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24 août 2013 6 24 /08 /août /2013 20:43

Nigeria : les journalistes ayant relayé des thèses contre la vaccination anti-polio libérés sous caution

KANO (Nigeria) - Deux journalistes et un imam nigérians ont été libérés sous caution jeudi après avoir été inculpés pour la diffusion d’une émission critiquant le vaccin de la poliomyélite, juste avant les attaques meurtrières de cliniques d’où étaient organisées des vaccinations contre cette maladie.

 

Dix personnes ont été tuées le 8 février dernier dans l’attaque de deux cliniques à Kano, dans le nord du Nigeria. Quelques jours auparavant, la radio Wazobia FM avait diffusé un reportage renouvelant les critiques selon lesquelles de nombreuses vaccinations étaient faites de force.

 

Un des journalistes de Wazobia FM explique ainsi qu’il a été battu et que son matériel a été volé au domicile de l’imam Abubakar Rabo, les autorités sanitaires voulant forcer l’imam à faire vacciner ses enfants.

 

L’émission renouvelait aussi des théories de la conspiration et des critiques selon lesquelles les vaccins anti-polio font partie d’une conspiration de l’Occident contre les musulmans.

 

Les deux journalistes de Wazobia FM et l’imam avaient été inculpés mardi, et leur demande de libération sous caution initialement rejetée.

 

Jeudi, le juge Ibrahim Bello les a libérés sous caution contre 100 000 naira chacun (soit 475 euros) et deux garants par personne.

 

Dans la loi nigériane, toute accusation qui entraîne une condamnation inférieure à trois ans de prison permet une libération sous caution, a expliqué Ibrahim Bello.

 

La peine maximale qui peut être prononcée contre les trois suspects est trois ans de prison, la cour autorise donc la libération sous caution des accusés, a-t-il poursuivi.

 

Les charges retenues contre eux sont la conspiration criminelle, l’incitation au désordre, l’injure délibérée, l’obstruction faite à un fonctionnaire dans l’exercice de ses fonctions, la diffamation et la calomnie.

 

La théorie selon laquelle le vaccin anti-polio rend les musulmans stériles est très répandue dans le nord du Nigeria, majoritairement musulman. Elle a souvent été relayée par les politiciens locaux et les responsables religieux, rendant difficiles les efforts réalisés pour enrayer la propagation de la maladie.

 

Depuis 2003, la ville de Kano est particulièrement frappée par le virus de la polio en raison notamment de la suspension pendant 13 mois du programme d’immunisation à cause de ces théories.

 

Le Nigeria est, avec le Pakistan et l’Afghanistan, l’un des trois pays au monde où la polio reste endémique.

 

On ignore encore qui est responsable des attaques du 8 février et rien ne permet pour l’instant d’établir un lien direct entre celles-ci et l’émission de Wazobia.

 

Le groupe islamiste Boko Haram a mené plusieurs attaques à Kano, mais des bandes armées liées à des politiciens locaux opèrent également dans la ville.

 

Le Comité de protection des journalistes (CPJ) basé à New York avait réclamé mercredi via un communiqué l’abandon des charges pesant contre les journalistes par les autorités nigérianes.

 

Nous sommes très inquiets des accusations criminelles qui pèsent sur les journalistes de Wazobia FM après la diffusion d’une émission qui s’interrogeait sur la gestion de la campagne de vaccination anti-polio par le gouvernement nigérian, a déclaré Mohamed Keita, le consultant du CPJ pour l’Afrique de l’est.

 

Source: All Sud

 

Dans nos pays occidentaux, la question se pose moins parce que les crèches vont par exemple faire un odieux chantage vaccinal.

 

Les journalistes ne se hasarderaient jamais à questionner le vaccin anti-polio et surtout, se permettraient-ils de s’indigner de la réalisation de vaccinations forcées ?

 

Oui, peut-être s’ils en venaient à craindre pour leur propre liberté et leur propre santé ou celle de leurs enfants, ce qui explique sans doute le relai médiatique accru à l’occasion du H1N1, compte tenu de la menace réelle de vaccination obligatoire qui a plané.

 

Mais lorsqu’on voit que la presse n’avait même pas daigné relayer notre lettre recommandée très dérangeante à l’ONE (Office de la Naissance et de l’Enfance, équivalent belge francophone de la PMI française) sur l’insécurité des vaccins qu’elle exige, on conçoit que la presse ne sert certainement pas en priorité l’intérêt des citoyens et leur droit à l’information. Dans nos pays aussi, la presse n’est donc PAS LIBRE.

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21 août 2013 3 21 /08 /août /2013 22:33

Ce 12 août 2013, dès 12H40, l'émission RTL + était consacrée au développement des (nouveaux) vaccins avec, comme deux SEULS invités, le Pr Yves Van Laethem, infectiologue au CHU Saint-Pierre de Bruxelles, et Oberdan Léo, le Directeur de l'Institut d'Immunologie Médicale (IMI) de Charleroi.

 

RTL----1-.JPG

 

Tous les deux ont des conflits d'intérêts avec les fabricants de vaccins, bien que cela n'ait hélas pas été communiqué par RTL aux téléspectateurs!!

 

Yves Van Laethem est lié à divers fabricants de vaccins, comme il l'avait lui-même déclaré avant une présentation sur les leçons de la grippe H1N1 en mai 2010 à l'INAMI. Le journal Le Soir aussi a parlé de ses liens d'intérêts.

 

Van-Laethem.JPG

 

Quant à l'Institut d'Immunologie Médicale (IMI) de Charleroi (dont Oberdan Léo est directeur), son financement et donc sa viabilité découlent d'un partenariat entre la Région Wallone, l'Université Libre de Bruxelles (ULB) ET GSK, fabricant mondial de vaccins. Un des projets qui y est actuellement développé et qui est notamment financé grâce à l'argent du Télévie, consiste à utiliser des agents pharmacologiques pour accélérer le processus naturel de développement du système immunitaire des enfants (NB: le système immunitaire des enfants n'est pas pleinement mature avant l'âge de 6-7 ans) dans le sombre but de pouvoir vacciner plus tôt, dès la naissance sans doute ou peut-être un jour déjà in utero?

 

Oberdan-Leo.JPG

 

Le fait que RTL n'ait pas mentionné d'entrée de jeu ces éléments, pourtant fondamentaux, constitue déjà une forme évidente de manipulation médiatique à l'encontre des spectateurs.

 

Mais passons ensuite aux points suivants. A savoir les vraies questions que pose le développement des nouveaux vaccins et que RTL a bien sûr soigneusement évité d'aborder, tant elles sont commercialement dérangeantes.

 

Avant toute chose, la question des exigences règlementaires auxquelles les vaccins sont soumis avant leur mise sur le marché. L'émission a ainsi soigneusement omis de rappeler que les vaccins actuels comme les vaccins en cours de développement sont dispensés d'études contre vrais groupes placebo pour le volet "tolérance" des essais cliniques de vaccins; que les effets secondaires ne sont évalués que sur quelques jours ou tout au plus quelques semaines; que les vaccins sont dispensés d'analyses pharmacocinétiques qui consistent pourtant à évaluer le devenir précis des divers composants des vaccins une fois injectés; et qu'enfin, ils ne sont jamais soumis à des tests destinés à évaluer leur potentiel cancérogène , mutagène ou tératogène, c'est à dire leur faculté de provoquer des cancers, des mutations de notre ADN ou des malformations et maladies chez la descendance de gens vaccinés.....

 

Tous les vaccins sont donc expérimentaux, et pas seulement les nouveaux vaccins en cours de développement. Ceci est déjà un premier point capital à savoir dont l'immense majorité du public, abreuvé par une presse manipulatrice, n'a tout simplement pas assez conscience.

 

Les invités ont eu tout le loisir de distiller un discours convenu qui prend garde de ne surtout jamais entrer dans les détails concrets des effets secondaires des vaccins, qu'il s'agisse de leur variété, leur fréquence et de leur gravité possibles. Ainsi, dans le contexte actuel et dans une tentative de paraître aussi crédible que possible, le Pr Van Laethem s'est cru obligé de reconnaître que "tout n'est pas bon dans le vaccin" mais tout en se contentant toujours de rester très général en affirmant de façon gratuite que si on recommande un vaccin, c'est que ses avantages sont soi-disant toujours largement supérieurs aux risques. Une affirmation sans valeur compte tenu des carences règlementaires évoquées ci-dessus.

 

Les deux moments "majeurs" de cette émission assez insipide furent les questions faussement impertinentes et toutes gentillettes de quelques téléspectateurs triés sur le volet qui ont ainsi "osé" interroger les deux grands experts sur le plateau sur le lien entre autisme et vaccins d'une part et également sur l'âge très précoce auquel on commence à vacciner.

 

Sur la question de l'autisme, bien sûr, c'est du Pr Van Laethem qu'il y a lieu de rire étant donné qu'il ne semble avoir entendu parler QUE du seul Dr Wakefield et pas du tout de tous les autres scientifiques qui ont eux aussi montré l'évidence d'un lien plus que probable entre les vaccins et l'autisme. [Infos plus détaillées à ce sujet dans la réponse au journal La Croix ici !]

 

Ainsi,  l'"expert" Yves Van Laethem prétend que la question du lien entre vaccins et autisme aurait été entièrement montée à la manière d'une pièce de théâtre (sic!) mais voici à présent la réponse d'une experte d'une autre envergure puisqu'elle a dirigé le très célèbre National Institute of Health (Institut National de Santé, appelé NIH), aux USA. Voici ce que le Dr Bernadine Healy déclarait sur CBS en 2008 au sujet de ce lien entre vaccins et autisme:

 

"Quand j'ai entendu parler la première fois de la question d'un lien entre vaccins et autisme, j'ai d'abord trouvé que cela n'avait aucun sens. Mais si on regarde la Science de base, les études qui ont été menées chez les animaux, ainsi que plusieurs cas individuels d'autisme et si on regarde aussi les preuves selon lesquelles il n'y aurait pas de lien, ce qui me vient alors à l'esprit c'est que la question n'a tout simplement pas encore été résolue."

 

Mais le Dr Healy explique évidemment bien plus en détail le peu de fondement scientifique d'affirmations hâtives comme celles du Dr Van Laethem. Vous trouverez plus de précisions sur la teneur de ses propos ICI.

 

Et lorsqu'un téléspectateur demande si on ne vaccine pas trop tôt, le Dr Van Laethem s'empresse de dire que le bon âge est celui auquel on commence à risquer telle ou telle maladie et que la vaccination fonctionne si on présente bien le microbe. Oberdan Léo se met alors ensuite à semer la confusion en mélangeant volontairement tout: il affirme alors que c'est l'absence de stimulations par des microbes qui favorise les problèmes immunitaires chez les enfants, comme si la vaccination était une stimulation normale et bienfaisante équivalente aux microbes naturels! En réalité, c'est "l'hygiénisme" poussé à l'extrême et qui est en fait symbolisé par le triomphe de la vaccination et des antibiotiques à la moindre occasion, qui a favorisé les allergies et autres maladies immunitaires en aseptisant peu à peu nos univers. Les microbes naturels ont en revanche aussi un rôle favorable dans la maturation normale du système immunitaire des jeunes enfants, ce qui explique que les enfants non vaccinés sont nettement moins souvent malades, consomment près de 3 fois moins d'antibiotiques, souffrent nettement moins d'allergies, d'asthme, d'eczéma, etc.

 

Initiative Citoyenne avait soumis plusieurs questions pertinentes en temps et en heure sur le site de RTL + mais celles-ci furent publiées avec une étrange sélectivité. Expliquons-nous:

 

- Initialement (la première réaction), nous avions soumis textuellement le message suivant:

 

Nous voudrions soumettre aux invités les propos convergents et récents de deux médecins qu'on ne peut pourtant pas suspecter d'être anti-vaccins et qui ont justement trait au développement des nouveaux vaccins:

 

- Tout d'abord ceux du Dr Anne-Marie Moulin, du CNRS, qui déclarait dans le documentaire "Vaccins, le virus du doute" qu' : «Il ne faut pas cacher au public que ces nouveaux vaccins sont des vaccins expérimentaux et que, quelque part, on ne peut pas se passer d’un saut dans la population pour appliquer à un grand nombre d’individus un vaccin, qui par définition, n’est pas nécessairement adapté à la constitution de chacun. »

 

- Les seconds sont ceux du Dr Jean-François Saluzzo, qui est Directeur de la Production des Vaccins Viraux chez Sanofi et également consultant pour l'OMS. Dans un cours de vaccinologie en ligne, il déclare « Une des raisons essentielles de l’histoire des vaccins, c’est qu’on ne comprend pas comment marchent les vaccins. […] Je pense que si on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie et des vaccins nouveaux, c’est d’étudier d’abord la réponse immunitaire

 

Au vu de ces aveux inquiétants dont ne sont jamais informés les vaccinés, nous voudrions demander aux invités s'ils estiment que le développement de nouveaux vaccins devra aussi s'accompagner d'une information autrement plus éthique, correcte et rigoureuse des citoyens, dans le respect de la loi des patients du 22 août 2002?

 

 

"Comme par hasard", cette première soumission n'est jamais parue, bien que d'autres commentaires soumis postérieurement par d'autres internautes apparaissaient pourtant sur le site de RTL...

 

Nous repostons alors une deuxième réaction, plus brève, avec les seuls propos du Dr Anne-Marie Moulin. Là encore, ces propos ne passaient pas, bien que d'autres commentaires d'autres gens venaient à leur suite et qu'eux, étaient autorisés!

 

A la troisième tentative, nous demandons ouvertement dans notre commentaire à RTL pourquoi nous avons été censurés lors des deux premiers messages. Ce message-là ne passe pas non plus mais peu après, RTL autorisera finalement ce deuxième message avec les propos d'Anne-Marie Moulin. Nos 4 autres questions bien embêtantes auraient pu être posées lors de l'émission mais elles ne furent publiées qu'après sur le site de la chaîne et encore, seules 3 de ces 4 questions.

 

Ces 4 autres questions concernaient toutes des aspects scientifiquement et éthiquement fondamentaux du développement des nouveaux vaccins:

 

- Les projets d'apprentis-sorciers sans aucun contrôle démocratique

- Le détournement financier d'argent nettement plus urgent à dépenser ailleurs (eau, aliments)

- Les incohérences avec les anticorps en matière de SIDA et le rôle relatif des anticorps

- Le risque de malignité (cancer) posé notamment par les vaccins produits par génie génétique, càd les "nouveaux vaccins" (HPV, HB), soi-disant "plus purs", et reconnus par l'OMS elle-même dans son rapport n°747 dès 1987!

 

Voici quelle était la teneur de notre question sur les projets d'apprentis-sorciers comme on en trouve à l'IMI, dirigé par Oberdan Léo:

 

Selon l'ancien Directeur de l'Institut d'Immunologie Médicale qui s'exprimait dans la revue de l'ULB Esprit Libre de février 2005, un des projets de nouveaux vaccins développés sur ce site de Charleroi consiste, nous citons, à " accélérer la maturation du système immunitaire chez le jeune enfant. La caractérisation d'agents pharmacologiques susceptibles d'accélérer la maturation du système immunitaire représente une des priorités de l'IMI dans le cadre de ses projets de collaboration en Europe et en Afrique." Si l'évolution a retenu un temps de maturation du système immunitaire d'une durée de 6 à 7 ans dans l'espèce humaine, ne peut-on pas présupposer que c'est pour de bonnes raisons qu'il serait hasardeux d'évacuer??
Source (Esprit Libre, ULB): http://www.ulb.ac.be/espritlibre/html/el022005/26.html

 

Voici quelle était notre question sur le gaspillage d'argent dans les nouveaux vaccins, au détriment de dépenses autrement plus vitales et urgentes pour les pays pauvres:

 

On n'arrête pas d'introduire de nouveaux vaccins dans le calendrier vaccinal des pays d'Afrique, sous prétexte d'égalité avec les enfants occidentaux. Diverses associations internationales viennent ainsi d'acheter pour 1 MILLIARD de dollars des centaines de millions de doses de vaccins contre le pneumocoque car l'OMS estime que cela tue 800 000 enfants chaque année dans le monde. Mais dans le même temps, 1,1 milliard de gens sur terre n'ont toujours pas accès à l'eau potable et selon la FAO, 925 millions de gens souffrent chroniquement de la faim dans le monde soit un enfant qui meurt de faim toutes les 6 secondes. Comment expliquer que le premier poste budgétaire de l'OMS reste la vaccination et que l'eau et la nourriture n'arrivent qu'en 5° position?? N'y a-t-il pas un problème de priorité??

 

Précisons au sujet de ces vaccins destinés aux pays pauvres, qu'il fut bien sûr aussi question dans cette émission du fameux vaccin anti-malaria. Les "experts" en plateau ont pu vanter l'aide "bien nécessaire" de fondations comme celle de Bill & Melinda Gates pour financer ce genre de vaccins. Un vaccin qui n'est en réalité "efficace" que dans 30% des cas chez les nourrissons. Mais voyons à présent le contraste saisissant entre les efforts pour développer un vaccin peu efficace aux multiples effets secondaires (le RTS-S) et l'énorme efficacité du MMS, un produit à base de chlore, visiblement très simple et sûr d'utilisation, tel qu'il a notamment été essayé par des gens de la Croix Rouge (mais la pression étant telle en faveur du "dieu vaccin" que ces gens de la Croix Rouge semblent à présent nier leur implication dans cette évaluation du MMS sur le terrain, en dépit de photos locales pourtant difficilement contestables...). On peut également visualiser dans la vidéo suivante l'implication de la Croix Rouge dans l'expérimentation particulièrement réussie des effets curatifs du MMS sur les états déclarés de malaria:

 

 

Ci-dessous, voici cette fois quelle était la question en matière de SIDA (posée de façon indirecte) et sur le rôle relatif des anticorps (mais exagéré dans le système de croyances des vaccinalistes):

 

Toute la vaccinologie est basée sur la volonté de faire produire à l'organisme des anticorps qui sont censés être la preuve que l'organisme est bien protégé. Pourtant, dans le cas du SIDA, c'est la présence d'anticorps qui signe l'infection et non la protection contre celle-ci, ce qui semble incohérent. Par ailleurs, tout miser sur les anticorps nous semble simpliste car comme le montre la récente recherche de Moseman parue début 2012 dans le Journal Immunity, la présence d'anticorps n'est pas strictement nécessaire pour se défendre contre divers types de virus.

 

La question la plus gênante n'est évidemment pas passée, et ne fut donc même pas publiée sur le site, bien que la base documentaire de celle-ci n'était autre que le rapport n°747 de 1987 de l'OMS sur l'acceptabilité des substrats cellulaires qui avait été dûment communiqué dans le message soumis, sous forme de lien direct vers ce rapport.

 

Dans ce rapport était évoqué le risque de MALIGNITE (c'est à dire de cancer) posé par la présence d'un ADN étranger (on parle d' "ADN hétérogène") issu du processus de fabrication des vaccins dont la pureté ne peut jamais être parfaite. Ce risque étant évidemment d'autant plus élevé que ce genre de vaccins sont administrés de façon précoce et répétée au cours de la vie.

 

Voici les propos exacts issus du rapport (cf pages 6 et 7/36 du pdf du rapport de l'OMS):

 

« Un des grands problèmes soulevés [à cette conférence] est le risque de malignité que pourrait représenter à long terme un A.D.N contaminant hétérogène, en particulier s’il s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière. »

 

Qu'auraient franchement eu à répondre à cela les deux "experts" invités? Puisque l'OMS est vraiment leur référence suprême! Chose intéressante à ce propos, c'est de lire aussi avec grande attention l'insouciance et le ton tout à fait inadapté des "experts" de l'OMS dans ce rapport n°747 puisque malgré cette inquiétude concrète sur le risque de cancer, pourtant ouvertement formulée, ils arrivent à conclure sur dieu sait quelle "preuve" (en réalité inexistante!) qu' "il ne semble pas que l'utilisation d'une lignée cellulaire continue fasse courir au malade un risque réel." ou encore "Jusqu'ici, l'impression générale des groupes qui ont étudié ces questions, est que, quels qu'aient pu être les risques potentiels, les données en faveur de l'innocuité de ces produits justifient leur acceptation."

 

Il est donc fort probable que ces experts nationaux invités par RTL auraient répercuté et imité cette même insouciance auprès du public avec des "il ne semble pas" ou encore "on a l'impression que". C'est avec ce genre de décryptage nettement plus approfondi et qui incomberait normalement à des médias dignes de ce nom -qu'on pourrait alors réellement considérer comme un véritable "4° pouvoir"- qu'on se rend mieux compte du manque criant de solidité scientifique sous-tendant la vaccinologie et la prétendue grande sécurité des vaccins. Car le processus de développement des nouveaux vaccins a beau prendre plusieurs années en tout, on en reste à des imprécisions telles que les prétendus experts ne peuvent en réalité que se baser sur de "vagues impressions" bien trop subjectives. Nous ne sommes plus ici dans le concept de Science mais bien de pseudo Science, et ce glissement implique hélas des risques aussi graves que celui du cancer pour des millions d'individus vaccinés en toute ignorance des dangers encourus. Mais bien sûr, l'establishment espère que nous nous jeterons aussi sur les "vaccins anti-cancer" en cours de développement!

 

Ecouter ou réécouter cette émission de RTL+ du 12 août dernier.

 

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21 août 2013 3 21 /08 /août /2013 15:48

Cet exemple est très révélateur de la manipulation médiatique ambiante...

 

Le journal La Croix titre en effet "Le "mythe" du vaccin qui serait à l'origine de l'autisme." et classe l'article dans la rubrique "Supercheries de la Science"!

 

La-Croix--autisme.JPG

 

Peut-on parler dans ce cas de "bonne foi journalistique"??

 

Voici les critères de cette "bonne foi journalistique" comme le rappelait Edwy Plenel de Mediapart,  le 22 juin 2010,  en pleine affaire Bettencourt:

 

- légitimité du but poursuivi

- sérieux de l'enquête

- RESPECT DU CONTRADICTOIRE

- modération dans l'expression

- absence d'animosité personnelle

 

Et de préciser que ces critères sont au coeur de la jurisprudence du droit de la presse...

 

En fait, le journal La Croix n'a pas du tout respecté ces critères. Au contraire, en donnant unilatéralement la parole à des officiels comme Daniel Floret (qui ne sont pas neutres, bien au contraire, à en juger par leur triste palmarès en lien d'intérêts avec les fabricants de vaccins!), le journal n'a fait que colporter des inexactitudes flagrantes et autres raccourcis scientifiques préjudiciables à la santé publique.

 

Car en fait, si on peut bien sûr être d'accord sur le fait que la vaccination n'est pas la seule cause possible de l'autisme, elle est une des causes certaines de cette pathologie, comme plusieurs études scientifiques en attestent, et pas uniquement la publication incriminée de Wakefield.

 

Pour ne citer que quelques exemples, on peut parler de la publication des chercheurs de la Wake Forest University de Caroline du Nord qui ont reproduit les résultats de Wakefield, comme en a témoigné le Daily Mail. A ce propos, il est tout de même important de retranscrire plusieurs propos de cet article du Daily Mail, parce que les affirmations du journal La Croix n'apportent absolument aucune réfutation valable de ceux-ci:

 

"Des scientifiques craignent que le (vaccin) ROR soit lié à l'autisme." (titre)

 

Une nouvelle recherche américaine montre qu'il pourrait y avoir un lien entre le vaccin ROR controversé, l'autisme, et les maladies intestinales chez les enfants.

 

Il apparaît que l'étude confirme les résultats du médecin britannique Andrew Wakefield qui avaient provoqué une tempête en 1998 en suggérant un lien.

 

Maintenant, une équipe de chercheurs de l'Ecole de Médecine de la Wake Forest University de Caroline du Nord, sont en train d'examiner 275 enfants atteints d'autisme régressif et présentant une maladie intestinale - et sur les 82 enfants déjà testés à ce stade, 70 sont positifs au virus (vaccinal) de la rougeole.

 

La nuit dernière, le directeur de l'équipe, le Dr Stephen Walker a déclaré: "Sur base des résultats dont nous disposons à ce stade, tous les tests positifs sont relatifs à une souche vaccinale du virus (de la rougeole) et pas à une souche sauvage du virus."

 

"Cette recherche prouve la présence du virus de la rougeole dans le tractus gastro-intestinal de nombre d'enfants diagnostiqués avec un autisme régressif.  

 

Ce que cela signifie, c'est que l'étude précédemment faite par le Dr Wakefield et publiée en 1998 est correcte. Cette étude n'a pas tiré la moindre conclusion au sujet de ce que cette présence virale dans l'intestin signifie mais le fait que ce virus ait été retrouvé là implique que cela pourrait venir du ROR. Si cela est le cas, et si ce virus vivant persiste dans le système gastro-intestinal de certains enfants, qui se mettent peu après à souffrir d'inflammation gastro-intestinale et d'autres problèmes, cela pourrait être lié au ROR."

 

[...] C'est la seconde étude INDEPENDANTE qui confirme les résultats obtenus par le Dr Wakefield. En 2001, John O'Leary, Professeur de Pathologie à l'Hôpital St James et au Trinity College de Dublin, avait déjà reproduit les résultats du Dr Wakefield.

 

Le Dr Wakefield qui a réagi à la publication de ces résultats a déclaré la nuit passée "Cette nouvelle étude confirme ce que nous avons trouvé chez des enfants britanniques et ce que le Pr O'Leary a également retrouvé. La seule voie d'exposition (au virus de la rougeole) que ces enfants ont eue, c'est le vaccin ROR. Ils se sont développés normalement jusqu'au moment où ils ont commencé à régresser. Ils souffrent maintenant d'autisme et de maladies intestinales.

 

"Le Ministère de la Santé et certains médias ont essayé d'étouffer notre recherche au motif qu'elle serait insignifiante. Leur prétexte était que personne d'autre n'avait obtenu les mêmes résultats que nous. Mais ce qu'ils n'ont pas dit, c'est que personne n'avait vraiment cherché à vérifier."

 

Un porte-parole du Ministère de la Santé a dit qu'il n'avait pas lu la publication américaine mais a ajouté que "le ROR restait le meilleur moyen de se protéger contre la rougeole, les oreillons et la rubéole."

 

Cette dernière phrase des gens du Ministère démontre bien qu'ils n'ont AUCUNEMENT la volonté d'évaluer réellement le véritable rapport bénéfices/risques sur base d'une littérature médicale propre et objective mais bien de défendre une idéologie car quand on défend une idéologie, un principe, on ne trouve jamais la moindre gêne à prétendre dans le flou que telle méthode reste "la meilleure" si on n'a pas encore lu des rapports qui évoquent ses risques possibles.

 

Entretemps, il faut aussi savoir qu'une haute juridiction britannique a blanchi le Pr Walker-Smith, gastro-entérologue très réputé qui avait également cosigné cette pubication avec Wakefield, le juge ayant pris soin de mentionner la véritable chasse aux sorcières dont Wakefield et ses collègues ont fait l'objet.

 

Concernant la "saga Wakefield", nous invitons les lecteurs à lire ou relire notre article "Ethique vaccinale & prostitution de la Science" car cela fournit beaucoup d'explications déjà, aux multiples aberrations de cet article de La Croix.

 

callous-disregard-book.jpg

Dans le livre que Wakefield a écrit (et que le journaliste de la Croix n'a certainement pas lu!), "Callous Disregard", on peut notamment lire la préface du Dr Peter Fletcher qui est l'ex Directeur Médical et Scientifique en charge du Comité britannique de Sécurité des Médicaments. Dans cette préface, ce médecin explique noir sur blanc que si ça n'avait tenu qu'à sa décision, il aurait REFUSE d'approuver la mise sur le marché du vaccin ROR parce que les essais cliniques soumis par les fabricants portaient à la fois sur un nombre très insuffisant d'enfants mais aussi parce que ceux-ci étaient suivis sur un laps de temps beaucoup trop court. En d'autres mots, la sécurité de ce vaccin n'a pas été évaluée sérieusement du tout mais le journaliste du journal La Croix espérait peut-être qu'il suffisait de donner le micro au Pr Floret pour que nous prenions tous ses affirmations gratuites comme Parole d'Evangile.

 

Le Dr Fletcher est-il le seul à estimer que la sécurité de ce vaccin n'a pas été correctement évaluée? Non hélas...

 

En 2008 déjà, sur la chaîne CBS, le Dr Bernadine Healy, ancienne directrice du très célèbre National Institute of Health déclarait:  « On ne peut pas dire qu'il n'y a pas d'évidence causale entre l'autisme et les vaccins par exemple. Les officiels de santé ont trop vite écarté les hypothèses de causalité sans études scientifiques suffisantes pour examiner cette possibilité. Je pense qu'ils ont trop vite écarté des études de sécurité chez l'animal, chez les primates et même chez la souris qui démontrent certains soucis de sécurité pour certains vaccins. Un rapport de l'Institute of Médecine (IOM) datant de 2004 a dit "Ne creusez pas l'hypothèse d'une prédisposition/susceptibilité accrue aux effets secondaires des vaccins." La raison pour laquelle ils ont conclu ainsi c'est qu'ils craignaient que s'ils identifiaient ces groupes, qu'ils soient vastes ou non, cela effrayerait le public et le détournerait des vaccins. [...]C'est l'obligation de ceux qui délivrent ces vaccins de le faire d'une manière responsable. Je crois que vous ne pouvez pas tourner le dos à la démarche scientifique parce que vous avez tout simplement peur de ce que vous allez trouver. [...] » 

 

Aux USA, où les médias sont encore un petit peu plus libres qu'en francophonie, le débat fait rage. L'actrice Jenny Mc Carthy dont le fils est devenu autiste suite aux vaccins mais qu'elle a réussi à guérir avec l'approche (appelée "BioMed") s'apprête à participer à une émission sur la chaîne ABC en septembre pour évoquer le rôle causal des vaccins, une démarche qui n'est évidemment pas du goût des fanatiques des vaccins, comme le très célèbre Paul Offit, lié aux pharmas par de nombreux liens d'intérêt et qui n'avait pas hésité à déclarer par exemple qu'on pouvait vacciner sans problème les enfants avec 10 000 vaccins à la fois ou encore que "les vaccins sont la chose la plus sûre que nous puissions mettre dans nos organismes"! 

 

Toujours aux USA, plusieurs parlementaires se sont indignés de l'insouciance avec laquelle on prétend évaluer les vaccins, comme par exemple le député Bill Posey, qui a fait reconnaître aux officiels des Centres de Contrôle des Maladies (CDC) qu'ils n'avaient en fait JAMAIS comparé des enfants vaccinés à des enfants vierges de tout vaccin, un biais évidemment majeur dans la validité des études menées et pourtant érigées systématiquement en gage de sécurité absolue! Au contraire, les rares enquêtes et études indépendantes que des associations bénévoles ont mené de façon à comparer valablement des enfants vaccinés à des enfants jamais vaccinés, montre toutes que l'autisme est nettement moins fréquent, pour ne pas dire absent ou presque chez les enfants non vaccinés (cfr ici et ici notamment).

 

En fait, on procède toujours avec des biais. Par exemple, les officiels ont relativement  récemment conçu une étude biaisée dès le départ qui consiste à évaluer si les enfants autistes ont reçu plus d'antigènes vaccinaux que les autres enfants, une absurdité compte tenu que quasiment 100% des enfants reçoivent tous les vaccins du calendrier vaccinal! En outre, l'étude ne s'est focalisée que sur les antigènes alors que les vaccins ne sont jamais composés que des seuls antigènes mais aussi de toute une série d'additifs, de conservateurs, de métaux etc...

  

C'est important de comprendre et de rappeler qu'un mécanisme causal d'induction de l'autisme par les vaccins n'en exclut pas forcément un autre. Les vaccins contiennent un grand nombre de substances toxiques. Ils constituent un véritable court-circuitage du système immunitaire naturel qui prévoit des portes d'entrée très strictes pour l'entrée des microbes dans l'organisme que sont la peau et les muqueuses. Quiconque s'intéresse un peu à l'immunologie se rend vite compte que c'est là quelque chose de merveilleusement complexe et conçoit alors que le simplisme du vaccin artificiel qu'on injecte aveuglément et qui est du reste si mal évalué est tout à fait en mesure de déséquilibrer de multiples façons différentes ce fragile équilibre que constitue la santé!

 

JUDY-CONVERSE.jpg

C'est cette variété de mécanismes pathologiques possibles des vaccins, notamment en matière d'autisme, qui explique la pluralité d'études sur le sujet: certaines études comme celles des chercheurs américains Geier & Geier s'intéressent au rôle du mercure vaccinal, d'autres études, comme celle des chercheurs du MIT se focalise davantage sur le rôle néfaste de l'aluminium vaccinal (qui est neurotoxique), y compris dans l'induction de l'autisme. Le vaccin ROR n'est pas du tout le seul à même de déclencher l'autisme. C'est par exemple aussi le cas du vaccin contre l'hépatite B. Le livre de Judy Converse est tout entier consacré au lien entre autisme et vaccin anti-hépatite B. Une publication américaine a par exemple suivi des jeunes primates vaccinés le jour de leur naissance (comme ça se fait aux USA) avec un vaccin anti-hépatite B adjuvé de thimérosal (mercure) et ils ont pu constater que cette vaccination précoce provoquait des modifications neurologiques chez les jeunes singes, qu'ils perdaient précocément leurs réflexes de survie, etc

 

Dans les documents confidentiels que nous avons publiés sur ce site et qui ont notamment trait au vaccin "6 en un" Infanrix Hexa, GSK elle-même reprend l'autisme parmi la liste des effets secondaires inventoriés. Ce vaccin comprend notamment la valence anti-hépatite B.

 

La chercheuse indépendante Dr Hélène Ratajczak a par exemple aussi publié un papier intitulé "Theoretical Aspects of autism: causes- a review" dans le Journal of Immunotoxicology, en 2011.

 

L'autisme qui se produit après les vaccins est la forme d'autisme majoritaire, à savoir l'autisme régressif. Cette forme d'autisme se caractérise par une soudaine régression de l'enfant après un développement tout à fait normal. C'est souvent au Xième vaccin que la régression se produit, les parents pensant alors parfois au rôle vaccinal lorsqu'ils ont l'idée de comparer l'état de leur enfant par exemple sur des vidéos en fonction des diverses dates de vaccination inscrites dans le carnet médical.

  

Mais l'article comporte bien d'autres inepties, par exemple la "bouée de secours" des officiels qui n'ont plus aucun argument et qui essaient alors de s'en tirer en prétendant qu'une contestation sur tel ou tel aspect de la vaccination serait géographiquement limitée à tel ou tel pays! Prétendre que le problème de l'aluminium vaccinal est soi-disant strictement franco-français ressemble beaucoup aux bobards sur les effets secondaires strictement franco-français du vaccin anti-hépatite B et le fameux nuage de Tchernobyl qui s'arrêtait aussi soi-disant à la frontière. La réalité est que l'autisme lié au ROR et aussi à d'autres vaccins (le ROR n'est pas le seul à pouvoir engendrer l'autisme!) préoccupe des gens de tous les pays du monde. Idem pour les effets secondaires du vaccin anti-hépatite B qui préoccupent tout autant les anglo-saxons. L'aluminium vaccinal préoccupe tout autant des chercheurs canadiens qu'anglais ou français mais la stratégie des vaccinalistes en perdition consiste entre autres à essayer de diviser les gens pour retarder de quelques années cet éclatement programmé de la bulle vaccinale et c'est là juste une stratégie parmi beaucoup d'autres.

 

L'article donne par exemple aussi la parole à Daniel Floret pour critiquer les grandes revues qui seraient ainsi "coupables" d'avoir laissé passer la publication de Wakefield (co-signée par ailleurs par une dizaine d'autres scientifiques!)... un comble quand on sait que ces grandes revues, qui ont des partenariats avec de grands fabricants de vaccins, sont le lieu de prédilection des grandes firmes qui y font passer leurs études vaccinales pré-commercialisation avec une facilité déconcertante, quand il ne s'agit pas pour elles de faire passer tout aussi facilement des publications bidons rédigées par des "auteurs fantômes" et signées officiellement par des leaders d'opinion très connus.

 

Enfin, l'article essaie de mélanger la question des risques du vaccin avec le fait qu'un certain nombre de cas de rougeole se soient déclarés. 23 000 cas de rougeole et dix décès depuis 2008, sur une population comme celle de la France? Il fut un temps où le nombre de cas de rougeoles (et de décès) était largement plus important sans que cela ne fasse les gros titres des journaux et par ailleurs, il semble vraiment peu crédible qu'il n'y ait pas eu largement plus de décès et autres complications graves liées à ce vaccin ROR administré à plus de 90% de TOUS les enfants (mais au sujet desquels l'immense majorité des gens ne pensent jamais à faire le lien!). Voir notamment cet exemple attristant du petit Nello, victime grave du ROR.

 

En France, selon ce site, il y aurait 440 000 autistes soit l'équivalent de la ville de Lyon! Sur cet autre site, il est plutôt question de 640 000 autistes en France. 80% des enfants autistes ne sont pas scolarisés. S'occuper d'un enfant autiste peut coûter jusqu'à 4000 euros par mois, du moins pour ceux qui peuvent assumer ce genre de montants...  L'autisme était ainsi "grande cause nationale 2012" et pourtant, 1/3 des médecins ne savent pas ce que c'est l'autisme! Est-ce alors si étonnant si autant de praticiens ne savent même pas ce qu'est cette maladie, qu'ils soient encore davantage incapables de s'intéresser à ses véritables causes possibles?? Surtout que selon le rapport d'octobre 2012 de la Cour des Comptes, la vaccination représente respectivement 12,6% et 33% des revenus des médecins généralistes et des pédiatres, et encore, sans compter leurs suites (et donc les autres consultations médicales qui en découlent!).

 

Parmi les devoirs élémentaires de tout journaliste, tels que repris dans le Code de Déontologie énoncé par les syndicats européens, on retrouve l'obligation de "rectifier toute information publiée qui se trouve être inexacte."

 

Pierre Bienvault de la Croix qui a signé cet article affligeant et désinformateur en aura-t-il seulement le courage et la liberté de la part de sa rédaction? D'ores et déjà, nous prenons le parti de lui écrire de ce pas, pour lui faire part à posteriori de la solidité toute relative du papier qu'il a publié.

 

Copie du mail envoyé au journaliste Pierre Bienvault (Pour ceux qui veulent aussi réagir, la manière de contacter les journalistes est indiquée sur le site du journal La Croix):

 

Bonjour Monsieur,

 

Voici notre réponse détaillée à cet article qui a réussi à abasourdir plusieurs médecins et journalistes de notre entourage, de par sa partialité... "Le Mythe" du vaccin qui serait à l'origine de l'autisme"...

 

N'est-ce pas Edwy Plenel de Mediapart qui avait rappelé en pleine affaire Bettencourt en 2010 que les critères de "bonne foi journalistique" qui se trouvent au cœur de la jurisprudence du droit de la presse comprennent notamment le sérieux de l'enquête et le respect du contradictoire?!

 

Pourquoi n'avez-vous pas indiqué par exemple que le Pr Floret a qui vous donnez la parole est bourré de liens d'intérêts avec les pharmas?

 

Pourquoi avoir été aussi partial et inexact au point de ne parler que de la seule affaire Wakefield alors que bien d'autres scientifiques ont reproduit et confirmé ses résultats sans être pour autant victimes de la même chasse aux sorcières (c'était dans le Daily Mail depuis 2006, il s'agissait de savoir manier Google...)?

 

Pourquoi ne pas avoir non plus rappelé les propos accablants du Dr Healy, ancienne Directrice du prestigieux NIH (National Institute of Health) des USA qui déclarait très clairement sur CBS en 2008 que la question du lien entre vaccins et autisme n'était toujours pas résolue, qu'elle n'avait pas été proprement investiguée en raison des craintes irrationnelles de l'establishment que les gens puissent se détourner des vaccins. Elle déclarait d'ailleurs aussi toute sa déception qu'on sacrifie des enfants plus fragiles au lieu de leur éviter une vaccination délétère, tout comme elle disait aussi sa déception d'une Science qui s'empêche d'évaluer ce qu'elle a tout simplement peur de trouver?

 

Combien d'enfants pourraient devenir autistes parce que leurs parents auront été rassurés à tort par des articles désinformateurs comme le vôtre?

 

En espérant que vous ferez mieux la prochaine fois. La santé des enfants le mérite, nous en sommes vraiment persuadées!

 

Bien à vous,

 

Pour Initiative Citoyenne,

 

Sophie Meulemans, Muriel Desclée, Marie-Rose Cavalier.

 

 

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11 août 2013 7 11 /08 /août /2013 15:10

La responsabilité des médias nous paraît ECRASANTE.

 

Lorsque ces médias grand public choisissent de ne donner la parole toujours qu'aux mêmes, c'est un CHOIX qu'ils opèrent.

 

Lorsque ces médias osent timidement ouvrir leurs plateaux à quelques voix dissidentes, et que celles-ci apportent DES PREUVES des mensonges officiels rabâchés sur leurs antennes des décennies durant, elles ont aussi un CHOIX: celui de la cohérence et de l'honnêteté intellectuelle ou celui d'une certaine schizophrénie qui sera de plus en plus sanctionnée au fil du temps par les téléspectateurs.

 

Nous souhaitions partager avec vous un exemple trop flagrant pour ne pas être commenté.

 

Le jeudi 8 août dernier, France 2 diffusait des propos FAUSSEMENT RASSURANTS sur l'aluminium des vaccins, suite au rapport absolument non crédible du Haut Conseil de Santé Publique (l'association E3M a d'ailleurs très bien débusqué toutes les inepties de ce rapport).

 

Voici ce que disait le reportage diffusé par France 2:

 

France-2--A-.JPG

C’est une question que de nombreuses mamans se posent depuis une quinzaine d’années :   l’aluminium des vaccins est-il dangereux ?

 

Un rapport remis au Ministre de la Santé est rassurant. Il affirme qu’il n’y a aucun lien entre l’usage de cet adjuvant et les troubles pour la santé.

 

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Simon Ricotier: C’est une polémique vieille de 15 ans. L’aluminium utilisé comme adjuvant dans certains vaccins est-il nocif ? La conclusion du Haut Conseil de la Santé Publique est sans appel : NON, répondent les experts dans un rapport remis à la Ministre de la Santé et consulté par Le Figaro.

 

 

France-2--C-.JPG

Selon le Haut Conseil, les données scientifiques disponibles à ce jour, ne permettent pas de remettre en cause la sécurité des vaccins au regard de leur balance bénéfices / risques. Car des risques, il y en a, des lésions locales notamment relevées au niveau de l’épaule, là où l’aiguille est plantée, mais rien de dangereux pour la santé, surtout pas comme cela a été évoqué, de risques de contagion au cerveau. Les vaccins concernés, à savoir le DT Polio, les vaccins contre les hépatites A et B et le papillomavirus, contiennent tous un adjuvant à base d’aluminium, mais aucun ne présente à priori de risque sanitaire.

 

Ce reportage est en fait d'autant plus choquant (et hypocrite) que la même chaîne avait pourtant déjà diffusé des reportages et émissions évoquant clairement le caractère dangereux, neurotoxique et même cancérigène de l'aluminium vaccinal!!!!

 

Voici par exemple un extrait de l'émission C'est au Programme diffusé le 5 décembre 2012 sur France 2:

 

 
Voici maintenant un extrait de JT que France 3 ( c'est le même groupe de France Télévisions) diffusait le 13 juin dernier... écoutez bien la journaliste!
 
 

Il est assez logique de penser que "des ordres" ou consignes aient pu être donnés entretemps. Bien que le Journal belge Vers l'Avenir ait fait sa une en décembre 2012 au sujet des documents confidentiels de GSK sur l'Infanrix hexa, qui révélait par exemple l'ampleur des risques de ce vaccin qui a déjà tué et estropié des centaines d'enfants, cela ne l'a pas empêché de faire aussi sa une quelques mois plus tard à l'occasion de la sacrosainte "Semaine Européenne de la Vaccination" instaurée par l'OMS et qui constitue toujours une occasion de propagande forcée et automatique en faveur des intouchables vaccins dont il s'agit de faire lustrer le portrait!

 

Le véritable travail journalistique n'est plus vraiment mené, comme nous avons déjà plus d'une fois expliqué sur ce site. L'ampleur de la documentation disponible sur ce site le montre d'ailleurs, les journalistes n'ayant ni le temps NI LA LIBERTE de traiter ces sujets avec rigueur et objectivité. En lieu et place, c'est à une sorte de travail de recopiage brut des dépêches de Belga ou  de l'AFP que se livrent les journalistes des rédactions, ne pouvant s'essayer à un travail d'analyse et de recoupement des dires des uns et des autres sur les vaccins...

 

Par exemple, si un véritable travail journalistique avait été mené à l'occasion du rapport du Haut Conseil de Santé Publique sur l'aluminium, il aurait alors été incontournable en termes de déontologie, de détailler aux téléspectateurs QUI (QUELS experts?) se cachent inlassablement et trop confortablement derrière ce sigle de HCSP et quels sont leurs conflits d'intérêts. Parce que le fait est que la moitié de ces "experts" ont des liens d'intérêts avec les fabricants dont la majorité des vaccins contiennent un adjuvant à base d'aluminium. Nul doute que ces gens auront tôt ou tard à rendre des comptes et que la postérité devra retenir sa lourde responsabilité dans l'hypothèque regrettable de la santé de MILLIONS d'individus.

 

Voici la liste de tous ces experts dont la moitié sont en conflits d'intérêts et qui préfèrent sans nul doute rester à l'ombre du sigle HCSP plutôt que la mise en lumière sur le présent site...

 

Brigitte AUTRAN, HCSP-CTV

Jean BEYTOUT, HCSP-CTV

Daniel FLORET, HCSP-CTV

Alexis JACQUET, ANSM

Jean-Louis KOECK, Service de santé des Armées

Daniel LEVY-BRUHL, InVS

Isabelle MORER, ANSM

Henri PARTOUCHE, HCSP-CTV

Corinne LE GOASTER, SG-HCSP

Odile LAUNAY, HCSP-CTV

Didier TORNY, HCSP-CTV

 

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10 août 2013 6 10 /08 /août /2013 15:15

Jenny McCarthy, victime d’une chasse aux sorcières 

parce qu’elle parle des vaccins ?

 

Par B. Loe Fisher,

Présidente du « National Vaccine Information Center » (NVIC)

 

Barbara L.F. août 2013

 

(Extraits) La chasse aux sorcières à l’encontre de Jenny MacCarthy pour l’empêcher de parler des vaccins au cours d’une prochaine émission télévisée « The View » de la chaîne ABC semble aussi être un appel à museler les mères dont les enfants ont été victimes des vaccinations, comme ce fut le cas pour le fils de l’actrice.

 

Parmi les critiques opposés à la participation de Jenny McCarthy à l’émission télévisée, les hommes étaient plus nombreux que les femmes à penser que les mères ne devraient pas être autorisées à parler des vaccinations en public à moins que leur script soit approuvé par un médecin (MD) ou un PhD (titulaire d’un doctorat).

 

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Les hurlements d’indignation ont dégénéré lorsque les producteurs de l’émission n’ont pas bronché face aux critiques. Des médias ne se sont pas gênés pour ridiculiser l’intelligence, les valeurs et les croyances des mères comme Jenny McCarthy qui, un jour, se sont décidées à prendre les choses en main quand leur enfant, qui avait toujours été en excellente santé auparavant, a soudain développé des troubles cérébraux ou du système immunitaire après la vaccination.

 

Les médecins ne sachant, ou ne pouvant expliquer ce qui se passait dans ces cas, leur ont attribué l’étiquette d’ « autisme » tout en mettant le problème sur le compte de « coïncidences » ou de mauvais gènes [22], [23]

 

Pourtant, un siècle de littérature médicale nous montre cependant que les vaccins sont bel et bien susceptibles d’engendrer pareils troubles :

 

  • Inflammation du cerveau
  • Dysfonctionnement chronique du système nerveux
  • Crises d’épilepsies
  • Arthrite
  • Infections virales dues à la souche vaccinale
  • Etat de choc
  • Pleurs prolongées et inconsolables
  • Décès.

 

Le fait incontestable que les vaccins peuvent produire pareilles réactions a été reconnu par l’Institut de Médecine (IOM) entre 1991 et 2013 [25], 26], [27], [28].

 

Le dernier de ces articles ayant fait remarquer qu’il n’existait pas de preuves suffisantes pour pouvoir déterminer si le programme actuel recommandé de 49 doses de 14 vaccins entre la naissance et l’âge de 6 ans est ou n’était pas associé au développement de toute une série de problèmes de santé chez les enfants, comme les maladies auto-immunes, les allergies, l’asthme, l’hyperactivité avec déficit de l’attention, les difficultés d’apprentissage et aussi… l’autisme. [30], [31, [32].

 

Le fait incontestable que les vaccins peuvent provoquer des dommages à la santé [33] et que les médecins ne savent toujours pas déterminer quels sont les individus qui sont biologiquement le plus susceptibles de souffrir d’effets secondaires des vaccins [33] a été codifié par le Congrès dans la loi appelée « National Childhood Vaccine Injury Act » de 1986 [34].

 

C’est cette loi qui a permis de verser 2,7 milliards de dollars en dédommagement aux victimes de vaccins et cela, en échange de l’impunité juridique des compagnies pharmaceutiques et des médecins vaccinateurs. [36], [37].

 

Comme l’échec des vaccinations parmi des populations d’enfants hyper vaccinés a joué un grand rôle dans les épidémies de coqueluche [37[, [38], on pourrait se demander si tout le battage médiatique déployé au sujet de Jenny McCarthy ne pourrait en fait pas représenter une manœuvre de diversion, une manière comme une autre de brouiller les pistes (et de gagner du temps ?)

 

Mais il faudra encore beaucoup plus de manœuvres de diversion pour distraire des millions de parents, et les empêcher de parler, comme de demander pourquoi aux Etats-Unis, 1 enfant sur 6 connaît des difficultés d’apprentissage [39], 1 enfant sur 9 souffre d’asthme [40], 1 enfant sur 50 est atteint d’autisme [41], ou pourquoi on n’a jamais mis sur pied une vaste étude qui aurait permis de comparer l’état de santé des enfants hyper vaccinés à celui d’enfants non ou peu vaccinés. [42]

 

Références

 

1   ABC. Jenny McCarthy Joins ‘The View’ As Co-Host Announcement. July 15, 2013

2   NVIC-Selected Mainstream Media Coverage of ABC TV’s Hiring of Jenny McCarthy for “The View” from July 9, 2013 to July 18, 2013. NVIC.org July 24, 2013

3   Felix Gillette. Putting Jenny McCarthy on ‘The View’ – Good Sex Over Bad Science. Businessweek July  18, 2013. Felix Gillette BIO

4   Tim Molloy. ‘View’ Host Jenny McCarthy’s Vaccine-Autism Claims: Beauty Versus Science. Reuters July 16, 2013. Tim Molloy BIO

5   Seth Mnookin. A Jenny McCarthy Reader Pt. 1: The Birth of a Star and an Embrace of ‘Crystal Children.’ PLOS.org July 15, 2013. Seth Mnookin BIO

6   Michael Specter. Jenny McCarthy’s Dangerous Views. New Yorker July 16, 2013. Michael Specter BIO

7   Alex Parene. Dear ABC: Putting Jenny McCarthy on ‘The View’ Will Kill Children. Salon.com July 16, 2013. Alex Pareene BIO

8   James Poniewozik. Viruses Don’t Care About Your View: Why ABC Shouldn’t Have Hired Jenny McCarthy. Time Magazine July 15, 2013. James Poniewozik BIO

9   David Kroll. Jenny McCarthy Is A Dangerous Example of Medical Celebrity. Forbes July 16, 2013. David Kroll BIO

10   Meredith Blake. Jenny McCarthy’s Hiring As ‘View’ Co-Host Is Matter of Contention. Los Angeles Times July 16, 2013. Meredith Blake BIO

11   Phil Plait. The View of Jenny McCarthy. Slate July 9, 2013. Phil Plait BIO

12   See ref 7

13   Jenny McCarthy. Louder Than Words: A Mother’s Journey in Healing Autism. Dutton: The Penguin Group 2007

14   Mary Elizabeth Williams. Don’t Put Jenny McCarthy on ‘The View.’ Salon.com July 11, 2013. Mary Elizabeth Williams BIO

15   Alexandra Petri. Jenny McCarthy on ‘The View’ – Not the Medically Correct View, Just the View. Washington Post July 15, 2013. Alexandra Petri BIO

16   Margaret Sullivan. Just the Facts, No False Balance Wanted Here. New York Times July 17, 2013. Margaret Sullivan BIO

17   Paul Thornton. Jenny McCarthy – Dangerous At Any Volume. Los Angeles Times July 16, 2013. Paul Thornton BIO

18   Brendan Nyhan. When ‘He Said,’ ‘She Said’ is Dangerous. Columbia Journalism Review July 16, 2013. Brendan Nyhan BIO

19   See References #6 and #9

20   See ref 7

21   Claire McCarthy, M.D. ABC’s Hiring of Jenny McCarthy: A Decision That Could Cost Lives. Boston  Globe July 16, 2013. Claire McCarthy BIO

22   David M. Perry. Destabilizing the Jenny McCarthy Public Health Industrial Complex. Atlantic Monthly July 11, 2013. And David M. Perry. Jenny McCarthy

23   Harold Maass. Jenny McCarthy, The View and Anti-Vaccination Quackery. The Week July 16, 2013. Harold Maass BIO

24   See References #5, #6, #8, #9, and #14

25   Institute of Medicine Vaccine Safety Committee. Adverse Effects of Pertussis and Rubella Vaccines.  Washington, DC. The National Academies Press. 1991

26   Institute of Medicine Vaccine Safety Committee. Adverse Events Association with Childhood Vaccines: Evidence Bearing on Causality. Neurologic Disorder

27   Institute of Medicine. DPT Vaccine and Chronic Nervous System Dysfunction: A New Analysis. Washington, D.C. The National Academies Press 1994

28   Institute of Medicine Committee to Review Adverse Effects of Vaccines. Adverse Effects of Vaccines: Evidence and Causality. Washington, DC

29   Centers for Disease Control. Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) Recommended Immunization Schedule for Persons Aged 0 Through 18 Years

30   Businesswire. National Vaccine Information Center Supports Three of Five Recommendations of New IOM Report on US Childhood Immunization Schedule

31   The Childhood Immunization Schedule and Safety: Stakeholder Concerns, Scientific Evidence and Future Studies

32   Ibid. Review of Scientific Findings. Chapter 5: Pages 69 - 88

33   Ibid. Evaluating Biological Mechanisms of Adverse Events. Chapter 3: Page 82

34   NVIC.org. National Childhood Vaccine Injury Act of 1986

35  Health Resources Services Administration. National Vaccine Injury Compensation Program Statistics Report. June 26, 2013

36 National Vaccine Information Center Cites ‘Betrayal’ of Consumers by U.S. Supreme Court Giving Total Liability Shield to Big Pharma

37 Kane J. Whooping cough Outbreak: Top 10 Things You Should Know - #6 Vaccine Refusals and Disease Importations Are Not to Blame for Outbreaks

38 Liz Szabo. US Whooping cough may be becoming resistant to vaccines. USA Today Feb. 18, 2013

39 Boyle CA, Boulet S et al. Trends in the Prevalence of Developmental Disabilities in US Children 1997 – 2008

40 CDC. Asthma in the U.S.: Growing Every Year

41 Changes in Prevalence of Parent-reported Autism Spectrum Disorder in School-aged U.S. Children: 2007 to 2011-2013

42 The Safety of the Childhood Vaccine Schedule: A Public Perspective

43 See References #7, #16, #18

44 See Reference #2

45 Coulter HL, Fisher BL. DPT: A Shot in the Dark. Harcourt Brace Jovanovich 1985 (Warner 1986, Avery 1991, Penguin - current)

46 Jonathan Berr. How Autism Can Cost Families Millions. MSN Money Mar. 25, 2013

 

Extrait de l’intervention de Barbara Loe Fisher : « The Witch Hunt of Jenny McCarthy for Talking About Vaccines”(Site du Dr Joseph Mercola)

 

Source: site du Dr Mercola

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4 août 2013 7 04 /08 /août /2013 14:15

Voici un article très intéressant de novembre dernier, qui fut publié sur le site du journaliste indépendant Jean-Luc Martin Lagardette... il concerne une fois encore la partialité saisissante des grands médias qui ne cessent de désinformer les gens. 

 

1/11/12

 

Pour Sciences & Avenir, l’ouverture d’esprit est un “risque de dérive sectaire”

 

C’est du moins ce que semble penser Olivier Hertel, journaliste “scientifique” à Science & Avenir de novembre 2012. Il y présente son enquête, intitulée, en couverture du magazine, “Les sectes entrent à l’hôpital”. Et dans le corps du texte, il prétend apporter “les preuves des risques de dérives sectaires” causées par la présence de “médecines parallèles à l’hôpital”.


Le lecteur aura beau chercher : nulle trace de la moindre “secte” mais des méthodes thérapeutiques complémentaires, innovantes ou traditionnelles, mais “non validées scientifiquement”. C’est cela que le journaliste “scientifique” nomme “secte”.


Le terme de “secte”, pourtant, n’a aucune valeur juridique ni même scientifique, du moins dans le sens dans lequel il emploie ce mot, c’est-à-dire mouvement coercitif à visée mafieuse.


O. Hertel n’apporte pas des “preuves” de dérives sectaires, mais des “preuves des risques de dérives sectaires”. La nuance semble faible mais elle est capitale. En effet, elle permet à tous les adversaires des médecines non conventionnelles d’agiter le drapeau rouge pour effrayer le bon peuple et favoriser des mesures de répression sans avoir besoin de s’appuyer sur des faits avérés, ni encore moins de réels dommages. Non, il suffit de dire qu’il y a des “risques” pour être entendu.

Bien sûr, on ne peut nier l’existence de dérives entraînant des pertes de chance pour les malades ou des dégâts réels dans ces pratiques. Mais elles sont exceptionnelles : quelques affaires par an. En comparaison, les dégâts causés, eux, chaque année par la médecine “officielle”, par l’usage des médicaments “normaux” (et normés !) et par les pratiques médicales iatrogènes, s’élèvent à plus de 34 000 morts ! Ajoutons à cela les effets délétères de l’abus des prescriptions d´antidépresseurs et autres psychotropes...

Mais, dans cette affaire, il y a deux poids, deux mesures. Si vous êtes médecin de médecine “officielle” et que vos malades meurent dans vos bras, vous avez la bénédiction des autorités. Les 145 000 morts par le cancer chaque année sont désormais un chiffre statistique qui ne fait pas scandale.


En revanche, si vous pratiquez une médecine douce non validée par les autorités, vous risquez la radiation et l’opprobre national, même si aucun malade ne s’est plaint ! Normal, vous rentrez dans la catégorie des “risques” dits sectaires…


Combler les manques de la médecine classique


Le journaliste de Sciences (!) & Avenir prétend démasquer les “sectes” s’infiltrant dans les hôpitaux et les institutions médicales : reiki, réflexologie plantaire, méthode Louise Bourbeau, sophrologie, traitement Burzinski, compléments alimentaires à base d’algues, fasciathérapie, médecine chamanique, etc.


Si des hôpitaux accueillent, très parcimonieusement d’ailleurs, ces médecines douces, ce n’est pas parce qu’ils sont “infiltrés” par des “sectes”, comme veut le faire croire Sciences (!) & Avenir. Ils le font en connaissance de cause et parce qu’il faut bien apporter des réponses aux douloureux manques de la médecine classique. Ils le font avec responsabilité et parce qu’ils ont l’esprit ouvert.


Il est vrai que les autorités ont longtemps failli en laissant s’épanouir cette multitude d’approches sans les encadrer un minimum. Aujourd’hui, et la presse avec elles, elles surréagissent, les accusant d’être des “sectes” pour justifier leur répression voire leur interdiction.


Mieux vaudrait, comme le propose d’ailleurs le Centre d´analyse stratégique (CAS) dans sa récente note sur “Quelle réponse des pouvoirs publics à l’engouement pour les médecines non conventionnelles ?”, créer un label pour ces approches nouvelles.

Le CAS comme la Miviludes sont rattachés aux services du premier ministre. Le premier n’est qu’un organe consultatif, la seconde milite dans toutes les administrations et dans les enceintes parlementaires pour diffuser sa vision des choses. Vu la psychose anti-sectes entretenue en France depuis des lustres, nul doute que c’est la vision “dure” de la Miviludes qui l’emportera…

Jean-Luc Martin-Lagardette

 

Source : site de Jean-Luc Martin Lagardette

 

Commentaire d'Initiative Citoyenne:

 

Cet Olivier Hertel (qui fait décidément feu de tout bois!) nous a fait penser au « journaliste scientifique » belge Frédéric Soumois (du Journal Le Soir), qui lui aussi est dans le deux poids deux mesures, toujours en faveur des pratiques officielles et de Big Pharma. Mr Soumois relayait par exemple SANS PREUVES le discours officiel selon lequel il n’y aurait soi-disant aucun risque de vacciner les femmes enceintes (ben voyons…). Son manque d’objectivité certaine n’avait même pas été sanctionné par le très complaisant Centre de Déontologie Journalistique (CDJ) !



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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 21:30

La revue médicale Prescrire est favorable au vaccin anti-HPV : face à une protestation, elle admet des incertitudes, mais… maintient sa position. Un autre article de la revue en juillet reprend le classique Primum non nocere (D’abord ne pas nuire)

 

Au vu de la masse importante de données accablantes en défaveur des vaccins Gardasil et Cervarix, pourvoyeurs d'un nombre alarmant d'effets secondaires et de décès, nous estimons que cette revue qui se présente comme indépendante, va y perdre des plumes.

 

Mais il faut dire que la position de cette revue sur un vaccin aussi délétère que le vaccin anti-hépatite B était déjà peu courageuse. En médecine, il ne faut pas oublier que les vaccins sont LE tabou des tabous. Par conséquent, sonner le tocsin sur le Mediator était beaucoup moins politiquement incorrect que lever le voile sur le scandale de nettement plus grande ampleur des vaccins.

 

Pour se faire sa propre opinion, nous proposons notamment, de façon non exhaustive, la visite des articles et catégories suivantes:

 

Vaccins anti-HPV: rapport bénéfices/risques défavorable (Annals of Medicine)

 

Catégorie de notre site sur les vaccins anti-HPV

 

Un article de mise au point sur les risques établis du vaccin anti-hépatite B

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5 juillet 2013 5 05 /07 /juillet /2013 20:55

Emission télévisée VTM : VACCINER OU NON ?

 

D’après Rob, ‘t Prikje, Juin 2013

 

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Certains d’entre vous m’ont peut-être vu avec Zoé dans l’émission télévisée « Telefacts » sur la vaccination du 5 février 2013. Plusieurs personnes m’ont fait connaître leurs réactions : elles regrettaient que l’émission n’ait pas été neutre et surtout équilibrée. J’ai eu personnellement le même avis. Ce fut en fait un parfait échantillon de manipulation et de désinformation des téléspectateurs. Bien que j’aie eu l’occasion de m’entretenir pendant plus d’une heure avec les journalistes et malgré leur promesse de faire « un reportage équilibré », nous avons eu droit à des demi-vérités, ainsi qu’à une série de purs mensonges. Je dois vous dire avoir été très déçu de ce manque d’honnêteté des personnes qui ont réalisé cette émission.

 

Quelques mensonges

 

Le professeur Van Damme déclare que les « vaccins sont sans risques ». Voilà le mensonge le plus hallucinant de ce reportage !

 

« Sans risques » : même les fabricants ne le prétendent pas ! Dans un rapport de la firme GSK, on peut, en résumé, trouver ceci : « entre octobre 2009 et octobre 2011, environ 1750 effets secondaires de notre vaccin Infanrix Hexa ont été rapportés, parmi lesquels on trouve 36 décès ».L’Infanrix Hexa (6 vaccins en un) est celui que les enfants de deux mois reçoivent normalement en Belgique et ailleurs. Il s’agissait ici d’un rapport confidentiel destiné aux autorités sanitaires mais pas au grand public.

 

« Ont été rapportés » : donc, comme on sait que seuls 1 à 10% des effets secondaires sont officiellement rapportés (***), selon un calcul rapide, le nombre total de décès se situerait entre 200 et 2.000, et le nombre total d’effets secondaires entre 8.000 et 80.000 ; et ce, pour ce seul vaccin combiné !

 

Les journalistes de VTM savaient la chose; je le leur avais précisé au cours de notre entretien et donné le lien vers le document confidentiel de GSK.

 

Comment est-il donc possible que ces journalistes ont, sans broncher, permis au Pr Van Damme de prétendre que ces vaccins étaient « sans risques ». Comment est-il possible que les médias soient à ce point « corrompus » ?...

 

Une étude de fin 2011 compare 34 pays développés et conclut : au plus on vaccine dans un pays, au plus la mortalité infantile de ce pays augmente. Les chercheurs ont, d’une manière très claire, mis en valeur le parallélisme entre le nombre de vaccins administrés et le nombre de décès. – La chose n’est-elle pas incroyable ?

 

Pour les détails : https://pdfzen.com/2522fe ou  https://pdfzen.com/4ee347

 

En bref : mortalité infantile :

 

3,36/1000 dans les pays qui administrent de 12 – 14 vaccins aux bébés

3,89/1000                                                        15 -  17

4,28/1000                                                        18 -  20

4,97/1000                                                        21 -  23

5,19/1000                                                        24 -  26

 

Conclusion des chercheurs : une bonne partie de la mortalité infantile est peut-être due à la vaccination. Mais, dans les statistiques, cette conclusion reste camouflée sous d’autres appellations, comme par exemple la « mort subite du nourrisson ».

 

Pourquoi ce professeur aurait-il des raisons de mentir ?

 

J’étais déjà quelque peu au courant que notre professeur Van Damme n’était pas à un mensonge près, vu que ses dernières interventions dans les médias étaient parsemées d’erreurs, d’inexactitudes assez faciles à déceler pour une personne qui a déjà creusé certains sujets.

 

Aujourd’hui je comprends mieux le pourquoi : mercredi dernier, j’ai appris par des connaissances que son Centre de Recherches était en grande partie financé par GSK et autres firmes pharmaceutiques.

 

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Ne me croyez pas

 

Mon conseil est donc de ne plus jamais croire ces professeurs. Je vous demande également de ne pas me croire. Mais, si le sujet vous intéresse, lisez et renseignez-vous. Selon mon expérience, c’est la seule manière de savoir ce qu’il en est effectivement. Pour un excellent départ, vous avez le merveilleux site d’une maman néerlandaise qui en sait encore beaucoup plus que moi : www.vaccinvrij.nl

 

Personnellement vous pourrez trouver mes écrits aux adresses suivantes : https://pdfzen.com/2522fe  et https://pdfzen.com/4ee347

 

Revirement d’opinion

 

Comme je l’ai déjà dit, j’étais en colère et choqué à la suite de ce reportage. Mais aujourd’hui, j’y vois malgré tout un aspect positif, car, comme me l’a écrit un ami : le revirement d’opinion sur la vaccination a commencé – parce qu’autrement ils n’auraient jamais fait pareil reportage. »

 

En d’autres mots, de plus en plus de gens commencent à prendre conscience des mensonges que nous font gober les médias (et les autorités), et des discours comme ceux du professeur Van Damme ressemblent plus à des derniers soubresauts d’agonie ou à des combats d’arrière garde destinés à faire peur aux gens ou à les rendre fous. J’espère que ce ne sera pas le cas pour vous !!

 

Pour papa Rob en tout cas pas !!

 

Rob

 

(***) - David A. Kessler, M.D. JAMA, June 2, 1993, V.269, n°21 p. 2765

 

Seul environ 1% des réactions graves (des médicaments) sont rapportées à la FDA

 

- Hazell,L., Shakir SA :Drug Saf. 2006;29:385-96

 

“La déclaration spontanée est loin d’être exhaustive, puisqu’on estime que seuls 1 à 10% des EI graves sont notifiés.”

 

‘t Prikje , Juin 2013

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1 juillet 2013 1 01 /07 /juillet /2013 19:17

Martine-Perez.JPG

Sachez-le car cette info vous sera très utile: c'est toujours quand un ou des vaccins sont le plus en perte de vitesse (cfr notamment la situation de crise au Japon) que vous pouvez vous attendre à la sortie d'études "de sauvetage" qui vont vanter les bénéfices, dire combien ces vaccins ont déjà réussi et sont efficaces, etc etc. C'est le coup classique.

 

Le 25 juin dernier, le Figaro publiait ainsi sous la plume de la journaliste-médecin Martine Perez un article intitulé "Papillomavirus: le vaccin réduit le risque d'infection." qui était consacré aux résultats d'une nouvelle étude attestant une baisse de 50% des infections après vaccination.

 

A une époque, on nous avait aussi sorti les belles statistiques australiennes attestant soi-disant de la grande efficacité des vaccins anti-HPV. Sauf qu'en 2007 par exemple, le Gardasil était responsable de 50% de TOUS les effets secondaires de médicaments utilisés dans ce pays.

 

L'an passé, la presse a aussi trompété sur les résultats soi-disant encourageants de la publication de Kahn et al. dans Pediatrics, selon laquelle la vaccination HPV protégerait aussi les non vaccinées. Sauf que là encore la presse a été terriblement partiale, sans jamais indiquer les autres résultats dérangeants de cette même étude de Khan qui montraient aussi une hausse globale des autres types de papillomavirus à haut risque (non inclus dans ces vaccins) une hausse qui était d'ailleurs plus importante chez les vaccinées, preuve d'un effet pervers non clairement signalé et explicité aux jeunes filles AVANT leur vaccination.

 

A ce stade, aucune réduction du moindre cancer déclaré n'a encore pu être constatée. D'ici à ce que cela soit vérifiable, c'est à dire d'ici une bonne quinzaine d'années au moins, on risque même de constater l'inverse vu que les souches de papillomavirus non incluses dans ces vaccins risquent bien de "reprendre le dessus" (comme ça a déjà par exemple été constaté avec les pneumocoques). C'est d'ailleurs si probable que Merck, le fabricant du Gardasil, travaille déjà depuis tout un temps sur un nouveau vaccin anti-HPV... c'est vraiment à se demander pourquoi si ce vaccin est aussi efficace que ce qu'on peut lire dans l'article de Martine Perez!

 

Mais ici, cette fois, que constate-t-on, quelle affreuse partialité nous a-t-on surtout offert en cadeau? Rien de moins que l'affirmation sous forme de sous-titre (au sujet de ces vaccins anti-HPV): "AUCUN EFFET INDESIRABLE MAJEUR"!!

 

On croit vraiment rêver. Que ce soit le rêve (idéologique) des autorités qui sont obligées de constater que ces vaccins rebutent de plus en plus et qui souhaitent cependant continuer à les fourguer est une chose, mais qu'une journaliste (médecin de surcroît) se fasse complice d'une telle affirmation contraire aux signalements de pharmacovigilance et même contraire à la notice de ces vaccins, dépasse vraiment l'entendement. Cela montre toute la crédibilité de ces médias grand public, encore plus quand il s'agit de vaccins. Cela montre aussi que le rôle des journalistes sous peine de ne plus être payés, se borne de plus en plus à un travail de recopiage plutôt qu'à un travail réel de recoupements et d'investigations.

 

« À ce jour, aucun effet indésirable majeur lié ce vaccin n'a été identifié, alors que 56 millions de doses ont été utilisées dans le monde. »

 

Comment Mme Perez explique-t-elle alors que les autorités américaines ont déjà déboursé près de 6 millions de dollars pour indemniser une petite cinquantaine de plaignants dont les proches de deux jeunes filles décédées après cette vaccination?

 

Oserait-elle expliquer à chaque fois par le hasard les plus de 136 décès et plus de 30 000 effets secondaires dont de trop nombreuses hospitalisations et séquelles graves, survenus après ces vaccinations par Gardasil et Cervarix depuis 2006?

 

A un moment donné, il faut regarder la vérité en face et tout simplement respecter le lecteur et son droit à un travail honnête d'information et de vérification des sources. Mme Perez ferait bien de s'en souvenir car sa crédibilité vient d'en prendre un très gros coup.

 

Voir aussi ici :

 

un autre exemple de travail journalistique bâclé au sujet d'un futur vaccin.



un article qui explique plusieurs dangers objectifs et irréfutables de ces vaccins



Deux témoignages (parmi beaucoup d'autres) de victimes de ces vaccins [ICI et ICI]

 

En France aussi des maladies neurologiques et invalidantes après ces vaccins!

 

Médecins hors la loi, médias complices?

 

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 22:01

Médecins hors la loi, médias complices ?

 

Le 4 juin dernier, les sites du Nouvel Observateur et d'Atlantico publiaient un article sur le lien entre le cancer de la gorge de l'acteur Michael Douglas et les papillomavirus (HPV), en donnant unilatéralement la parole au Dr Joseph Monsonego. Ce gynécologue y regrettait même que cette vaccination controversée ne soit toujours pas recommandée aux garçons dans nos pays. Dans ces articles cependant, on ne trouvait aucune mention des conflits d'intérêts pourtant avérés de cet expert avec les fabricants de vaccin HPV, contrairement à ce que l'article 26 de la loi Kouchner du 4 mars 2002 impose aux professionnels de santé qui s'expriment dans les médias.

 

C'est dans ce contexte où il y a lieu de s'interroger sur la complicité des médias, que plusieurs citoyens, médecins et parents de victimes de vaccins ont décidé de rédiger une lettre commune de protestation. Une autre lettre commune a aussi été envoyée au Conseil Départemental de l'Ordre des Médecins de la Ville de Paris pour réclamer la sanction du médecin fautif.

 

La loi du 4 mars 2002 relative aux « droits des malades et à la qualité du système de santé » oblige les médecins à faire état de leurs liens d’intérêts et cela à l’occasion de chaque manifestation publique : « Les membres des professions médicales qui ont des liens avec des entreprises et établissements produisant ou exploitant des produits de santé ou des organismes de conseil intervenant sur ces produits sont tenus de les faire connaître au public lorsqu'ils s'expriment lors d'une manifestation publique ou dans la presse écrite ou audiovisuelle sur de tels produits

 

Cet article de loi stipule également que « les conditions d'application (…) sont fixées par décret en Conseil d'Etat. »

 

C’est finalement le 25 mars 2007, cinq ans après la promulgation de la loi sur la transparence de l’information médicale et suite à une plainte, que paraît le décret précisant les modalités de déclarations des liens d’intérêts :

 

« L'information du public sur l'existence de liens directs ou indirects entre les professionnels de santé et des entreprises ou établissements mentionnés à l'article L 4113-13 est faite, à l'occasion de la présentation de ce professionnel, soit de façon écrite lorsqu'il s'agit d'un article destiné à la presse écrite ou diffusé sur internet, soit de façon écrite ou orale au début de son intervention, lorsqu'il s'agit d'une manifestation publique ou d'une communication réalisée pour la presse audiovisuelle. »

 

Hélas, comme le détaille l'UFC Que Choisir, cette loi n'est toujours pas appliquée...

 

Faut-il pour autant se résigner ? Prendre cela comme une fatalité ?

 

NON selon un collectif de citoyens déterminés, parmi lesquels des médecins, et des parents d'enfants victimes de divers vaccins.

 

A nos yeux, seule l'action citoyenne permettra d'éviter les dérives les plus graves. Or il est hélas évident que les médias ont un rôle central dans ces dérives. Ils les rendent en général possibles en ne faisant pas suffisamment preuve d'objectivité et/ou en n'alertant le public que trop tardivement après un danger donné.

 

A l'heure où le Japon vient pourtant de cesser de recommander ces vaccins et où certains médias font mine de façon affligeante de s'étonner d'une telle décision, il est bon de s'interroger sur la légitimité d'une sorte de publicité déguisée en faveur des vaccins HPV en perte de vitesse.

 

Les médias doivent selon nous respecter des exigences éthiques et déontologiques. Ils doivent pouvoir réagir et compléter leur information si de solides preuves leur sont apportées, comme c'est le cas ici. Les médias ont aussi selon nous un rôle à jouer dans le contrôle des conflits d'intérêts des experts qu'ils interrogent et dans la vérification que ceux-ci sont bien correctement déclarés, de façon à ne pas désinformer leur lectorat.

 

Quant à l'Ordre des Médecins, si prompt à considérer le refus de vaccins obligatoires comme "de la maltraitance aux enfants", il doit lui aussi assumer sa responsabilité et ne pas couvrir de façon complaisante des praticiens qui violent la loi. Stop aux deux poids, deux mesures !

 

C'est fort de ces convictions de bon sens, aussi partagées par des millions d'autres citoyens, que nous avons écrit aux médias concernés ainsi qu'au Conseil Départemental de l'Ordre des Médecins de la Ville de Paris, tout en informant aussi de notre démarche l'UFC Que Choisir et l'Observatoire de la Déontologie de l'Information (ODI).

 

Vous pouvez lire ces courriers :

 

aux médias : ICI

 

et à l'Ordre des Médecins de Paris : ICI 

  

N'hésitez pas à nous indiquer par mail, sur notre site, si vous souhaitez vous aussi que votre nom s'ajoute à la liste des signataires.

 

Nous vous tiendrons informés via la partie "commentaires" de la suite réservée à ces courriers.

 

Un texte aussi publié sur AGORAVOX

 

Actualisation du 2 juillet 2013:

 

Le Dr Jean-Jacques Avrane de l'Ordre des Médecins de la Ville de Paris nous a indiqué par mail en date du 25 juin dernier qu'il fallait envoyer la plainte par voie postale avec l'adresse des signataires, ce que nous avons fait, et aussi, mentionner les manquements déontologiquement éventuellement reprochés.

 

Voici donc le courrier additionnel qui mentionne les manquements déontologiques du médecin en question, le Dr Joseph Monsonego.

 

Recepisse plainte Ordre Médecins

 

NB: A noter que l'Ordre des Médecins nous a répondu peu après que notre plainte n'était pas valide parce que non signée (manuscritement) par tous les signataires. Ceux-ci résidant en France, et en Belgique, il est malaisé de scanner les signatures de tous et de se renvoyer entre nous le document bien qu'évidemment, tous les signataires avaient dûment fait savoir leur accord par mail à Initiative Citoyenne quant à cette démarche commune. Cela montre en fait surtout la position corporatiste de l'Ordre des Médecins, qui loupe en fait une belle occasion de plus de joindre le geste à la parole au lieu de publier un Code de Déontologie auquel il accorde si peu de respect! 

 

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