est du reste particulièrement ambigu d’aller prétendre que ces vaccins seraient « stables » dès lors que la stabilité à telle ou telle température n’équivaut pas pour autant à une stabilité du processus dans l’organisme, lequel pourrait s’avérer totalement incontrôlé dans ses implications graves et irréversibles possibles.

 

Les tests chez les primates renseigneront-ils objectivement ? Ou bien passera-t-on outre ce qu’on n’a absolument pas envie de voir, comme ce fut le cas avec les résultats accablants de ces expérimentations sur les singes avec le vaccin anti-hépatite B injecté à la naissance (comme cela se fait aux Etats-Unis). Des expérimentations qui ont montré que les singes ainsi vaccinés perdaient très rapidement leurs réflexes de survie et manifestaient des troubles neurodéveloppementaux similaires à ce qui se passe en cas d'autisme !

 

Nous nous retrouvons avec ces technologies faussement progressistes vers un nouveau risque d’expérimentation illégale et contraire au Code de Nuremberg. Nous pensons que les gens qui sont morts pour défendre ces libertés et ces droits seraient véritablement heureux et satisfaits de savoir que nous le rappelions aujourd’hui et qu’ils ne soient ainsi pas morts en vain.

 

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 21:55

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Il y a peu, une épidémie de grippe s’est produite dans un home de Vilvorde, a déclaré le Dr Luc de Munck (CRA) au Journal du Médecin (Artsenkrant du 12 février 2013, p. 2). Au cours des quatre dernières semaines, 48 personnes ont manifesté des symptômes typiques de la grippe. Les personnes qui sont tombées malades avaient pourtant été vaccinées contre la grippe. « Mais cela ne suffit pas » a déclaré le professeur Marc Van Ranst.

 

Tout a commencé il y a quatre semaines, explique le docteur Luc de Munck du Home (WZC) de Vilvorde. « En quelques jours, 14 pensionnaires sont tombés sérieusement malades ; ils présentaient les caractéristiques typiques d’une infection virale, alors qu’ils avaient tous été vaccinés contre la grippe. »

 

Le weekend suivant, il y eut encore plus de malades. En accord avec le Dr Marc van Ranst (UZ Leuven), le Dr de Munck demanda que l’on procède à des cultures naso- pharyngiennes de trois pensionnaires. Il fut supposé que la souche B/Victoria du virus de l’influenza B qui, cette année ne faisait pas partie du vaccin, était  responsable de l’infection. Dans l’attente des résultats des examens,  la maison de soins décida de fermer la cafeteria, comme de demander aux pensionnaires de prendre les repas dans leurs chambres, et au personnel de porter des masques et des gants….Mais, malgré les mesures prises, le nombre de malades présentant les symptômes de la grippe ne cessèrent d’augmenter pour atteindre le nombre de 48. Quelques membres du personnel furent aussi touchés et des pensionnaires durent même être hospitalisés.

 

L’influenza A

 

Les cultures effectuées par le Ministère de la Santé publique montrèrent qu’il ne s’agissait pas de la souche Victoria ; les échantillons contenaient en fait l’influenza A(H3N2), une souche qui faisait partie du vaccin utilisé. « Rien d’illogique » déclare le Dr Van Ranst de l’UZ Leuven ! «  Le vaccin contre la grippe ne fonctionne pas d’une manière parfaite. En outre, son efficacité diminue chez des personnes avec un système immunitaire qui vieillit. »

 

N’aurait-on pas pu éviter cette épidémie ? « Peut-être bien, mais avec une stratégie plus large », pense le Pr Van Ranst. « En tout premier lieu, tous les pensionnaires devaient être vaccinés. Ce qui fut le cas à Vilvorde. Mais en outre, il fallait qu’un maximum de membres du personnel soient également vaccinés, parce que c’est par eux que le virus de la grippe est rentré. Dans beaucoup de homes pour personnes âgées, le taux de vaccination est vraiment trop peu élevé. A partir d’études que nous avons effectuées l’année dernière, nous avons pu réaliser qu’à peine un quart du personnel soignant des homes s’était fait vacciner. »

 

Qu’en était-il pour le home de Vilvorde ? Ann Verhaeren, directrice du Centre en question déclare : «  Seulement 26% de notre personnel est vacciné. Quant au personnel soignant proprement dit, seuls 14% se sont fait vacciner. L’an prochain, nous allons bien sûr faire des efforts pour améliorer cette situation. »

 

Irresponsable ?

 

Il n’y a pas que les membres du personnel, les visiteurs peuvent aussi colporter des maladies. « Il faudrait que l’on soit plus sévère par rapport aux visites des petits enfants malades. Je constate que les homes se comportent d’une manière assez « libérale » par rapport aux petits enfants et arrière-petits enfant qui font un gros rhume. D’un côté on peut comprendre la chose, mais il faut savoir que cela comporte aussi des risques. Dans un certain sens, c’est quelque peu irresponsable, car la société investit pas mal de moyens dans les campagnes de vaccination, alors que nous laissons la porte arrière grande ouverte. »

 

Le professeur de virologie de Louvain a-t-il, dans le cas qui nous occupe, utilisé des antiviraux ? «  Dans des circonstances normales, je n’en suis sûrement pas partisan. Mais dans une situation épidémique comme celle qui s’est produite dans ce home, on peut se le permettre pour empêcher que les problèmes durent trop longtemps et ainsi limiter la mortalité et éviter autant que possible des hospitalisations. »        

 

Tijs Ruysschaert

 

Source:  Journal du Médecin

 

Voici la démonstration solennelle de l’inefficacité totale de la vaccination chez les personnes à qui on recommande en priorité le vaccin. Et quand des échecs surviennent, ce qui est monnaie courante, pas seulement dans ce home-là mais aussi dans tous les autres, c’est toujours la faute aux non vaccinés parce qu’ils auraient dû l’être ! Donc quand on voit ce genre d’information-aveu publié, on peut arriver à deux types de conclusions possibles : d’une part que ces experts aux manettes font preuve d’un fanatisme inquiétant et d’autre part, qu’ils sont finalement peu intelligents de publier ce genre d’aveu qui les enfoncent jusqu’au cou ! 

 

Culpabiliser les petits enfants est en outre ridicule, leur visite apporte réconfort et joie de vivre aux résidents, ce qui a un effet positif sur l’immunité. Mais il est vrai qu’avec le nombre de vaccins infligés aux malheureux petits enfants, ceux-ci sont sans cesse malades et choppent bien plus d’infections par ci par là que s’ils avaient eux-mêmes pu être vierges de toute vaccination (les comparaisons entre enfants vaccinés et non vaccinés sont très claires à ce niveau !). Il serait donc plus efficace en termes de vraie prévention et de santé publique de cesser d’une part d’accabler les enfants avec des batteries de vaccins dès leur plus jeune âge, ce qui entrave très lourdement hélas la bonne marche de leur système immunitaire et d’autre part, qu’on fasse enfin de la vraie prévention sans danger profitable aux résidents et pas seulement en matière de prévention antigrippale (dosage du taux de vitamine D, supplémentation y compris en Zinc, en magnésium, vitamine C+++, etc). Voilà ce qui changerait vraiment les choses dans le bon sens. Mais nul doute que cela n’enchanterait pas Van Ranst, on se demande bien ce qu’il aurait à expliquer sur ce sujet qu’il semble totalement ignorer…

 

Souvenons-nous enfin que ce genre d'articles a aussi vocation à préparer petit à petit l'opinion publique à une éventuelle vaccination annuelle généralisée des jeunes enfants contre la grippe, une idée qui a germé en Grande-Bretagne (qui copie en cela les Américains) et qui consistera à administrer un vaccin vivant atténué aux jeunes enfants, une démarche qui ne pourra donc que contribuer à répandre encore plus de virus susceptibles d'infecter les malheureuses personnes âgées dont les vaccins sont inefficaces! Aux USA où cette mesure a été généralisée dès 2002, on a très vite observé une hausse claire des décès liés à la grippe chez les enfants vaccinés... cherchez l'erreur là encore!

 

 

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